Illusion

Partie 3 (fin) :prison de vengance

Quand j'étais qu'une ado à la recherche d'un autre monde, voir les humains, vivre, s'embrasser, se frapper, ne m'affectait pas. Mais maintenant, maintenant que je suis qu'une vieille femme, quand je vois ces jeunes gamins se tenir la main.. C'est un pincement au cœur que je ressens... J'aurais aimé connaître ça moi aussi.
La violance envers autrui Me fait du mal, aujourd'hui .. Mais à l'époque..

-Regarde mon échappée ! Il frappe une enfant ! Faut allez l'aider!
-Non. On a pas de temps à perdre pour une humaine.
-Mais quoi? Tu es dépourvu de sentiment ! Regarde cette pauvre gamine !! Elle souffre ! Et t'en a rien à foutre !
-La haine. La pitié. Ce sont des sentiment. Tu n'es pas un échappé. Tu m'aurais mentis?
-.. Oui peut être que oui. J'ai lu des écrit. Parlant de ça; "les échappés" quand je me suis rendu compte que t'en était une je voulais resté près de toi. Alors je t'ai mentis, pour pas que tu te sente seule.
-COMMENT OSES -TU ?!!
-et bien.. Je t'aimais..

Je l'ai frappé. Ce pauvre garçon qui voulait juste un peu d'amour. Qui m'avait tenu compagnie...
Un monstre, j'étais devenu un monstre.
Et mes certitude s'effaçaient.. Comme lui qui avait disparut, la fin du monde, le néant, l'illusion.. Tout s'effaçaient. Il me manque. Maintenant.

«Et mon échappée ! C'est finis... Maintenant. Tu as voulu te battre contre le monde, tu en a perdu la seule personne qui t'aimais, tu en a perdu ta vie entière. Tu avais des raisons de te méfier. Maintenant tu es prisonnière. Prisonnière de L'illusion. Je t'avais pourtant dit que t'était pas prête.»

Il c'est venger. De manière cruelle. Il avait raison. Quand j'ai voulu partir dans l'autre monde, L'illusion, âgée de mes 25 ans. Je suis arrivée et quand j'ai vu leurs visages... Si effrayant... Alors qu'ils étaient tous caché par un masque affichant le plus beau sourire menteur que j'avais vu.
La vérité s'ouvrit à moi; ce n'est pas le monde, c'est moi, qui risquait d'être détruite par le néant. Et il m'avait détruite... Après que je l'ai fait souffrir.

Ces hommes masqués tenaient dans leurs mains des fils de Pantins...
Ils m'ont prise et m'on enfermée dans un monde, dans une maison, ce monde là, ce nome, solitude.
Et souvent je vois le néant... Dans mes rêves. Il n'a pas vieillit depuis la dernière fois que mes pupilles ont pu le voir en vrai, il est toujours aussi beau, aussi charment. L'horreur c'est qu'il ce venge, de la fille que j'était, de la fille qui l'a frapper... Il se venge... En me laissant l'entrevoir depuis les barreaux de ma prison... 
Seule.. Je suis seule sur se fauteuil... Devant cette table ou ma main vieille et ridée comme mon visage, mon corps, se balade et écrit ces mots comme des pensées.

J'ai passé le restant de ma vie ici... Sur ce fauteuil... Je me suis fais bouffée par le néant qui voulait juste m'aider, au début...
Je le mérite...
Je l'ai fait souffrir...

Les échappés existent... J'était une échappée... Et à trop me préoccuper du monde, j'ai oublier qui je voulait vraiment sauvé...

C'est la nature humaine, chacun pour soit. Et que la guerre commence entre feu et sang personne ne s'en sortira.  les marionnettistes n'ont plus de rôle. Vous êtes seul. Entouré d'un monde égoïste. Un monde manipulateur qui peut vous rendre aveugle, sourd et muet.
Mais je compte sur vous, humain. Pour vous rendre compte que vous n'êtes pas des esclaves et qu'il est tant de faire vos choix. Sans que personne y déteigne.
Peut importe qui vous êtes, vous êtes tous égaux, toi dans ton lit entrain de lire, l'autre dans sa villa cherchant quoi faire de son d'argent, et celui dans la rue, qui a la force et la volonté de survivre dans le froid, sans toit. Vous ne valez pas plus pas moins. Alors il est tant de renversée ce que vous avez créé, une prison, ou une seule petite partie commende la population.
Vous n'êtes pas plus bas. Vous avez le droit.  Ne croyez pas au mensonge, de ce monde.

Maintenant que vous savez la vérité, vous êtes des échappés.
Je vous fais confiance. Que le monde ce venge.
                              Fin