I Can Be Your Hero [J.J]

Chapitre quatre

Donc après le concert, nous sommes tous les trois, Jack.G, Jack.J et moi parti boire un verre, Kenny est rentré à l'hôtel, il était fatigué. Il m'énerve ! Je m'assied à côté de Johnson.

-Je vous jure Kenny m'énerve.

-Ca va aller avec le temps, dit Johnson.

-Je ne pense pas, en plus comme une idiote, je lui fait un compliments et ce con, il crois que je le drague.

Johnson ris.

-Quoi ? Dis-je.

-Rien, c'est juste que tu me fais rire.

Kenny arrive.

-Vous pouvez m'expliquer pourquoi il vient ? Dis-je.

-Je... Je ne sais pas, dit Johnson confus.

Kenny s'assied à côté de moi.

-Salut ma jolie.

-Kenny, je ne suis pas ta jolie, c'était donc la première chose et la deuxième chose est "va te couper les cheveux, on dirais un fermier", tu m'énerve.

-Pourquoi je t'énerve ? Dit-il.

-Je ne sais pas pas, c'est peut être tes manière que tu fais ou je ne sais pas, peut être parce que ça y est monsieur sait bien chanter qu'il croit que tout le monde le drague ! Criais-je presque.

-Mais il n'y a aucun rapport avec ce que tu dis Keith, et tu va te calmer sinon, je ne sais pas ce que je vais te faire.

Je me lève puis le gifle.

-Ferme la ! Criais-je.

Je part du bar, quelqu'un me rattrape le poignet, c'est Johnson.

-Je pense qu'il a compris que tu l'énerve... dit-il en souriant.

-Mais en plus ça me fait mal au coeur de ne pas l'aimer, il ne m'a rien fait et je ne le connais pas.

Il souris de plus en plus.

-J'aime être avec toi.

Je souris gênée.

-Enfin, ce n'est pas ce que tu pense, je ne suis pas amoureux de toi, mais je t'aime bien tu est une super amie, tu est formidable. Bon, je me tais sinon je vais m'enfoncer encore plus, dit-il en souriant.

Il était gêné, je le voyais dans sa façon de me regarder, enfin, il évitait de me regarder, ses joues avaient une couleur légèrement rosée ce que je trouvais vraiment très mignon.

-Arrête d'être comme ça, comme si je te gênait car ça me gêne que tu soit gêné.

Il souris puis fini par rire.

-Viens, je vais t'emmener à mon endroit préféré dans tout le monde, dis-je en souriant.

Je prend sa main comme une mère prend la main de son fils puis nous partons en direction de l'immeuble quasiment abandonné, nous montons sur le toit, la ville était illuminée et c'est ce moment que je préfère dans la journée.

-C'est... dit-il ébahis.

-Magnifique.

Je marque une pause.

-Comme toi, chuchotais-je.

Il me regarde étonné.

-Quoi ? Dis-je.

-Tu as dit quoi ?

-Je n'ai pas le droit de te trouver magnifique ?

-C'est juste que... Je sais pas, c'est bizarre.