La traque

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-Attendez, répétez moi ça demanda le chef de la police a Matsuda qui avait été ridiculisé devant Xavier.
-Je lui courait après, puis il a disparu. Ensuite il a rigolé comme un démon. Et après il c'est faufilé derrière moi, et il m'a joué une scène de Rambo 1 avoua honteusement Matsuda.
-Je me fiche qu'il vous ai ridiculisé, il a réussi lui un gamin à immobiliser l'un de mes meilleurs agents. Ce gosse est fantastique, il est très doué. Allez demandé à son père, si il lui a donné un entraînement spécial.
-Je vais me rattraper j'y vais répondit Matsuda.

En se réveillant de sa nuit de cauchemar, car chaque bruit réveillait Xavier, qui avait déjà une certaine peur du noir. Mais être seul dans le noir, dans une grotte humide, ce n'était pas vraiment ce qu'il fallait à Xavier pour se remettre de ses émotions. Il repensa une dernière fois à sa mère. Les larmes coulait à flot, il se laissa aller pleurant les belles journées passé avec sa famille. Après s'être calmé il mangea un bout de ses rations. Il mit un coup de désodorisant, pris ses couteaux papillons et il partit vers la première adresse de criminel. Quand il arriva à la ville il n'était que huit heures. Il partit dans un magasin ou il vola sournoisement un plan détaillé de la région, comme on vole une sucette à un enfant. Il se posa tranquillement derrière un arbre dans un jardin que les propriétaires avait quitté à l'instant où Xavier arrivait. Il s'assit et chercha le criminel le plus proche. Il était à 15 minutes de marche. Il commença alors sa traque.
Une fois arrivé à la maison du terroriste, il prit le carton devant celle du voisin. Puis il toqua à la porte. Un grand messieurs ouvrit, et de son horrible voie grinçante il dit :
-Ouais c'est pour quoi ?
-Je suis le livreur. On a commandé un revolver et un fusil d'assaut à la boutique de mon père. Le paiement à déjà été fait par internet. Vous avez juste à signé ici di Xavier en lui montrant son calepin.
Le criminel n'était pas méfiant et il signa. Xavier rangea alors le calepin et dit:
-Merci tu as signé la fin de ta vie à ma place.
Il dégaigna alors ses couteaux papillons qui lacérèrent les bras de l'homme. Il tomba sous la surprise et Xavier dit alors:
-Écrit moi d'autres non de criminel et je ne te tuerai peut être pas.
Au lieu de sa il tenta de faire un croche pied à Xavier. Xavier l'esquiva puis il planta l'un des couteau dans la jambe du criminel qu'il laissa pour satisfaire son sadisme et dit :
-Alors toujours pas décidé ?
-Je... Je vais écrire donne moi un stylo.
Xavier reprit le couteau de la jambe et le planta dans l'autre. Puis Xavier répondit :
-Vois tu j'aime qu'on me dise s'il te plaît.
-S'il te plaît !!!
-Voilà qui est mieux.
Le criminel écrit trois autres noms puis implora :
-J'ai fait ce que tu m'a dit laisse moi en vie.
-De quoi est tu coupable dit Xavier sur un ton froid. De quoi es tu coupable ?
-Je, j'ai tué une famille, et j'ai trafiqué des fausses drogues mortelles sur ordre de notre chef.
-Bien j'ai changé d'avis tu mourra mais assez vite, car tu t'es exprimé avec franchise.
-Comment ça je.
Ce furent les derniers mots qu'il prononça, car les prochains son qui sortirent de sa bouche n'était que des hurlements de souffrance. Xavier s'en régalait car en lui, le désir de meurtre était plus puissant que celui de justice. Le couteau lacérait la chair des épaules aux reins. Xavier s'arrêta pour contempler son oeuvre. Un magnifique X rouge était taillé sur la poitrine de l'homme. L'alarme de la police sonna dehors. Xavier dit alors au criminel avec un air déçu :
-Dommage j'allai attaquer le dos.
Il rigola un bon coût, puis il planta le couteau dans la gorge du criminel. Il partit à la cuisine, prit un croissant et partit en courant dans l'arrière cours. Il courru de longue minutes, et sema la police. Puis il regarda qui était le prochain sur sa liste et partit en direction de la maison de celui-ci pour continuer sa traque.



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