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///!\\\ ASSEZ IMPORTANT ///!\\\
Cette partie de ma fiction à été écrite en premier. Elle raconte la fin de la fiction. Si vous ne voulez pas être spoiler,passez à la partie suivante.

Je vais mourir. Mourir. Je vais mourir, maintenant.
Je me répétais cette phrase en boucle. C'était insensé. Cela ne pouvait pas arriver, pas à moi. Aux autres, mais pas à moi.
J'essayais de faire le point sur ma situation. J'étais assise, attachée. Des liens rêches me sciaient les poignets et les chevilles. Une large ceinture me liait par la taille à la chaise, m'étouffant, et un bout de tissu m'empêchait de parler. A côté de moi j'entendais mes agresseurs. L'un d'eux était très proche, à ma gauche. J'entendais sa respiration, ses grognements quand je tentais de me débattre. J'étais dans ce qui me semblait être un entrepôt, sombre, puant et envahi de caisses diverses. Une grande porte devant moi donnait sur l'extérieur. J'arrivais à apercevoir un chemin et de la verdure luxuriante. Cet endroit mettait inconnu.
J'entendais d'autres respirations plus éloigné de moi. Ils étaient plusieurs. Soudain, le plus proche sorti quelque chose de sa poche. J'eus un sursaut de surprise quand j'entendis le déclic familier d'une arme à feu dont on ôtait la sécurité, je commençai à trembler quand je sentis le bout de l'arme se poser sur ma tempe. Alors, j'ai entendu un bruit ne m'était pas inconnu. Un sifflement particulier de l'homme armé à côté de moi. Et je sut qui c'était. Les tremblements me prirent de plus belle et des larmes envahissent mes yeux.
C'était eux. Comment avait-ils put me faire ça ? Les larmes coulaient sur mes joues. Même lui, même lui. Savait-il à ce moment-là ce qui allait m'arriver ? Bien sûr, ils avaient tout manigancé, ensemble.
Mes forces m'abandonnaient. Je n'en pouvais plus. Je ne voulais qu'une chose : me laisser aller, ne plus vivre cet enfer. Ma vision se floutait. Je voulu fermer les yeux quand je le vis, courant vers moi, franchissant la porte, un air effaré sur le visage.
Lui.
Jinhwan.

Puis le noir.

∞∞∞

J'ai dut m'évanouir que quelques instants, car des sons me parvenaient déjà aux oreilles.

«Comment peut-tu faire ça ? Après tous ce que l'on a vécu avec elle ?»

La voix de Jinhwan me parvenait faiblement. Jinhwan... il ne m'avait donc pas abandonné. La voix de Hanbin lui répondit.

«Tu savais ce qui était prévus, Jinhwan, je t'avais dit de ne pas t'attacher à elle»

«Mais je m'en fiche de ce qui était prévus ! On étaient proche d'elle ! On avaient dépassés le stade de la comédie !»

«Non Jinhwan, on a pas dépassés ce stade. C'était de la comédie.»

"de la comédie" Ces paroles m'enfoncèrent un poignard dans le cœur. Nos relations, nos fou rires, nos sourires, tout ce que le groupe a fait pour moi... de la comédie ? Des sanglot s'échappent de ma bouche. J'ouvre les yeux, et croise le regard de Jinhwan. Je le voit s'avancer vers Hanbin, les poins serrés.

«Je te conseil de rester où tu es»

L'arme qui te ma tempe pour venir se pointer sur Jinhwan. Hanbin ne tremble pas. Il parle d'une voix froide, dénudée de la joie qu'il y avait autrefois. Jinhwan ne recule pas, au contraire. Sa voix est tout aussi calme.

«Lâche cette arme, Hanbin. Ou je la prend moi-même »

«Recule»

Cette fois, la voix de Hanbin tremble.
Jinhwan se rapproche, plus près. Trop près.
Le coup part, Jinhwan s'écroule. Une mare de sang se forme depuis sa poitrine. Hanbin lâche l'arme, la ramasse.

«Je suis désolé, Hyung»

Mon Jinhwan, on t'auras respecté jusqu'à la mort.

Hanbin tremble à présent de tous ces membres. J'entends les faibles cris des autres garçons dans mon dos. Je les imagine, stupéfiés par l'acte de leur Leader. Mais leurs devoir les contraint à ne pas bouger, a ne pas contester. Hanbin se retourne vers moi, le regard vide.
Je ferme les yeux. Je sens Hanbin presser l'arme sur moi. Il tire.
Douleur.
Mort.
Ensemble.

∞∞∞∞∞

Voila. J'espère que sa vous à plus. Comme vous avez du le remarquer, il y a un début à cette histoire. Peut-être que si on me la demande, je posterais la fiction qui vas avec (le début après la fin... J'aime faire des choses anormales).
Il se peut qu'il y ai (beaucoup) de faute, j'en suis désolée.

Merci ∞

[iKON] EnsembleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant