Immuable (tome 1, 2 et 3)

Quotidient

Si j'avais su que ont ferais un dîner au chandelles tous les deux j'aurais mis quelque chose de mieux. Il est rouge, c'est trop mignon.Il nous serre un peu de vin :

« -A quoi on trinque bébé ?

Euh ... C'est pour m'excuser de mon comportement ... C'était ridicule et ... Je t'ai mis mal à l'aise. Pardonne moi ....

Tu es pardonné. Mais je sais pas si je vais pouvoir avaler tout ça.

J'ai augmenté tes rations progressivement alors normalement ça devrait être bon maintenant.

Alors trinquons à notre santé.

Santé ... »

Je bois mon verre et réalise qu'il n'est vraiment pas mauvais.

« -Tu l'as pris où ce vin ?

Dans ton placard ... Je suis désolé ... Tu la gardais pour une occasion spéciale ?

Non, j'avais même oublier que j'avais une bonne bouteille.

C'est pas une très bonne bouteille tu sais. Je l'ai prise au pif et ... Elle avait l'ère d'avoir été oublier là depuis longtemps. »

Je regarde l'étiquette ... En effet ce n'est pas un très bon crus mais il se bonifie avec l'âge. Je ne sais pas comment mais Mathéo à dû ouvrir cette bouteille au meilleure moment pour en obtenir quelque chose de correcte. Il me surprendra toujours.

« -Ils sont où les deux squatteurs ?

Ta nièce est chez une amie et Kai est partie à l'étranger pour un temps.

C'est pas ma nièce, je te l'ai déjà dit. Passons ... Je t'aime tu sait. Je te préfère quand tu es toi même.

J'ai vraiment été stupide ... Mais tu sait je ...

Je sais, je sais. »

J'avais compris qu'il changeait de stratégie et pas qu'il abandonnais l'idée de coucher ensemble. Je ne lui en veut pas, je comprend. Au contraire je préfère cette approche là mais maintenant que le mal est fait je vais peiner à aller au bout des choses. On verra bien ... Pour l'instant je profite d'un moment très romantique.

« -Demain je reprendrais mes médicaments et dans quelques jours les effets devrait être revenus. »

Il rougit et je souris,. Il ne faut pas que j'abuse du vin sinon je vais retomber malade et il va encore s'inquiéter. Plus j'y réfléchis plus je comprend sa réaction démesurée : il a crut que j'allais mourir et quand je suis sortie de l'hôpital il s'est probablement sentit oppressé par le temps. Il a voulu allez trop vite pour moi, et sûrement pour lui aussi. Il faut que je lui prouve qu'il peut prendre tout son temps, qu'on va prendre notre temps parce qu'on as toute la vie devant nous.

Je caresse sa mains sur la table et y déposer un baiser léger. On finit le repas en se regardant, on as pas besoin de se parler dans ses moments la, le silence nous suffis. La lumière est toujours tamisé mais l'ambiance est beaucoup plus douce que ce matin alors je me détend pour de bon. Je le prend pas la main et sort un CD de mon armoire, je le lance. C'est une playlist de slows que j'avais ramasser pour mon projet. Je suis content de les avoirs.

On danse un moment dans les bras l'un de l'autre. Et j'ai ce réflexe de poser mes deux mains sur son derrière. Il me regarde et je lui fait signe que non, il rebaisse la tête et la pose dans mon cou. Je sent son souffle chaud contre ma peau ... Dans des circonstances normale sont aurais pus, mais pas maintenant : encore une occasion en or de raté. Finalement on s'endort pendant un câlin sur le canapé.