HEEEEY !
Et le premier OS de ce recueil est un OS... Minewt !! (donc pour ceux qui ne savent pas c'est la bromance Minho x Newt dans Le Labyrinthe, enfin L'Épreuve) c'est mon premier et je vais le donner pour un concours donc n'hésitez pas à critiquer, en bref, donnez votre avis sans limite, vous pouvez même dire que c'est nulle tant que c'est ARGUMENTÉ. Voilà voilà, je pense que c'est tout, si vous avez aimé n'oubliez pas de cliquer sur la petite étoile et à commenter x)
Ah, j'ai failli oublier, si vous n'aimez pas les personnages de Minho et Newt où si vous n'aimez pas L'Épreuve en particulier, vous pouvez quand même le lire, je n'ai pas respecté leur caractère et ce n'est pas dans le monde de James Dashner ^^
Bonne lecture ! :D
----------------------------------------------
Il me l'avait pourtant dit, il m'avait promis. Pourquoi je continue à le croire ? Il avait promis qu'il n'aimait que moi. Mais il a encore menti, comme d'habitude. J'en ai ma claque de ses mensonges. Je me casse. Il ne me verra plus. Je le hais, c'est fini. Je fais ma valise et dès qu'il rentre je pars. Comme d'habitude il rentre tard le soir complètement soûl.
«Oh, tu fais quoi là, Newt ?
-Je me casse. J'en ai ma claque de tes conneries et de tes mensonges.
-Bah nan, tu restes, je te laisserai pas partir. me dit celui-ci en enroulant ses bras autour de ma taille par derrière.
J'enlevai ses bras d'un geste rageur.
-Dégage, tu empestes l'alcool.
Il s'avança vers moi d'une façon menaçante et cria en me poussant violemment contre un mur.
-Bah comme tu veux, connard !
Je m'écroulai alors contre le mur en question et il me décocha un violent coup de poing dans la mâchoire. Je pouvais lire la rage et la folie dans ses yeux. J'avais l'habitude, malheureusement. J'encaissais les nombreux coups sans broncher. Je savais que si je me rebellai se serait encore pire. Il allait se calmer à un moment donné.
-Espèce de connard, je te hais, je te hais ! hurla celui-ci en me ruant de coups.»
Quand je fus à la limite de m'évanouir, il me lâcha, se calma et partis dans la cuisine. Je me remis sur pieds en faisant le moins de bruit possible pour qu'il ne me remarque pas. Je pris mes valises discrètement en respirant doucement. Je marchais dans le couloir et je vis la porte de la cuisine ouverte avec la lumière allumée. Je jetai un petit coup d'œil et découvrit Minho en train de pleurer. Cela me brisa le cœur et je lâchai une larme qui roula le long de ma joue. En temps normal je serai allé lui dire que ce n'était pas grave et tout se serai effacé mais maintenant, je n'y crois plus. Je ne le crois plus. Je franchis la porte d'entrée et j'ère dans la rue telle une âme vagabonde. Je finis par trouver un petit abri et décide d'y passer la nuit. Je me demande bien ce que je vais devenir... peut-être un SDF... ou je vais finir par trouver un mec bien pour une fois... un mec qui ne tape pas son petit-ami, un mec qui ne reviens pas très tard tous les soirs bourré, qui ne drague pas tout ce qui bouge...
Bref, un mec bien, pas comme le connard qui me servait de petit ami.
J'ai froid, terriblement froid. Je suis congelé, j'ai peur, j'ai faim, je suis fatigué, je suis triste... je suis au bord du gouffre. J'enlève mon manteau, me recroqueville sur moi même et pose le manteau sur mes jambes. Je m'endors difficilement.
Quand je me réveille, un voile gris recouvre le ciel. J'ai des courbatures partout. Je me relève et j'entend mon portable vibrer.
"Putain j'ai été con. Newt, s'il te plait, pardonne moi, je ne recommencerai plus."
En écoutant son message je sens mon cœur battre à mille à l'heure. J'enlève le portable de mon oreille et appuie sur la touche effacer. Le message s'efface et je commence à pleurer. Finalement j'appelle mon frère Thomas. Il pourra m'héberger pendant que je me trouve un logement... je compose son numéro de mes mains tremblantes et je met le téléphone à mon oreille.
"Oui allo ?
-Thommy ? C'est moi, Newt.
-Qu'est-ce qui se passe frangin ?
-Je ne suis plus avec Minho... je pourrais venir chez toi ?
-Pas de problème, la porte est grande ouverte pour mon frérot.
-Il n'y aura pas Teresa ?
-Si... elle est bien comme fille tu sais.
-Je pense plutôt que c'est une gamine pourrie gâtée sans intérêt... bon je m'en fous, c'est urgent, j'arrive."
Je raccroche et glisse le téléphone dans ma poche. J'éclate en sanglots, me relève difficilement et marche jusque chez mon frère. Quand j'arrive chez lui je sonne à la porte et on me cris d'entrer. Je ne me fais pas prier et franchis la porte d'entrée. Je ne vois personne m'accueillir, vais dans le salon et découvre Thomas et Teresa s'embrassant langoureusement. Je me dépêche de tourner les yeux de peur de vomir. Je n'ai jamais aimé cette fille... juste une petite pétasse qui se fout de la gueule de mon frère. Thomas éloigne Teresa (qui fait une mine boudeuse face à son acte) de lui et viens m'accueillir les bras ouverts comme si rien ne s'était passé.
« Hey, frangin !
-Salut...
-Je dois y aller. dit Teresa. À plus tard mon chou.
-A plus tard ma chouquette.
Et ils s'embrassent longuement. J'ai un haut le cœur et elle repart en me toisant.
-Franchement... ma chouquette...
-Bah c'est mignon, non ? me demanda Thomas en rougissant légèrement.
-Je trouve ça plutôt immonde.
-Toute façon tu ne l'aimes pas.
-Elle se moque de toi, Thommy ! Et tu ne le vois pas !
-Ah et c'est celui qui est resté pendant 2 ans avec un mec qui le trompait qui me fait la morale ?
Ces mots me font l'effet d'un coup de poignard dans le cœur et je me met à pleurer. Il m'ouvre ses bras et je me réfugie dedans. Il me caresse les cheveux et me réconforte le plus doucement possible.
-Chut... ça va aller, je suis désolé, ne t'en fais pas, je suis là frérot... viens, tu vas tout me raconter...
Il m'invite à m'assoir sur le canapé et va me chercher une tasse de thé pendant que lui boit du café. Il s'assoit à côté de moi, me donne la tasse et boit une gorgée de son café. Je pose ma tasse sur la table et réchauffe mes mains dessus.
-Je suis parti. Je suis parti, Thommy... je supportais plus. C'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase... j'en pouvais plus... j'ai mal... autant moralement que physiquement. dis-je la voix tremblante buvant mon thé d'une seule traite.
-Que s'est-il passé ?
-I...il...
J'éclate une énième fois en sanglots et j'essaye d'articuler des paroles mais je n'y arrive pas. Je retire mon t-shirt pour lui montrer et Thomas cri de surprise et d'horreur.
-Voilà...
-Mais ! Ça fait combien de temps qu'il te bat ?
Je remet mon pull.
-Depuis... depuis le début...
-Mais putain Newt ! Pourquoi tu ne m'en a jamais parlé ? Je suis ton frère, merde ! Je savais qu'il te trompait mais je ne savais pas que ça allait jusque là !
-Je suis désolé... murmurais-je en baissant la tête les yeux inondés de larmes.
Il me serre dans ses bras comme si j'étais une petite chose fragile qu'il fallait à tout prix protéger. Mes larmes mouillent le pull de Thomas et je l'entends renifler. Il pleure lui aussi. Il m'éloigne lentement.
-Promet moi de me prévenir pour plus tard.
-Je te le promet.
-Viens, je vais te montrer ta chambre.»
Il me conduit à ma chambre et me dit de m'installer et de faire comme chez moi. J'enlève mes affaires de ma valise et les ranges dans l'armoire. Je m'assoit au bord de mon lit et repense à tous les évènements. Je me prends la tête dans mes mains, commence à pleurer et sors de ma chambre. Je vais dans le salon où je regarde la télévision. Thomas est partie au travail, je suis seul... seul avec mes questions sans réponses, seul avec mes craintes, seul avec ma peur... mon portable sonne. Je le laisse pendant deux ou trois sonneries puis je décroche.
"Newt ? Newt, dis moi que c'est toi... je suis désolé, je me suis comporté comme un con, reviens, je t'en supplie, je ne peux pas vivre sans toi... parle, dit quelque chose ! Je t'ai..."
Je raccroche avant qu'il ai fini sa phrase. Si il croit que des excuses vont réparer mon cœur brisé il se met le doigt dans l'œil. Je le déteste à présent. Mais... pourquoi je ne peux pas m'empêcher de penser à lui ? J'éteins la télé et m'allonge sur le canapé. Je ferme les yeux et m'endors. Thomas me réveille en me secouant.
«Newt ? Réveille toi, on va manger.
-Mmh... j'arrive.
-Dépêche toi.»
Je me frotte les yeux en m'étirant bruyamment.
«Quelle heure il est ? demandais-je en baillant et en me levant du canapé.
-Il est 20h30. me répondit simplement Thomas.
-J'ai dormi autant que ça ?
-Tu as eu une grosse journée, je peux comprendre que tu ai eu besoin de sommeil. Allez, viens manger maintenant, ça va être froid sinon.»
Je m'installe alors à la table de la cuisine et il pose une poêle -qui contient deux steaks- et une casserole de pâtes. Il vient s'assoir en face de moi et le repas se déroule dans un silence pesant. J'essaye d'engager la conversation.
«Sinon toi... ça va ? Le boulot, Teresa, la vie en générale ?
-Mmmh... se contenta de me répondre simplement celui-ci en mâchant un bout de son steak.
-Quoi de neuf ?
-Oh, rien de spécial... marmonna-t-il en haussant les épaules. À part... non rien, laisse tomber c'est pas grave.
-Ah non ! Tu m'as aidé, maintenant c'est à mon tour !
-C'est rien je te dis... murmura Thomas en trifouillant ses pâtes avec sa fourchette.
-Thommy... je veux savoir.
-Tu avais raison... à propos de Teresa... je l'ai surprise en train d'embrasser Gally... un collègue que je ne supporte pas. Elle me trompe, Newt... depuis le début.
-Je suis désolé Thommy... je n'aurais pas du te dire ça, tu sais je ne l'aimais pas mais je ne pensais pas vraiment qu'elle te trompait...
-Tu as eu raison, sans toi je n'aurai rien vu. Merci.»
Je baisse la tête avec une mine un peu piteuse. Je ne peux m'empêcher de penser que nous n'avons pas de chance. Après avoir finis de manger, j'aide Thomas à débarrasser. Nous nous asseyons sur le canapé devant la télé et nous mettons "Paranormal Activity". Dès le début je cris comme une fillette en me réfugiant dans les bras de mon frère. Nous hurlons tous les deux et quand le film se termine nous soufflons de soulagement. Il est 00:10 et nous allons nous coucher. J'entre dans ma chambre et enlève mon t-shirt. Je touche mes nombreux bleus et je grimace. J'ai fais le bon choix, il ne faut pas que je regrette... je me glisse entre les draps froids et je frissonne à leurs contact. Je me retourne maintes et maintes fois dans mon lit. Je finis finalement par me coller au mur et à réfléchir. Je réfléchis tellement que mes yeux commencent à peser et je m'endors.
Je me réveille vers dix heures et demi. Mon premier geste est de regarder mon portable. Le néant. Il ne m'a pas envoyé un seul message. Bizarrement, ça me met mal...
Je remet mon t-shirt d'hier et range toutes mes affaires dans ma valise. Je décide de rédiger un petit mot à Thomas pour le prévenir que je pars. La nuit porte conseil comme on dit.
Je sors de chez lui et marche jusqu'à arriver près de chez Minho. J'ai le cœur qui bat à cent à l'heure, j'appréhende nos retrouvailles... je prends finalement mon courage à deux mains et toque à la porte. Une voix me raille un "entrez". J'hésite un moment et pousse la porte qui grince. La maison est beaucoup moins chaleureuse que d'habitude et je découvre le sol jonché de bouteilles d'alcool brisées en milles morceaux. J'ai peur... mon cœur bat à un peu plus à chaque pas et ma respiration se fait lourde et saccadée. On se croirait dans un film d'horreur... pourquoi j'ai regardé ce film hier, moi ? Un bruit me fait sursauter et j'avance jusqu'au salon, la boule au ventre. Je trouve finalement Minho en piteux état, assis au fond d'un fauteuil, la bouche fermée, les yeux creusés d'immenses cernes et embués de larmes, les joues sales et mouillées, les sourcils froncés. Il avait posé ses bras tailladés sur les accoudoirs. Il s'était fait du mal... à cause de moi. Je pleure. Cette image de lui est juste affreuse. Et pourquoi s'est-il fait ça ?
Je m'avance doucement en essayant de contrôler les battements de mon cœur et ma respiration qui s'accélère. Il tourne lentement la tête vers moi et sa bouche s'ouvre. Ses sourcils se haussent, ses yeux pétilles et il se lève. Je me recule légèrement et je vois le visage de Minho s'illuminer. Il court vers moi et me serre fort dans ses bras. Il prend enfin la parole.
«Putain Newt... Newt ! Tu m'as tellement manqué ! Où étais-tu ?
Je ne répondis rien.
-Parle moi, dit quelque chose, qu'est-ce que tu as fais ? (Il frotte sa main sur son bras droit mutilé) je suis désolé... tu ne peux pas savoir, tout ce que je t'ai fais... et pourtant tu es resté avec moi... tu es trop gentil, je m'en veux tellement, je ne te bâterai plus jamais, je ne boirais plus jamais, je ne draguerai plus jamais d'autres gars, je ne dirais plus jamais que j'ai honte de toi, tu es le seul qui compte à mes yeux, je m'en suis aperçu quand tu es partis, il y avait comme un vide dans mon cœur, je t'aime. Et je veux que tout le monde le sache. Je t'en supplie, pardonne moi, je suis un idiot.
-Oui... me contentais-je d'articuler. Mes lèvres se fendirent en léger sourire. Je savais qu'il était sincère.
-Je t'aime aussi Minho.»
Il s'approche de moi et nous nous perdons dans un baiser langoureux, j'enroule mes bras dans le cou de Minho qui passe ses mains sous mon t-shirt. Je grimace face à ses mains froides sur mes blessures et il l'enlève avec le plus de douceur possible. C'est à moi de m'attaquer à son t-shirt et je lui hôte rapidement. Nous nous retrouvons tous les deux torses nus et je remarque des centaines de griffures sur son torse musclé. Je décolle ma bouche de la sienne.
«Tu n'aurais pas du...
-Je t'ai dis que je m'en voulais.
-Oui mais quand même pas jusque là...
-Je suis désolé.
-Ne recommence plus.
-Promis.
-Je t'aime.
-Je t'aime aussi.»
Et nous nous ré-embrassons longuement. Il me plaque sur le sol et nous nous envoyons finalement au septième ciel, au milieu des morceaux de verre.
Nous remettons nos vêtements et Minho m'entraîne dehors par la main. Il m'emmène dans un petit parc assez peuplé et là, il fait quelque chose auquel je ne m'attendais pas du tout. Il pose un genou sur le sol, sort une petite boîte de sa poche, l'ouvre et me la tends.
«Newt Greenie, veux-tu m'épouser ?»
Mon cœur loupe un battement et je lui répond un «oui» sonore. Tout le monde nous applaudit et Minho m'embrasse.
----------------------------------------------
EEEETTTT VOILÀÀÀ !
Comment vous dire à quel point je trouve que c'est de la grosse merde ? Hum... bon... on est d'accord pour dire que l'histoire n'est absolument pas cohérente ? Newt le pardonne beaucoup trop tôt ! Mais bon... n'oublions pas que c'est pour un concours et que le minimum de mots à faire étaient 350... et j'en ai quand même fais... 2464 0.0
C'est déjà beaucoup trop long, vous croyez que je vais me faire recaler à cause de ça ? \O/
J'espère pas :0
Bon bref, je trouve que cet OS change un peu des trucs tout roses qu'on voit d'habitude mais ça reste quand même assez... nul ? Mais si vous n'êtes pas d'accord avec moi faites moi le savoir en commentaire et dites moi pourquoi et si vous êtes d'accord dites moi pourquoi en commentaire ! :3
Voilà voilà, je vous aaaiiimes ! :3
Bisoooouuuus <3
