.20.

694 30 5
                                    

ATHÉA

Quand j'avais dix-huit ans je sortais avec un garçon du nom de Sam O'donneli, c'était le gendre idéal, il avait tout pour plaire. Grand, blond au yeux bleu et champion de natation au lycée. Nous avions sympathisé lors d'un devoir que nous devions faire en duo. Les premiers mois de notre relation on été très agréable à vivre, je connaissais sa famille et il avait rencontrer la mienne, nous avions pris l'habitude de nous voir chez lui, une maison presque aussi gigantesque qu'est la mienne à Londres. Il avait un grand projet d'avenir suivre les pas de son père qui lui est présentateur sur une chaîne nationale d'info de Londres.

Sam et moi n'avions jamais abordés le sujet de la sexualité dans notre couple. Pour moi c'est une chose importante, il faut beaucoup aimer la personne pour lui offrir sa virginité, ce n'est pour ma part pas une chose qu'il faut prendre à la légère, j'ai toujour souhaité que ma première fois ce passe avec un homme que j'aime plus que tout au monde, dans un lieu très romantique que cet homme ce donne à moi comme je le ferais avec lui mais la vision de Sam était tout autre. Pour lui couché avec son conjoint était une formalité voir une obligation .. Non plus encore un devoir. Il avait essayer plus d'une fois de me convaincre que le sexe n'était que du sexe et restait du sexe peux importe avec qui on le pratiquait, quand je lui est fais part de ma vision de ma première fois il m'a littéralement ris au nez me répétant que nous n'étions pas dans un des films romantique que j'aime tant regarder mais dans la vraie vie et que tout le monde couche dans la vraie vie peut importe avec qui, me rappelant également que certaines femmes en ont fait leur metier. Je me suis dis si pour des personnes la virginité ne représente rien alors pourquoi elle est si importante pour moi ?

Alors le jour où nous avions prévu de nous voir chez lui, je me suis dis que Sam était mon petit ami et que c'était tout à fait légitime qu'il réclame une certaine activité physique entre nous mais au moment où il voulu passer sa main dans mon soutien gorge afin de caresser ma poitrine, je ne pu m'empêcher de me revoir enfant jouant au côté de Méma au prince et à la princesse, prête à ce que son prince la libère de cette immense tour mais c'est ce moment là que choisie Méma pour poser le prince Daniel et me faire face, les mots qu'elle me dit sont resté gravé dans ma mémoire et je pense que si je m'en souviens des années plus tard c'est pour me rappeler à l'ordre dans des moments d'égarement comme celui-ci.

"Tu es une princesse Athéa. M'avait-elle d'abord confiée. Tu dois trouvée ton prince comme princesse Tina a trouver le sien. En parlant du jouet que je tenais dans mes petits doigts à cet instant. Un prince que tu aimeras pour toute la vie."

"Comme toi et M. Michael ?" Lui Demandais-je" Elle me gratifia d'un immense sourire et me répondit : "Oui voilà, tu dois trouver ton Michael comme j'ai trouver le mien."

Du haut de mes onze ans j'avais trouver ses mots sans grandes importance mais au moment où Sam posa ses mains sur ma poitrine encore recouverte de mon soutien gorge et les pressa comme s'il s'agissait d'un fruit, je me rendis compte peu à peu que Sam n'était en rien mon Michael, il était même loin d'en être un. Alors sans lui fournir d'explication logique au revirement de situation, j'enfila mon pull et sorti de cette chambre. Il n'était plus question de Sam ce n'était plus lui que je fuyais mais le sexe et cette peur panique de ne jamais trouver mon Michael.

Sam c'était senti si humilier par mon attitude qu'il rompu avec moi par sms le soir même. Les semaines passaient et mes parents me questionnait sans cesse sur l'absence de Sam qui lui ne me manquait pas autant que je l'aurais cru à l'époque. Quand j'ai fini par annoncer notre séparation à mes parents sans leur fournir le pourquoi du comment ma mère avait réagis comme si c'était sa vie amoureuse qui venait de prendre fin me questionnant sur les raisons de notre subite séparation et quand elle me demanda s'il s'agissait d'un problème de sexualité je ne pu m'empêcher de rougir ce qui l'avait mis sur la voie et suite à sa ma mère eu l'idée la plus gênante de toute ma vie, envoyer mon père me parler de la sexualité, de ses éventualités, des personnes avec qui nous le faisons, de ses risques et également de ses maladies. Et je crois que si elle l'a obligé à accomplir cette tâche plus que désagréable pour nous deux c'est que son metier y est pour quelque chose, en tant que gynécologue il doit en savoir un rayon sur ses choses là.

《 Athéa K. Il est mon Opposé et Pourtant ... 》Où les histoires vivent. Découvrez maintenant