Chapitre 1

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La neige tombait sur le village de Kahnawake situé au Canada. Lucie attendait devant l'office du tourisme. Le froid, rendait longue l'attente. On lisait sur son visage de la peur et de la tristesse. Sur ses joues coulaient des larmes et dans sa main elle serrait un objet tellement fort quelle en avait mal, mais elle ne pouvait sans n'empêcher. La peur la dominait. Son visage de poupée était caché par une capuche et son regard se perdait au loin dans les montagnes. Elle ne savait pas se qui allait l'attendre dans ces prochaines minutes et peut-être ces heures. C'est alors qu'elle le vit arriver, un homme caché sous des vêtements amples, portant des lunettes et une casquette noire avec un foulard qui lui cachait le visage. Elle trembla encore plus et sa respiration devenait de plus en plus difficile. Ses forces la lâchaient une par une, mais elle tint bon jusqu'à se qu'il se trouve à sa hauteur. Lucie le regarda, le cœur battant la chamade. L'homme à la casquette lui demanda:

- As tu l'objet ?

- Je... je l'ai, réussit-elle à dire.

- Donne, lui ordonna froidement l'homme qui avait une voix modifier.

Mais Lucie ne bougeait pas. Elle restait figée, c'est alors qu'il lui pris le bras violemment, la poussa contre le mur et lui répéta de lui donner se qu'il voulait. Lucie réagissait toujours pas, le regard perdu mais au bout d'une minute elle lui remis l'objet en question. Pourtant l'homme ne la lâcha pas. Il la maintenait contre le mur. Il la regardait droit dans ses yeux verts émeraudes. A l'encontre Lucie ne distinguait pas ses yeux cachés par les lunettes de soleil. Mais l'homme lui disait quelque chose. L'homme approcha son visage près du sien. Il lui dit doucement:

- Désolé... je ne voulais pas. Je suis obligé.

Lucie reconnu alors ce garçon et prononça :

- Marc ?

Mais elle nu pas de réponse, seulement une décharge électrique porté à la poitrine. Lucie s'effondra dans les bras du jeune homme. Il répéta encore :

- Désolé, je ne voulais pas.

Marc l'emporta vers une voiture qui l'attendait. Il vérifia que personne n'avait vu la scène et il la déposa doucement dans la BMW. La voiture était toute noire avec des vitres tintées pour que nous ne puissions voir à l'intérieur. Les sièges étaient en cuirs et il régnait une douce chaleur. Marc rentra dans la voiture et demanda au chauffeur de démarrer. Il jeta un coup d'œil sur Lucie pour vérifier qu'elle n'allait pas se réveiller.
En suite il dut réglé certains détails pour que la disparition de Lucie ne soit pas suspecte. Il demande alors au chauffeur de passer chez Lucie. Il prit dans une poche une lettre qu'il avait rédigé plutôt dans la journée. Il était écris:

Papa, maman, je suis désolée, mais je ne peux plus continuer à vivre comme ça. J'ai besoin de changer d'air. Je ne me sens pas à ma place dans se monde. Donc j'ai décider de partir. Je sais que cela peut paraitre lâche de ma part mais je ne voulais pas voir vos larmes. Je ne voulais pas me sentir encore plus mal de vous laisser ici. Je ne veux pas vous faire de mal. Ne vous inquiétez pas pour moi, je vais chez une amie en France. J'ai même trouvé un emplois qui me convient parfaitement. Je vous aime ne l'oublier pas. Je suis désolée.

Votre fille Lucie.

La voiture s'arrêta quand il eut fini de lire la lettre. Il dit alors au chauffeur :

- Vérifie quelle ne se réveille pas. Je me dépêche.

- D'accord monsieur Luc, répondit une voix roque.

Le jeune homme sorti de la voiture, il alla en direction de la grande maison en pierre et bois. C'était une magnifique et grande demeure. Marc la regarda quelques secondes et vérifia que personne était là. Il mit les clé dans la serrure qu'il avait pris sur Lucie. Il entra doucement, d'un pas léger, il se faufila agilement jusqu'à la chambre de Lucie. Il connaissait la maison sur le bout des doigts car il était déjà venu plusieurs fois faire l'état des lieux. Il prit un sac, y fourra l'ordinateur et des vêtements puis posa la lettre sur le bureau. Puis il reparti comme il était venu sauf quand refermant la porte la mère de la jeune fille arrivait dans la courre. Il se précipita derrière un buisson et du attendre cinq minutes pour être sur de ne pas être vu. Il se faufila à travers le jardin et passa pardessus la barrière. Il courut rejoindre la voiture. Il sauta à l'intérieur. La voiture partit. Marc regarda Lucie qui dormait paisiblement, mais le trajet était long donc il lui administra un somnifère pour ne prendre aucun risque.
Un avions les attendait à l'aéroport. Il devait les emmener à Paris. Sur le trajet il regarda le paysage, le regard inquiet. Il avait enlevé ses lunettes et tout se qui pouvais cacher son visage. Après une heure, ils arrivèrent sur la piste où le jet privé était près à partir. Marc prit une grande respiration et il sortit de la voiture. Il laissa le chauffeur porter la fille. L'avion était équiper d'un salon, d'une chambre, d'une salle de bain et d'une petite cuisine. Le chauffeur déposa Lucie. Marc lui dit alors :

- Merci, je n'ai plus besoin de toi. Tu peux retrouver ta famille. Tu es libre. Ta mission est terminer.

Le chauffeur s'inclina. Le garçon lui donna une enveloppe et le chauffeur prit la direction de la voiture. Marc se retourna vers Lucie et la pris dans ses bras. Il l'emmena dans la chambre où il la déposa sur le lit. Il ferma la porte et alla dans le salon et l'avion décolla vers la France.





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