Chapitre 1

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Être


Prologue

Je vous raconte ici l'histoire de ma vie. Elle n'a certainement pas été la plus belle que le monde ai pu offrir aux humains mais je crois qu'elle mérite d'être racontée.

CHAPITRE 1 :

J'étais dans ma chambre à rêver de la vie que j'aurais voulu avoir: une vie plaisante qui m'aurait donné des surprises qui m'auraient obligé à faire des choses bien, à être connue de mon entourage pour mes actes. Au lieu de ça je me retrouve ici dans ce petit appartements de Paris ,écrivant dans mon carnet ma journée comme je le faisait à chaque fois, attendant ma fille. Mon appartement ne contenais que cinq pièce chacune de taille presque égale. Ma chambre étais en un souc que je n'aurais jamais cru possible de ma part, car trop de quelque chose m'énervait rapidement et ça pouvais devenir assez dangereux pour mon mobilier. Elle etait plutôt  petite avec simplement le minimum : un meuble pour ranger mes vêtement, une table de nuit, un lit et un bureau. Habituellement elle était toute rangée et rien ne dépassait des tiroirs, les choses étaient bien à leurs place sur mon bureau, mais aujourd'hui je ne pût rangée le moindre recoin de ma chambre tant j'étais stressé , il y avait des vêtements par terre, un tas énorme de linge sale, le bureau croulants sous tous le poits de mes affaires et de paquets de lettre , de paquets de cadeau (car aujourd'hui c'était mon anniversaire) non ouvert, de vêtement propre posé à la hâte sur le tiroir , ne pouvant rien ranger. J'eu le pressentiment que quelque chose d'important m'attendais parmi ces lettres mais mes yeux s'attardire sur un cadre et je laissais mes souvenirs m'engloutir laissant disparaître le stress qui me rendais si nerveuse en me laissans submergé par mes divaguation...

Je revis son visages figé à jamais , les gendarmes qui secouais la tête négativement après leurs avoir demandé s'il survivrait m'expliquant qu'ils l'avait retrouvé mutilé à mort dans un fossé non loin de chez nous , que la chose qui l'avais tué n'avais que pu faire ceci en sachant ce qu'il faisait car cette personne ou cette chose avait pris le plus grand soin de ne laisser aucune trace . Mon mari étais un homme bien qui n'avait pas peur de prendre des risque, et qui avait la volonté de ne jamais baisser les bras de ne jamais dire jamais de ne jamais dire impossible. Pour lui si on y croyait assez et si on étais près à tous sacrifier s'il ne restais qu'une issue on pouvait toujours tout réussir et il donna raison à ses paroles encore une fois en mourant pour protéger sa famille il y croyais il a tout sacrifié jusqu'à sa vie. Aucun policier ne savait que je me doutais de quelque chose: nous avions eu des menaces par courriel d'un anonyme qui nous disait que si nous n'arrêterions pas tout de suite ce que ma fille était en train d'apprendre il la ferai arrêter à sa manière et mon mari et moi aussi mourions. A ce moment là ni mon mari ni moi n'avons su quoi faire nous avions tout essayé jusqu'à que cette personne nous renvoi un courriel que je devinais plus menaçant cette fois ci , et mon mari la brûla tout de suite avant que je ne puisse la lire et quitta la maison à toute jambe. Il y retourna jour après jour et à chaque fois il revenais plus sombre , plus fatigué , plus déprimé et surtout plus blessé intérieurement et physiquement . Je lui ai alors un jour demandé ce qu'il faisait la bas tout en lui mettant un bandage autour de son bras et il me répondit qu'il nous protégeais et que je ne devrais absolument en aucun cas le suivre ou je lui infligerais plus de souffrance encore que si je l'avais laissé y aller ainsi. Jusqu'au jour ou je devins ce qu'il allait se passer, je pris peur et décida d'aller voir ou il se rendais même si je savais qu'il en souffrirai si je m'étais mise en danger alors qu'il se sacrifiais pour ma fille et pour moi; mais je le fis quand même croyant pouvoir l'aider, croyant pouvoir le débarrasser de ce fardeau qu'il portait seul, horriblement seul et ce que je vis me fis peur , affreusement peur il nous protégeais contre quelqu'un qui...

C'est à ce moments là que j'entendis un bruits dans la cuisine , je sortis de ma rêverie et je me précipita dans la cuisine croyant que c'était ma fille , le bruit avait l'apparence d'une plainte et en même temps d'un grognement féroce,mais je trébucha contre le tas de linge sale gigantesque que j'avais laissé en plan devant mon lit c'est à ce moments la que j'entendit encore une fois le bruit , plus distinctement cette fois . Je n'aurais su dire la première fois de quoi ou de qui s'agissait-t-il mais je savais que ce que je verrait dans ma cuisine ne serait rien de très beau à voir ou très plaisant . Le bruit mélangeant souffrance , froideur, haine et surtout purement et simplement de la hargne animales. Je pris peur couru encore plus vite croyant que ma fille se serait blessé ou que quelqu'un aurait besoin de moi tentant d'oublié la fureur qu'exprimait le bruit en même temps , mais ce que je découvrit en entrant dans la cuisine me glassa d'effroi . Je ne vit rien qu'une traînée de sang ce dirigeant jusqu'à mon salon , j'eu si peur que j'en fût paralysée : et est-ce dangereux ? devais-je appelé la police ?, ou au contraire courir jusqu'au canapé et aidé ce ou cette personne qui étais visiblement très mal au point ? Je décidait d'aller voir et d'avisé en voyant les dégât malgré ma peur . Ce que je vit fût naître en moi un instinct de survie inexplicable et couru jusqu'à m'en évanouir chez la seule personne que je croyais capable de me protéger contre pareille être.

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