La traque partie 2

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Xavier degaigna ses couteaux papillons, et il essuya le sang dans l'herbe. Car tout de même il devait être propre pour son travail. Il avait parcouru une bonne partie du chemin qui le menait à la maison du criminel, lorsque il vit au coin de la rue une voiture de police. Il se cacha derrière le mur de l'immeuble derrière lui. Les voitures de police le cherchaient déjà merde pensa t'il. Il jeta un rapide coup d'oeil, la voiture venait vers lui. Il pensa qu'en mettant sa capuche et en faisant mine de regarder un portable qu'il ne possédait pas. La voiture passa sans que le policier ne lui jette un regard. Il sortit alors son plan et découvrit, que le criminel n'était qu'à deux paté de maison du logement du criminel.

Il ne rencontra pas d'autre voiture en patrouille et il arriva sans embuche au logement du criminel. En regardant la maison, il vit le criminel qui allait partir avec sa voiture criblé de balle. Xavier regarda il n'y avait personne dans la rue. Il profita que l'homme était de dos pour se glisser derrière lui. Xavier regarda son dos réfléchissant à ou il pouvait planter ses couteaux. Il s'exclama alors :
-Parfait ! Ce sera l'homoplate
L'homme sursauta et sur ce Xavier enfonca l'un des couteaux dans l'homoplate. Il entendit le craquement sourd de l'homoplate et l'homme s'effondra par terre. Xavier dit alors :
-Désolé vous aviez un moustique ! Je voudrais savoir poursuivi-t-il, qui sont les plus haut gradés dans cet équipe de criminel ?
Le criminel n'y réfléchit pas deux fois et divulga tout ce qu'il savait. Xavier lui dit ensuite :
-Merci mais je n'ai jamais aimé les cafteurs de plus vous êtes ennuyant. Vous parlez beaucoup trop.
Il positionna les deux couteaux sous la gorge du criminel, mais celui-ci tenta de décocher une droite a Xavier, mais Xavier plus vif que l'éclair perfora le creu de la main du criminel ou le couteau s'enfonça profondément dans l'os. Il planta son autre couteau dans la gorge du criminel qui mourru sans aucun bruit.
Il laissa un X sur l'homme et il partit en direction de sa grotte. En chemin il avait oublié de mettre sa capuche et une fille de son lycée le reconnu. Il fit mine de ne pas l'avoir vue et l'ignorat alors qu'elle l'appelait. Apparemment les nouvelles n'allaient pas bien vite pensa-t-il personne ne savait ce qu'il avait fait.

Une fois dans sa grotte il se remémorra les chefs criminels et il se dit qu'il terminerait par eux. Puis il repensa aux meurtres. Il se rendit compte que ce n'était pas d'avoir fait des meurtres qui l'horrifiait, ni de savoir que c'était juste parce-qu'il aimait tué. Il avait torturé ces hommes et il dit tout haut pour lui même :
-Mais qu'est-ce que j'ai fait ? J'ai tué des hommes se répondit-il. Non. C'était plus je les ai torturés. Et je ne l'ai pas fait sous la colère, ou la contrainte. Je l'ai fait par plaisir.
Xavier se rendit compte, que les monstres qu'il voulait exterminer était de bien piètre criminel, face à lui.
-Non, il ne faut pas résonner comme ça. Dit il à voix haute. Non, il le méritait pas d'être torturé mais d'être tué.
Et c'est alors qu'il se dit oui ce sont des criminels, ils le méritaient. Mais ces criminels avaient peut être une famille. Peut-être qu'un enfant de son âge était désemparé lui aussi, et si il avait tué des innocents. Pas le premier, car pour accepter des armes gratuitement, un grand sourire aux lèvres, on est rarement innocent. Mais le second. Il avait tout divulgué d'un coup. Il avait essayé de le frapper mais c'était avant de mourir. Un dernier espoir une dernière chance de vivre d'échapper à la mort, à Xavier. Il ne pouvait plus dormir. A la nuit tombée il décida de partir cher le second criminel, voir si quelqu'un pleurait sa dépouille, sa mort. Une fois devant la maison, celle-ci était éteinte. Il regarda sur la boîte au lettre. Mais il ne vit qu'un seul nom celui du criminel. Il se promit de faire parler le pire d'entre eux, sur qui sont ils ? Ont ils une famille ? Qu'ont ils fait ? Pourquoi ?...
Il reparti à sa grotte mais même avec la fatigue d'avoir courru pour la rejoindre avant que la nuit noire ne tombe, il ne parvint pas à s'endormir.




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