En cette journée d'été, le soleil brillé de mille éclats, le ciel d'un bleu si beau, si clair, offrait un temps parfait. Une journée parfaite, naturellement, que bon nombre de personnes passaient à la plage, à s'amuser dans l'eau transparente, bleuté, salé et brillante de propreté. Sur le sable chaud, brulant, comportant des microparticules assemblé ensemble. À s'amuser, à discuter, à se faire de nouvelles connaissances, de nouveaux amis, à voir de nouveaux visages...C'était une journée toute simplement parfaite.
Je m'étais habillait d'un léger t-shirt pour ne pas avoir chaud et d'un short accompagné d'une pair de sandale. Mes cheveux, d'un blond naturelle était attaché pour le plus grands plaisir de mon coups qui pouvait sentir la douce brise maritime. À travers mes lunettes tinté, j'observais, contemplais, admirais, l'horizon à perte de vue qui s'était d'envoilée à moi. Un sourire vint éclairer mon visage, j'étais arrivée.
Décidais à passer cette belle journée à la plage Hargeon , je m'y étais rendue, la je passais mes vacances.
Magnifique.
C'était le mot que je cherchais, le mot qui pouvait décrire, identifier, expliquer le plus clairement ce que je voyais à travers mes pupilles de cette couleur praliné. Doucement, lentement, je m'avançais, je marchais, je abandonnais sur ce sable doux, fins, d'une couleur assez particulière je dois l'avouer. Doucement, j'atteignais une place vide, un transat était libre quelque peu mouillé .Aussi doucement, je plaçais ma serviette rose sur le transat avant d'ôté, d'enlever, de me libère de ses vêtements léger mais qui m'apportait encore de la chaleur. En dessous, je portais un maillot simple comportant une couleur rosée et tout autour des étoiles dessiné.
Je m'installais, confortablement sur le transat en m'allongeant précipitamment. Je regardais un moment le ciel bleu clair, avant de tournée la tête, énervée, frustrée vers une fille aux cheveux argenté qui parlait joyeusement, sans gène ni complexe à un jeune garçon aux cheveux couleur or qui venait de s'accroupir à cotés d'elle. Toujours aussi énerve, je lui dis :
« Qu'es que tu fais Mira ? »
Elle se retournait vers moi, me transperça de son regards aussi bleus que le ciel que je contemplais précédemment. Avant de, ne m'offrant aucune parole ni intérêt, se tournait vers avec se garçon qu'elle laissera surement tombé le lendemain.
Je soupirais, agacée, blasée par l'attitude que je trouvais enfantine de ma meilleure amie, je tournais de nouveau la tête, cette fois vers la mer. La ou toute sorte de personnes s'amusaient, se chamaillaient, discutaient. La ou une multitude de couples se caressaient, s'embrassaient, se câlinaient. Comme j'aurai aimais être à la place de ces femmes aux yeux pétillant de joie et de bonheur de pouvoir ressentir au moins une infinie partie de leur bonheur, rien qu'une fois. Pouvoir être amoureuse, c'est mon rêve depuis toute petite, de rencontre le prince charmant, et à force de lire des contes-de-fée, des romans à l'eau de rose, des multitudes de shojos. Je suis devenue une grande romantique, et je restais là à mes heures perdue a m'imaginé être dans les bras d'un homme fort et musclé, d'un homme gentille et attendrissant.
Je restais là à m'imaginais plusieurs scénarios, des histoires, une autre vie, celle que je rêvais de vivre à deux. Mais à force d'attendre le prince charmant, je suis restais encore célibataire à dix-sept ans, quel triste vie.
Mon regard défile alors sur les vagues qui s'amonceler avec beauté sur les flans de la plage. Avant de, en un instant se perdre sur une personne parmi tant d'autre, sur un jeune garçon d'à peu prés mon âgé. Je le regardais avec admiration, sur sa planche aussi blanche que de la neige, la ou étais graver, marquais, incrusté un sceau. Lui était sur cette fameuse planche, confiant, courageusement, il prit une vague et chevaucha facilement, agilement il enchainé figure après figure, mouvement après mouvement me laissant ébahie, interdite face aux prouesses qu'il venait de réalisé.