Il m'entraîna dans les toilettes pour homme sans aucune explication et referma derrière nous après avoir vérifié qu'il n'y avait personne dans les cabines. Et bien! Je plains ceux qui auront une envie pressante dans les prochaines minutes.
Je savais ce qui allait se passer et je n'avais aucune envie de résister.
Il me soulève et me pose sur le bord du lavabo et m'embrasse, si profondément que j'en ai le souffle coupé. Quand il me relâche enfin, je ne savais déjà plus où j'étais: sûrement entre paradis et enfer.
Il m'enlève ma robe puis mon soutien-gorge et s'arrête un moment pour me regarder, j'adorais ça. Je décroise mes pieds qui étaient juste que là croisés et j'écarte légèrement mes jambes. Ses yeux s'enflamment, il eut un sourire en coin. Il m'enlève lentement ma culotte sans me quitter du regard, puis la hume et la range dans sa poche de costume. Oh! Un fetichiste des culotte!
Il descend ensuite son pantalon (il est plutôt bien monté) mais il ne me pénètre pas immédiatement. Non. Il me regarde encore, m'embrasse encore, touche ma poitrine et suce mes tétons. Je gémissement doucement. Après cela il me fait glisser légèrement de sorte à avoir accès à mon vagin et il y fourre sa langue. Je ne m'y attendais pas, je sursaute un peu de surprise et ça l'amuse puisque je le sens rire doucement en moi. Il me lèche avec ardeur et passion, je suis à 2 pas d'avoir un orgasme et il le sait, il le sent, il s'arrête net.
-Non Non ma belle, pas comme ça
Da voix avait pris une note de grave et j'ai cru mourir sur le champ en l'entendant me dire ces petits mots.
Il me sourit encore une fois (Monsieur et tait bien joyeux ce soir) et m'embrassait pendant qu'il s'enfonçait lentement en moi, si lentement que j'eus l'impression qu'il bougeait d'un millimètre par minute.
Une fois qu'il était tout entier en moi il ne bougeait plus. Il approchait sa bouche de mon oreille et dit
-Tu m'as toujours captivé, tu sais?
Je ne répondis pas, d'ailleurs il n'attendait pas de réponse.
Il accélérait le rythme, c'était de plus en plus fort. On aurait dit qu'il exorcisait tous ses péchés en moi et je voulais supporter le poids de ses péchés pour toujours.
Cet homme savait visiblement ce qu'il faisait, il me pillonnait sans s'arrêter jusqu'à ce que, prise de secousse, je jouis en criant son nom et sans se soucier du fait qu'on pourrait m'entendre.
Il continua et quelques secondes plus tard il se retira et déversa sa semence dans le lavabo
J'avais fini de me nettoyer et de me rhabiller, il ne m'avait pas rendu ma culotte et je ne l'avais pas demandé. Je le regarde pendant qu'il se debarbouille en se regardant dans le grand miroir. Qu'es ce qu'il est sexy!
On sort (enfin) des toilettes et il y avait 3 personnes qui attendaient devant la porte l'air impatient et furieux. Ok bon ce n'était que 20 petites minutes.
Je fais mine de les ignorer et me dirige directement vers la sortie sans me demander si Max me suit.
Je m'arrête au niveau de sa voiture et je le regarde courir dans la direction. Ah! Je ne m'en lasse pas.
Il vient de mon côté, déverrouille la voiture et m'ouvre la portière non sans me frôler les fesses au passage.
Une fois devant ma maison je me retourne pour lui faire la bise et lui dire au revoir
-Je pourrais te faire l'amour comme ça tous les jours. Me sursure t-il à l'oreille
-Bien alors! Parce que je suis insatiable.
Je le laisse là et je rentre chez moi sans me retourner.
Deux semaines plus tard je reçois un appel d' Eva. Elle m'avait appelé la veille pour me dire qu'elle m'appelerait le lendemain pour me dire une chose que j'adorerais. D'ailleurs on s'est beaucoup parlé depuis mon "rapprochement du camp ennemi". Ne pensez pas que j'ai abandonné mon idée de la vider de son sang...loin de là mais j'avais d'autres préoccupations là. Je m'étais aussi beaucoup rapproché de quelqu'un d'autre...Max.
On s'était vu régulièrement ces deux dernières semaines et on avait passé notre temps à faire l'amour (baiser je veux dire) pendant nos rendez-vous si on peut appeler ça comme ça: A la plage, en boîte de nuit, dans un festival, une serre ouverte au public et enfin à l'hôtel. Je le voyais souvent mais ça ne me suffisait pas... je voulais plus, beaucoup plus. Mais je me demandais ce que lui il pensait.
Mais revenons à l'appel d'Eva
-Poupée devine quoi!!!
-Quoi? Demandai-je sans grand entrain
A vrai dire elle me fatigait et je n'avais aucune envie de jouer à la devinette
-Bon puisque tu es de mauvais poil, je vais pas y aller par 4 chemin. Max et moi on fête nos 6 mois de relations et on compte inviter nos chers amis pour un week-end dans le chalet de son père à Aspen
