L ENLEVEMENT

Le dimanche vingt sept decembre ma tante nous envoyames mon grand frère et mois chez la vendeuse de beignets pour faire une commande à de l' anniversaire de sa fille.Tout à coup un incident c'est produit.C'était un dimanche soir à l' ocasion de l'anniversair de ma cousine ma tante nous envoya mon grand frère et moi chez sofie la vendeuse de beignets vers les environs de vingt trois heures pour une commande.En cour de route mon grand frère me raconté des histoires drôles nous nous amusions c' était si merveilleux jusqu'à se nous franchisames un quartier obscur, les portes etiez fermé, iln' y avait personnes dans la rue tout est calme les maisons etiez si petites.En effet c'était le quartier de gouye mouride nous nous depechames alors de depasser cet endroit qui n était pas sur, nous marchames jusqu'à arrivé à côté d'un chantier.Tous à coup nous eumes entendu des cries qui n'étaient pas fort mais semblaient venir de cet chantier.Alors je dit à mon frère qu'il fallait vraiment quitté cet endroit.Mais mon frère refusait de m'écouté car il voulu à tout prix savoir se qui se passais.Il se rapprocha et jetta un coup d'oeil et il eut aperçu un homme qui avait de grant yeux qui ressemblaient à celle d'un hiboux un nez pointu,ses yeux de couleur ver le faisait ressemblé à celle d'un chat, il avait un moustache fournie et des rastas sur sa tête.Il n arrivait pas à voir le visage de la personne qui etait masqué. Ce dernier ressemblait à une femme ce qui est sur est qu' il a bien entendu le monssieur lui dire d'arrêté de crier.À ce moment là mon frère réfléchissait à ce que nous pouvions faire pour sauver cette pauvre femme soudain j'eus aperçu un marghouya sur le mur et j'eus crier tres fort l'homme nous voiya et commença à courir si vite pour nous rattraper; par maladresse j'eus heurté un pier qui me desequilibra et j'eus tombé et le monsieur m'attrapa en faisant chanter à mon frère en lui disant que s'il ne s' arrêtait pas il allait me faire du mal.Il s' arrêta alors par ce qu'il ne voulait pas que quelque chose de mal m'arrive. Il m'attacha dans un coin de la pièce et préparer à faire de même avec mon frère. Quand il se retourna pour prendre le cordre, il sentit un coup sur la tête et commença à l'insulté et lui dit:"tu vas me le payé très cher on ne frappe jamais rasta tu le regrettera".        -"Ah! J'ais pas peur de toi si tu est un homme vient te battre avec moi".                                                     -"Non je ne perdrai pas mon temps avec..."                                     -"Si tu refuge de te battre avec moi cela veut dire que tu n'es vraiment pas un homme".Il se mit en colère et commença à le frapper le maltreter et le traiter d'une façon qu'on ne traiterait même pas les animaux.J'eus des larmes aux yeux par ce que je ne supporté pas de voir mon grand frère adoré de se faire torturer. 
La femme que l'homme a enlevé de ne pas pleurer.Sa voix me sembla familière, je me retourna.En effet c'était Sara la voisine qui habite à côté de chez nous , elle n' avait aucune relation avec les gens.Je chercais par tout les moyens de me détacher mais j'y arrivai pas.Dieu mercie la police arriva.L'homme essaya de senfuir mais c'était trot tard car les policiers debarquerent et lui pointerent leurs armes alors il était obligé de s' arreter .Les policiers lui monoterent et l'embarquérent.                            
Quand à Sara et mon frère, ils furent amenés à l'hôpital. Le docteur ma consulté je n'avai aucun problème. J'eus parti au poste de police pour faire ma deposition et sara certainement le lendemain. Deux jours après Sara venus chez nous pour nous remercié et dit qu'elle voulait à tout prix voir mon frère. Nous partames ensemble à l'hôpital et le docteur nous dit qu'il allait bien et qu'il pouvait sortir dans deux jours.Sara nous tint la main mon frère et moi et nous dit:"si ce n'était pas vous à cette heures ci ma famille serait entrain de pleurer ma mort tout en sachant que j'ai été violé et assassiné.
Et oui comme le proverbe le dit :"l'homme et le remède de l'homme.