Commencement de la journée, le symbole d'un réveil bercé par le visage de tout un cercle de souffrance, le cercle de son coeur que je sens battre dans ma tête, que je sens battre dans mes yeux, ses yeux dans mes yeux, le bleu dans le noir... Ses cheveux, un miroir... Je la revois, les souvenirs reviennent comme jadis, mais cela ne fais que 5 mois, revoir le champs du bonheur, le soleil me ciblant, des yeux me fixant, cette sensation de l'importance, l'impression d'être vu, l'impression d'être aimer, la réalité m'a rattrapé.
Pourquoi es tu là, pourquoi existe tu, pourquoi as tu exister ? Pourquoi ces événements, pourquoi ses souvenirs, pourquoi ton visage si sublime, pourquoi encore ? Parce que la vie... Parce que l'ombre... Parce que je ne sais pas... Parce que rien ne va, parce que tous m'échappe, tous s'en va, tous se transforme en eau, tout est insaisissable, tout est comme toi...
J'écris encore et tes oreilles sifflent mes mots, si tu les lient, alors oublient, le ciel est la seul pièce ou nous sommes ensemble, mais même à l'intérieur, je m'enfuis. Partir est devenu plus qu'un verbe, c'est devenu le sujet. Une douleur quotidienne, je lui donne un ticket, elle me sourit comme Mickey. Ces mots ne t'atteindront pas mais sans doute m'atteindront t'il, aussi con que je suis, pour relire l'auteur blâmer une lamentation.
Je parle pour l'ignorance, si belle, mes mots crient dans la langue du silence. Ses oreilles ne peuvent entendre, maintenant que le temps en cendre, renaît d'une page tourné qu'on n'a même pas corrigé. Je parle, je parle encore plus et toujours plus, le dérangement range le faux là ou le vrai veux prendre la place. Le manque serait-ce le mot ? L'amour est un fruit... Elle a mon noyau.
La jalousie n'est pas ma collègue, non je ne veux que son bonheur, mais son pouvoir me rend ivre, je ne suis qu'un humain, les ficelles dans mes mains tirés par le besoin. J'aide les solitaires en quête de leur âme, moi même solidaire de la douleur qui nous comptent pair. Endors toi dans ces bras, réveille toi dans ces draps, t'enfilant la bague au doigt, la sonne cloche par mes bras.
J'ai perdu la fleur, la ou la pétale mourrait, je n'ai vu qu'une lueur et pourtant toute la tige crevait. Mauvais jardinier, on m'a remplacer lui avait l'arrosoir, j'ai terminer dans le brouillard, la fleur que je ne pouvais distinguer mais au grand jamais je n'oublierais sa beauté.
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- Z.O.X - Sanctuaire De Mon Âme
Thơ ca.. Des paroles de mon cerveau, mon âme déversé pour aider, illuminer, ou même consoler mais avant tous pour que vos coeurs soient forgés..