Saphir

Chapitre I

Cela vous est déjà arriver de ne plus vous reconnaitre ? En vous voyant devant une glace, vous dire qui êtes vous vraiment ? Au fond de vous, votre cœur est-il celui qui semble être ?

Je me suis retrouvez, un jour par hasard dans un magasin d'antiquité. Il venais d'apparaitre juste là. Je passait dans cette rue depuis 9 ans, durant c'est 9 années, je n'avait jamais vue cette boutique. Je ne me suis jamais intéressé à l'histoire, j'avais laisser cette passion à mon meilleur ami. Lui en parle tout le temps, avance des théories sur le monde. Je le soupçonne même d'être iluminati. Mais étrangement, je n'ai pas pu m'empêcher d'entrée à l'intérieur.

A l'intérieur, il faisait assez sombre, la pièce était éclairée par une toute petite lampe au style médiévale. Elle était ornée de petite pierre jaune qui ressembler à de l'or. Posé sur un bureau en bois massif, une caisse des années 50 s'imposé au milieu de celui-ci. Une malle en bois ou était gravée des symbole oriental était devant devant une pile de livre tous plus anciens les uns que les autres. La malle comportait une serrure.

Je me dirigea vers cette malle qui m'intriguais. Elle était malheureusement fermé. Comme une idiote digne de ce nom, je voulut forcer la serrure. La pile de livre me tomba sur la tête, qui se suivit d'un bruit assourdissant. Je me releva tant bien que mal en m'appuyant sur une table de chevet en bois très clair et vernis. En me relevant, je vit une magnifique montre en acier. Elle était grise, sa manchette était gravée en forme d'aigle ou de minuscule pierres couleurs émeraudes était posé en guise d'yeux.

Je remarquais qu'aucun prix n'était affiché sur aucun des objets misent en ventes. Puis, me vint à l'esprit que le magasin était vide. J'étais seul depuis le début. Je cherchais des yeux une arrière boutique mais aucune porte ou rideau ne s'offrait à moi. Je m'immobilisa pendant quelques instants. Je repris mes esprits et eu une soudaine envie de sortir de cette endroit à tout pris.

Je ne suis pas du genre à être une voleuse ou une mauvaise fille, mais ce jour là, j'ai volée cette montre. Je ne rappelle plus exactement se qui c'est passé par la suite. Il me semble que je suis rentrée chez moi, puis le trou noir. Je ne me suis réveillée que le lendemain, et j'ai vécu une journée des plus banal. Je suis aller en cours, mais bizarrement, je n'ai pas parler de mon aventure à mon meilleur ami. Et quand je suis rentrée chez moi, la boutique avait disparut, elle laissa une énorme espace entre une boulangerie et un coiffure.

J'ai demandée à qui voulais bien m'entendre si cette boutique avait vraiment existé, mais personne n'avait jamais remarqué quoi que se soit. Etais-je la seule qui trouver qu'un énorme trou dans une rue passante sois normal ? Puis je suis entrant dans la boulangerie pour demander une dernière fois si cette boutique avait vraiment existé, mais aussi car je mourait de faim.

J'entrais dans la petite boutique, elle était très simple, juste trois étagère ou posé le pain et un comptoir ou ranger les pâtisserie. Une vieille était devant le comptoir, habillé de son tablier blanc.

-Excusez moi Madame, puis-je vous posez une questions ? Demandais-je.

-Oui, je t'écoute ma petite ! Dit-elle d'une voix tremblante.

-Eh bien, hier, j'ai vue une petite boutique d'antiquité à votre gauche. Mais aujourd'hui, plus rien. Vous ne trouvez pas sa étrange ?

-Ma chère enfant,ton imagination te joue des tour ! Cette boutique, cela fait  trente longues années qu'elle est fermé. Souffla t-elle. Personne n'a jamais voulut récupéré ce qu'il y a à l'intérieur...

-Mais, hier je suis entré dedans et d'ailleurs je ne l'avais jamais vue auparavant ! Et, savez-vous ce qu'il y a dans cette malle en bois oriental ?

-Chérie, il est temps ... Me dit-elle souriante.

Puis trou noir. Encore une fois ! Et encore une fois je me suis réveillé chez moi et j'ai vécu une soirée tout à fait normal ! Cette fois là, je me suis réveillé avec un seule idée en tête, parler à Louis. Malheureusement, il était déjà tard quand je me suis réveillé, je n'ai pas put aller chez lui. J'ai du attendre le lendemain.

Je me suis réveillé vers 10h ce jour là, c'était dimanche. Je me suis habillé, je n'ai pas déjeuné, je me suis précipiter vers la porte, quand ma mère s'imposa devant la porte. Elle me sourit de toutes ses dents blanches. Elle ne dit pas un mot, jusqu'à se que son visage souriant se transforme peu à peu en une grimace. Je tourna la tête et me regarda dans le miroir. Choqué je glissa au sol. Je me palpa le visage, une sorte de pierre verte venait de s'incrustait sous ma frange. La pierre de couleur émeraude brillait de mille feu. Je regarda ma mère, elle c'était évanouie.

-Maman! Criais-je, je pris son pouls. Tu es vraiment irrécupérable ! Rigolais-je.

Je pris mon téléphone et appela un médecin. Il arriva au bout de 15min, je regarda en silencieusement ma mère se faire hospitalisée tout en caché tant bien que mal mon front. Le médecin partie, je mit une couette sur le dos de ma mère. Je partie en veillant à fermer la porte à clés. Je m'inonda de musique douce, je marchais sur le trottoir en évitant les piétons qui valsaient devant moi. Puis, arriver devant la porte de Louis, ma main se plongea dans ma poche. Comme instinctivement, j'en sorti la montre en acier que j'avais voler dans la mystérieuse boutique.

La porte s'ouvrit brusquement.