Le Règne de IG 158 (Star Wars)

Partie 4 - Chapitre 1 - Problème sur Moorja...

Partie IV: La Guerre des Super Destroyers (1ère partie)

Sur Moorja, la flotte impériale se met en alerte...:

-« Tous à vos poste, ordonna le commandant de la flotte, nos senseurs indiquent qu'une flotte républicaine arrive... ça fait dix ans qu'on les attend alors soyons prêts... »

La flotte principalement constituée de Supremator s'activa et se plaça autour de la station de défense, conçue durant la Course à l'Armement pour renforcer la défense des systèmes vulnérables comme Moorja ou stratégiques. Alors, de multiples croiseurs squelette sortirent de l'hyperespace, et cette flotte se dirigea droit sur la station impériale comme si rien ne pouvait l'effrayer... :

-« Comment, s'étonna le commandant ? Mais... ce n'est pas possible... nous avons battu cette armée il y a dix ans... ce devait être une flotte républicaine... »

Il se ressaisit et reprit :

-« Bien, si les Squelettes reviennent nous allons bien les accueillir. Feu à volonté sur ces croiseurs, montrez-leur comment l'Empire traite ses anciens ennemis quand ils ressuscitent... »

Alors toute la flotte impériale se mit en mouvement et engagea la flotte squelette. Les croiseurs squelette, trop bien connu de l'Empire, ne faisait pas le poids. Cependant, après quelques minutes de combat et la destruction de nombreux vaisseaux squelettes, une nouvelle flotte apparut non loin du champ de bataille et parmi eux, un destroyer de près de vingt kilomètres de long. De couleur majoritairement marron, parsemé de teintes rouges et blanches et de forme compacte mais élancée, le croiseur ne montait pas trop en hauteur. Sa proue était rectangulaire, s'élançant en s'écartant pour doubler la largeur du vaisseau à son autre extrémité. L'avant était le point le moins épais, laissant apparaître de nombreuses proéminences de quelques mètres seulement, comme sur les antiques Cuirassés Executor alors que le milieu était parfaitement lisse. L'arrière, moins lisse, conservait son épaisseur et se séparait en trois bloc soudés : les deux réacteurs géants du navire, de près d'un kilomètre de long chacun pour une ou deux centaines de mètres de haut, de couleur blanche au sorties rouge, et le centre, ou une légère proéminence se dessinait doucement en extrémité jusqu'à atteindre la hauteur des deux réacteurs. Le navire était véritablement impressionnant, d'une forme encore jamais vue... :

-« Mais qu'est-ce que c'est que ce truc, bon sang, hurla le commandant !! Depuis quand la république sait construire des super destroyers !! Feu à volonté dessus, il ne doit pas être si coriace ! »

Alors toutes les armes de la station se mirent en position attendant que le gigantesque croiseur soit à porté de tir mais il n'avança pas. La partie lisse se mit en mouvement et le milieu du navire s'ouvrit vers le haut. Il s'agissait en réalité de deux pales qui fermaient un immense compartiment situé juste au milieu du navire : un hangar. De ce hangar sortit une nuée dense de chasseurs qui se dirigea droit vers la flotte et la station, accompagnée du reste de l'armée. Le combat était totalement inégal, le nombre de vaisseaux républicains était trop important et les défenses impériales ne purent encaisser l'assaut. La station était endommagée et le super destroyer se dirigeait vers celle-ci. Une fois à portée il pilonna la station avec une telle violence et un tel feu nourrit que la station fut rapidement détruite et le commandant, qui y était, périt...:

-« Il faut fuir, dit le commandant d'un Supremator, préparez-vous à faire route vers Coruscant, nous n'avons pas les moyens de vaincre cette armée. Et nous devons prévenir l'Empereur. »

Le Supremator, et quelques autres frégates, réussirent à s'extirper de la bataille et quittèrent Moorja... A leur arrivée, ils me firent leur rapport. Ce super destroyer dont il parlait ne me surprenait pas, je savais que la République avait de nouvelles armes, et je connaissais maintenant leur nature. Je devais juste savoir combien de ces vaisseaux elle possédait pour savoir comment réagir et quelles autres armes elle cachait. Mais maintenant que la République c'était montrée au grand jour, le travail des services secrets n'en serait que plus facilité. Après huit ans de paix, la République nous entraînait dans une nouvelle crise, mais j'étais près à toute éventualité... ou presque...