OS - ONE DIRECTION.

I look around me, and see sweet life

Larry.
Harry:

Depuis que je suis jeune, d'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours voulu avoir des enfants. Une famille nombreuse, heureuse dans une belle maison avec un grand jardin surveillé par un gros chien. C'est pas ce que les garçons de mon âge pensaient, mais ça m'était égale. Tout le monde a commençait à penser que j'étais gay. Ce n'était pas le cas. Ça ne l'est toujours pas.
Puis on a grandis, et je suis tombée amoureux pour la première fois. Puis pour la deuxième. Et la troisième à enfin était la bonne. Une étude prouve qu'à 20ans, une personne a 80% de chance d'avoir trouver la personne qui partagera sa vie pour toujours. C'est le cas pour moi. Ma troisième histoire d'amour à commencée en dernière année de fac. Je suis tombé amoureux de Julie, et c'est ma femme aujourd'hui. Et la mère de mon petit garçon de 8mois, Aiden. On vit dans une belle petit maison, a côté de Londres. Mais Julie ne veut pas de chien. Donc on a un chat, Kili. Je travaille comme journaliste au Daily News, et Julie a repris le travaille depuis un petit mois. Donc, avant d'aller travailler je dois déposer Aiden dans une petite garderie a une dizaine de minutes de mon boulot.
Ça fait quelques choses comme 4ans qu'on est ensemble, et 2 qu'on est mariés. Bien sûr, une routine c'est installée et depuis qu'on a appris que Julie était enceinte, tout à changer. Je m'en inquiète pas plus que ça.

- J'y vais, à ce soir, dis-je en embrassant rapidement ses lèvres, et en m'emparant du landau d'Aident.
- On doit discuter ce soir, me rappelle t-elle

J'hoche la tête et sors rapidement de notre maison pour rejoindre la voiture. Je prends grand soin à attacher Aiden, et prends le volant. Après un petit bout de chemin, j'arrive à la garderie. J'aime beaucoup cette garderie. Elle est bien située, assez réputée, calme et en plus, c'est une garderie participatif. C'est à dire qu'une fois par semaine, pendant une matinée ou une après midi, je dois travailler la bas. Enfin, travailler c'est un bien grand mot. Je nourris les enfants, leur raconte une histoire, et tout ce genre de trucs.
Je sors rapidement Aiden de la voiture, et je vais le déposer à l'accueil de la garderie. Lorsque je rentre, un châtain, aux yeux bleus, vraiment mignon, en sort. Un homme que je n'avais jamais vu avant. Il a des cernes extrêmement prononcés, des cheveux ternes, la peau légèrement jaune, et les yeux vides. Ses épaules sont abaissés, il est voûté, et il marche la tête baissée. Je ne peux m'empêcher de laisser mes yeux détaillée son corps alors qu'il est de dos. Et je le trouve vraiment attirant. Je secoue la tête pour m'enlever ce genre de pensées, et sors à mon tour pour me rendre à mon travaille.
De toute la journée, le châtain n'a pas quitter ma tête. Et j'ignore pourquoi. Je n'ai jamais été attiré par un homme, je n'ai jamais trouvé un homme attirant, je n'ai jamais pensé à un homme comme ça. Mais je sais pas, quand je l'ai vu c'est comme si des lumières clignotaient tout autour de lui, comme pour me dire c'est lui. Mais non, c'est pas lui. C'est Julie. J'aime Julie.
Bien sur, c'est moi qui est été chercher Aiden le soir à la crèche. Il est 18h15 lorsque j'arrive, et la garderie est ouverte jusqu'à 21h de toute façon. Je pousse les portes de la garderie, et vois le châtain, assis à une table jouant avec quelques enfants. Il travail ici? La question se répète dans ma tête, sans jamais passé la barrière de mes lèvres.

- Louis? Tu peux aller chercher Aiden, son papa est là pour le récupérer? M'interromps la voie de Cheryl, la femme qui s'occupe des arrivés et des départs.
Et c'est finalement le châtain qui me ramène mon fils. Il me souris timidement en me le tendant, et je lui souris en le remerciant rapidement. Je salue tout le monde, et repart comme je suis arrivé.
Lorsque j'arrive chez nous, Julie est la, dans le salon. Je crois qu'elle m'attends pour parler. Je m'approche d'elle avec Aiden, pour qu'elle lui dise bonjour, mais elle dépose rapidement un baiser sur son front avant de la poser dans son lit. Parfois, je la comprends que très peu.