Le Règne de IG 158 (Star Wars)

Partie 3 - Chapitre 3 - La Campagne de l'Etoile de la Destruction

La Campagne de l'Etoile de la Destruction se poursuivait. Nous avions déjà visité deux mondes, Cadomaï et Mon Calamari, qui n'avaient pas survécu à l'assaut de notre nouvelle station de combat, il en restait deux. Nous faisions maintenant route vers Moorja, la troisième planète sur la liste de nos cibles, la République devait savoir à quoi elle avait à faire mais n'avait aucun moyen de détruire notre station et ne savait pas où serait la prochaine attaque. J'avais renforcé l'armée avec de nouveaux croiseurs de ma propre armada et deux Interdictor, au cas où l'un deux serait détruit. Qu'elle que soit la taille de la flotte ennemie, ceux-ci devraient, normalement, fuir le système une fois Moorja détruite. A notre arrivée une importante flotte républicaine nous attendait, apparemment ils avaient fortifié leurs positions en vue de la prochaine frappe. La bataille tourna cours, nos Supremator étaient supérieurs aux navires ennemis et l'Etoile de la Destruction explosa rapidement la planète... Alors la flotte républicaine commença à s'enfuir... mais c'était un leurre. Rapidement celle-ci revint et des renforts arrivèrent et nous encerclèrent. La bataille fut rude et les croiseurs ennemis étaient bien équipés. Il devait-y avoir au moins tous les croiseurs de la zone contre notre frêle escorte. Même s'ils ne pouvaient détruire l'Etoile de la Destruction ils pouvaient détruire notre flotte ou la faire reculer et notre attaque aurait alors été vaine et Moorja détruite pour rien... Cela ne devait absolument pas se passer ainsi :

-« Bon sang commandant, dis-je au capitaine de l'IG 14, comment ces navires sont arrivés ici ! »

-« Nous ne savons pas seigneur, répondit le capitaine, nous devrions battre en retraite... »

-« Jamais, répondis-je ! J'ai un plan : il faut nous regrouper autour de l'Etoile de la Destruction, sa puissance de feu compensera notre manque de vaisseau... »

-« Bien, seigneur, dit le capitaine, A toute la flotte regroupement autour de l'Etoi..."

Soudain un grand "Boom" retentit et secoua le vaisseau, il ne s'agissait pas d'un tir... puis plusieurs autres bruits semblables suivirent :

-« Que se passe-t-il encore, demanda Zarg énervé ? »

-« Nous sommes abordé, répondit un officier !! »

-« Comment, m'exclamais-je ?! Tous à votre poste, barricadez le pont principal, personne ne doit entrer !! Faîtes le vide dans le couloir qui y mène... cela les empêchera de venir forcer la porte ! »

Nous étions abordés, plusieurs commandos républicains arpentaient l'IG 14. Grâce aux caméras nous pûmes suivre leur progression, à ma grande surprise ils ne tentèrent pas de détruire le navire mais forcèrent les archives et les passerelles... ils cherchaient quelque chose... Puis, sans que nous en apercevions, un bruit retentit derrière la porte du pont, les commandos avaient trouvé un moyen de contourner ma ruse, ils étaient en combinaison spatiale pour survivre au vide et tentaient maintenant de forcer la porte. S'ils entraient, tous les hommes à bord allaient mourir par le changement d'environnement et le navire serait perdu. Après tous ce qu'il avait endurés depuis sa création, je refusais de le perdre aussi stupidement. Je réactivai alors la pression et l'oxygène dans le couloir et dis à Zarg :

-« Il ne doivent pas entrer, c'est le dernier pont faisant fonctionner le navire. Venez avec moi et tuons-les. »

-« Avec plaisirs seigneur, me répondit-il... »

Je sortis alors avec Zarg et nous commençâmes à engager le combat, les soldats républicains étaient acharnés mais mes techniques de combats étaient meilleures. J'étais à peine à couvert mais abattais aisément les soldats ennemis alors encombré par leur armure de survie. Zarg s'était avancé au plus près et supprimait les soldats un à un, les détournant de moi. Il démembrait les envahisseurs ou les projetait contre les murs. Il éclata la tête d'un soldat avec son pied et poursuivit en brisant le genou d'un autre, toujours avec son pied. Il prit ensuite son arme et tira à trois reprises sur trois soldats différents qui chutèrent à terre. Après quelques minutes, les assaillants furent tous vaincu et nous retournâmes sur le pont se barricader. Le capitaine me fit immédiatement son rapport, le vaisseau se vidait de ses ennemis. Soit ceux-ci étaient tués, soit ils s'échappaient en volant des chasseurs ou en repartant depuis leurs capsules d'abordage. Ainsi nous reprîmes le cours de la bataille qui, grâce à mon plan, penchait en notre faveur. Mais nous apprîmes que l'Etoile de la Destruction avait subi également un abordage comme nous, même si ses envahisseurs continuaient à fuir la station. Finalement, au prix d'un combat acharné, la flotte républicaine se replia et nous récupérâmes les restes de Moorja :