-ciao
-salut Anthony!
-ha... salut Emmie
-comment tu vas ?
-sa va...
-heu désolé on doit y aller, viens Anthony.
-oui, au revoir
-c'est qui elle ?
-ha , c'est Emmie, une fille de ma classe
-elle t'aime non ?
-je ne sais pas mais moi non
-j'espère bien.
Je la sens pas trop la Emmie, elle est vraiment bizarre.
La matinée passe. Je vais chercher Anthony pour aller voir ma sœur. Aujourd'hui Léo ne me suis pas.
Anthony et moi marchons tranquillement jusqu'à l'hôpital.
-ha oui, c'est aussi bizarre que ce que tu m'avis d écrit
-tu n'as encore rien vu !
-c'est déjà beaucoup !
-oui.. bon allez on y vas
-oui.. allons-y
Nous rentrons dans l'Hospital et je toque à la chambre 144. Ma sœur nous ouvre.
-ho salut Anna, je suis contente que t'es pu te libérée !
-oui moi aussi je suis contente !
-mais je t'avais dit de venir seule...
-oui je suis désolée mais c'est une promesse
-oui tu m'a promis que tu viendrais seule
-non je ne parle pas de celle là !
-tu parle de laquelle alors ?
-celle qu'on c'était promis de dire dans les 3 jours qui viennent si on a un copain.
-c'est ton petit copain ?
-oui !
-ho je suis contente que tu me le présente ! effectivement vaux mieux venir avec lui que seule ! bon bein salut alors, je suis Any, la sœur d'Anna !
-salut, je suis content de te voir, Anna m'a beaucoup parlé de toi !
-he bon ? et en bien ?
-oh oui ! elle t'aime beaucoup !
-bon sinon tu t'appelle comment ?
-Anthony !
-d'accord. Bon vous allez pas rester la toute la soirée !
On rentre dans sa chambre ; je m'assoie sur un vieux fauteuil délabré ; d'un vieux revêtement dont la couleur à disparue avec le temps. Anthony, lui, préfère rester debout appuyé sur un mur aussi miteux que le fauteuil.
La soirée passe et nous partons. J'ai promis à ma sœur que je viendrais la revoir d'ici peu.
La semaine passe elle aussi à une vitesse folle. J'ai fait une magnifique rencontre avec la sœur de Anthony, maintenant nous sommes presque inséparables.
Le lundi matin, à la récré, Anthony vient me voir en courrant. IL ne me dit même pas bonjour, il prend Louise et la plaque violemment contre le mur.
-mais Anthony lâche-le ! qu'es ce qui t'arrive ?
-pourquoi tu l'a dit ?
-mais de quoi tu parle Anthony ? je ne comprend rien !
-elle elle le sait très bien de quoi je parle !
-mais dit moi je sais pas moi !
il lâche Louise et me regarde d'un air énervé.
-ta chère amie Louise est allée tout balancer au directeur !
-mais de quoi tu parle ?
il n'eut pas le temps de répondre, dix personnes autour de moi me posèrent plein de questions.
félix, mon meilleur ami depuis quelques jours (oui personne est au courrant) passa devant tout le monde.
-sa va Anna ?
-mais de quoi vous parlez bon sang !
-de ton agression !
je fondit en larme. Comment avait-elle pu me faire sa ?
je partis et me dirigea vers Louise et Anthony, restés à l'écart.
-Comment as-tu pu me faire sa Louise ? je croyais qu'on était meilleures amies ?
-je suis désolée Anna, je ne supportait pas que tu te rapproche de Julie comme sa !
-mais tu ne pouvais pas me faire sa ! tu me l'as promis !
-je suis désolée...
-tu n'as pas à être désolée. Au revoir. Et ne compte plus sur moi pour quoi que ce soit.
-non Anna je t'en supplie écoute moi !
je parti, la laissant pleuré sur son banc. Mes larmes coulaient de plus en plus vites et de plus en plus nombreuses. Anthony est déjà rentré en classe mais dans le couloir je croise Emmie.
-salut Anna !
-salut.
-tu vas bien ? je trouve que sa se fait pas de faire ce qu'il a fait !
-qui sa ?
-eh bien , Anthony !
-qu'es ce qu'il a fait ?
-tu n'est pas au courrant ?
-non qu'est ce qui a ?
-il a dit au directeur que tu t'était fait agressée
-mais ce n'est pas lui !
-bien sur que si ! en plus de sa il accuse ta meilleure amie ! ne t'inquiète pas, je suis là si tu as besoin
-d'accord merci en tout cas
je parti en cour, toujours en larme
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Différente
Aktuelle Literatur"Aller à cet endroit est vraiment flippant, c'est une sorte d'adrénaline quotidienne. Avancer dans cette allée de personnes aussi bizarres les unes que les autres ; dans cette foule rempli de cheveux trop laqués, de visages trop maquillés, de corps...