L'ombre d'un amour

One-shot

Je me tenais devant la porte du bureau à mon père. Il m'avait convoqué pour m'annoncer une grande nouvelle et je me doutais que c'était celle de mon mariage. Mon prétendant était un égocentrique arrogant manipulateur, alors, oui, je le hais. J'ouvris la porte et mon père me tournait le dos. Doucement, il se retourna vers moi.

- Ma fille, aujourd'hui est un grand jour, nous avons finalisé les arrangement pour tes fiançailles avec Sting Eucliff.

- Père, avec tout le respect que je vous dois, je refuse de m'unir à cet arrogant!

- Comment oses-tu contredire mes paroles!? Pour qui te prends tu sale gamine gâtée!? Tu épouseras Sting que tu le veules ou bon!

- Jamais! hurlais-je.

Je n'avais jamais tenu tête à mon père et je commençais a sentir la peur s'emparer de moi. Je tremblais légèrement, mais je n'allais pas flanché. Mon père s'approcha de moi avec un air mauvais peint sur le visage. Sa main s'abattue sur ma joue à une telle vitesse que je tomba aux sols.

- Tu épouseras Sting.

- Plutôt mourir que de l'épouser, crachais-je.

Il me ramassa par les cheveux et me traîna à l'extérieur de son bureau. Je hurlais tellement la douleur était insoutenable. Il me fit descendre à la cave.

- Parfait, tu ne veux pas épousé Sting et bien tu moura.

Je déglutie. Je sentis un coup de fouet me frapper le dos et je me retrouva aux sols dû à sa puissance. Je tentais de contrôler mes larmes et mes cris, mais après une trentaine de coup, je hurlais a en briser les coeur les plus durs. Il délaissa son fouet pour me donner des coups de pied. Après plusieurs coup, tout était embrouiller autour de moi, alors j'eu une idée. Je feignis la mort. Mon père y cru car il arrêta de frapper.

- Tu ne fallais pas mieux que ce qui te servais de mère, la mort est un cadeau que je t'ai donné.

Il me laissa sur ses paroles. J'attendis longtemps pour être sûr qu'il n'était plus dans les parages avant de ramper difficilement jusqu'à un passage secret menant à la forêt. Juste sortir de cette infâme maison me prit près de deux heures. La lune était haute dans le ciel. Je savais où je devais aller si je ne voulais pas mourir parce qu'en bougeant je laissais une traîner de sang derrière moi. Je me releva durement sur mes jambes et m'accrochant d'arbre en arbre, je me dirigea vers mon voisin. Il vivait seul, ses parents étant morts. Je fis la lune descendre à vue d'œil alors que je me rapprochais lentement de ma destination. Plus j'avançais, plus ma vision se brouillait. J'aperçus les contours d'une porte et frappa dessus de tout les maigres force qu'il me restait. Je priais pour que cela suffisent à me faire entendre par mon ami. Je ne veux pas mourir, je veux pouvoir profiter des joies d'une vie sans l'ombre de mon père derrière moi, des joies de mes propres choix.

Meilleur ami

Je dormais paisiblement quand j'entendis que l'on frappait faiblement à la porte. Je regarda mon réveil pour constaté qu'il était 4:37 du matin. Mais qui pouvais venir frapper à ma porte à une telle heure? Je soupira en me levant puisque les coups persistaient. Je descendis mon grand escalier et me dirigea vers la porte. Je l'ouvris et une vision d'horreur m'apparut. Ma meilleure amie était là, devant moi, en sang. Elle vacilla et je la rattrapa avant qu'elle ne touche le sol. Je la porta jusqu'à ma chambre et l'étendu dans mon lit. Elle avait perdu connaissance et moi, j'étais complètement paniquer. Je pris mon portable et composa le numéro du seul médecin que je connaissais.

- Oui? dit une voix alourdie par le sommeil.

- Je t'en pris Mira, je ne sais plus quoi faire... J'ai besoin de toi!