One-Shot / Brisé

23 3 1
                                    

Chaque vie commence de la même façon, quoi qu'on en dise. Une vie commence par une naissance, se termine par une mort suivit d'une autre naissance... Un cercle vicieux qui ne se termine pas. Est ce vraiment une bénédiction pour tous de venir au monde ? Alors vous me direz à l'unanimité, que oui. Mais laisser-moi vous posez une question, combien de personnes souffrent au point de se suicider dans le monde ? Alors oui, vivre est un cadeau pour la plupart des gens. Mais pour d'autres, ce n'est rien d'autre qu'un cadeau empoisonné. Revoyez votre jugement avant de tirez des conclusions sur le monde.

C'est l'histoire d'une jeune fille comme les autres. Elle sourit tout le temps. Évidemment, comme tout le monde, elle a des problèmes mais ils sont peu importants. La fierté de ses parents, elle est une enfant exemplaire. De très bons résultats, des professeurs qui la comble de compliments. Elle n'a pas beaucoup d'amis, une famille, pour elle c'est suffisant. Mais chaque soir, assise seule dans son lit, elle se met à pleurer. Seule dans le noir, elle se met a hurler. Elle se tait sur ses problèmes, peur d'inquiété ses parents. Elle ne dort plus, mange juste assez pour ne pas tomber dans les pommes et travaille d'arrache pieds pour réussir à maintenir ses résultats.

Plus jeune, au début de sa scolarité, les enfants de sa classe ne voulait pas jouer avec elle. Ils la laissent seule dans la cour de récré. Mais évidemment, ce ne sont que des enfants, on ne peux rien leur reprocher. Puis au fils du temps, les enfants apprennent des mots qui blessent , allez savoir ou ils les apprennent. A ce moment là, l'expression " la plume et plus forte que l'épée " prend tout son sens. Des mots qui traversent un cœur fragile. Le temps passe, et les mots dure sont remplacer par de véritables insultes, de coups et de moqueries.

Ses parents ne seront jamais au courant de toutes ces horreurs que leur fille vit. Puis, cette jeune fille finira par se détesté elle même. Un rituelle va s'installer au sain de ces soirées. Une lame qui parcoure à plusieurs reprise son poignet, une cigarette dans la bouche et les larmes qui coulent. Et viendras se jour qui fera basculé de l'autre côté cette jeune fille.

Un jour presque comme les autres démarre. Elle enfile un pull malgré les 20° dehors, met la dose de produits pour caché son chagrin. Puis elle s'entraine devant une glace, à faire son plus beau sourire pour que personne ne se doute qu'elle à juste envie de mourir. Paralysé devant la grille du collège, elle sert les mains pour réussir à entrer dans le hall. Comme à chaque fois, des regards accusateurs se pose sur elle comme des pointes glacés qui la traversent de part en part. Un groupe de filles en mini jupe et beaucoup trop maquillé pour leurs âge s'avancent vers elle. Elle a peur, tente de fuir mais elles la jettent au sol violemment. Elles l'insultent de tout les noms possible, lui jettent des sacs au visages, lui arrache les cheveux. Le monde autour d'elle ne réagit pas, comme habitué à se spectacle. Des pas s'avance vers elles, le directeur, le regard vide. Il ne lui accorde même pas un regard malgré qui soit bien au courant de se qui se passe.

- Tu vois, même lui il s'en fou de ta gueule. Alors va crever ! Tout le monde s'en fou de toi ! Tes moche, tu sert à rien ! Tu es énorme, tu prend toute la place ! Dégage ! Va crever espèce de salope !

Elles finirent pas partir, laissant cette pauvre fille au sol. Elle réussi finalement à se levé, et sort de son sac une lame de cuter. Elle la passe sur le long de son bras. Son visage ne laisse paraitre aucun sentiment de douleur. Elle laisse couler son sang sur le sol. Elle se dirige vers les toilettes en laissant derrière elle une coulée de sang rouge écarlate. Arrivée dans son lieu de mort présumée, elle passe son doigt sur son bras ensanglanté. Elle dessine sur les murs, le sols et les glaces. Elle écrit un texte sur le mur qui raconte la scène dans le hall. Écrit le nom de tout ceux qui l'on harceler et en grosse lettre celui des filles qui l'avaient harcelé quelques instant auparavant et celui du directeur.

Pour finir, elle poste un vidéo en filmant son texte et les noms sur les réseaux sociaux. Elle attendra finalement que cinq ou six personne les partagée. Puis, avec la languette de son sac, elle se pend. Il faudra 3h avant qu'une personne entre dans les toilettes.

Comme la vie est injuste, sa sera les filles qui l'on poussait a bout. En voyant leurs noms, elle feront tout pour les effacer. Mais cela ne changera rien. Les parents de la petite Noémie porterons plainte contre les filles et le directeur. Ils iront tous en prison, Noémie est morte, après elle une autre enfant sûrement va souffrir.

Voilà, c'est la fin de mon tout premier One-Shot. Il est un peu violant, j'espère que sa ne ta pas dérangé. Tout sa pour dire que trop de personne souffre de harcèlement au cours de sa vie. Il ne faut plus avoir peur d'en parler. Alors oui c'est peu 905 mots, mais assez j'espère pour vous faire comprendre l'ampleur de l'horreur qu'une seule personne peu causé.






BriséOù les histoires vivent. Découvrez maintenant