Hades tome 1 : renaissance des dieux

Chapitre 1 : Renaissance d'un dieu ( en cours de correction )

Hades

la renaissance des dieux

Chapitre 1 : renaissance d'un dieu

Ben regardait la pluie tombé par la fenêtre de sa classe, l'air rêveur, sans faire attention au cours qu'était en train de donné son professeur. Il réfléchissait à quel jeux il pourrait joué ce soir avec les enfants de l'orphelinat St Elisabeth, ce même orphelinat dans lequel il avait grandi, jusqu'a ce que ses nouveaux parents l'adopte a l'age de huit ans.

Aujourd'hui était son quinzième anniversaire, et donc, il avait enfin l'age de faire du bénévolat a l'orphelinat. Ben était un jeune homme assez faible d'esprit, un grand rêveur, il avait des cheveux noirs mi long, avec des yeux d'un noir profond, et, était assez beau garçon.

Toujours bloqué dans ses pensées une main vint frappé son bureau avec une force déconcertante, et la voie rauque de son professeur, Monsieur Richardson André, ce fit entendre dans toute la classe :

« Eh bien monsieur Aïdôneus, si retourné dans votre orphelinat vous rend tant songeur, vos parents doivent être bien triste. Plutôt que de pensé a des enfants sans avenir, vous devriez songé au votre »

Monsieur Richardson été un homme avec une carrure imposante, qui faisait croire a tout ses élèves que sa vie était parfaite, il transpirait la fausse confiance en sois jusque sous sa chemise, qui laissait dépassé d'énormes aureole sous ses aisselle. Tout le monde savaient que monsieur R vivait seul depuis des lustres, il avait d'horrible cheveux gras, une coupe mi longue qui, en tombant sur son front, cacher de temps en temps ses petits yeux noirs, qui avaient tendance a loucher lorsqu'il s'énervait.

Pendant que ses camarades de classe ce moquaient sans s'en cacher, Ben lui ce contenta de serrer fort ses poings et d'attendre l'accalmie de ces railleries. Il faut dire qu'il avait l'habitude d'être le souffre douleur de ses professeurs, et plus récemment, celui de ses camarades. il ce contenta de soufflé et de tourné la tête en attendant que tout ce passe.

Son attitude avait le don d'exaspéré monsieur R, et, c'était surement ce que Ben préféré chez lui même.

Alors que le professeur arrivait vers lui avec la determination de lui mettre une centaines d'heures de colle, la cloche ce fit entendre, ce qui marqua la fin du cour. Ben rangea ses affaires et sans laissé Monsieur R dire le moindre mots, il partit pour l'orphelinat, sans réfléchir a la pluie démentielle qui s'abattait sur la ville.

Toujours bloqué dans ses pensées, il n'avait pas remarqué ses larmes en train de coulées, de toute façon, pleuré ou non, être heureux ou non, il s'en fichait. il avait été adopté par un vieux couple riche, qui n'arrivait pas a avoir d'enfant, et, a cause de leurs ages, ils avaient été forcé d'adopter un enfant déjà grand, tout ça pour quoi ? pour qu'ils le laisse avec des gouvernantes durant des mois, avec une carte de credit au budget illimité, en pensant que cela suffirait a comblé son manque, alors qu'au
contraire il ce sentait entourer d'une famille seulement lorsqu'il rendait visite à ses frères et soeur de l'orphelinat. Lorsqu'il reprit ses esprits, il ce rendit compte qu'il était
devant la porte de l'orphelinat. C'était une immense porte en chêne qui devait déjà avoir plusieurs années derrière elle.

Ben prit une inspiration, et ce décida enfin a poussé la porte, en ce disant a lui même :

« Et ben mon gros, tu es rentré chez toi ! »

A son entrée dans l'orphelinat, Ben remarqua que rien n'avait changé. Sur les murs couleurs saumon, ce trouvait toujours les mêmes dessins que les orphelins avaient fait pour égailler le hall d'entrée, il remarqua avec joie que son dessin était toujours la, c'était peu être un peu présomptueux de sa part, mais c'était son dessin préféré parmi tous. Ce dessin était pourtant plutôt sombre, il représentait un chien a trois tête noir, sur un fond rouge, avec quelques fantômes ici et là, qu'il voyait dans les rêves qu'il faisait enfant. Ce moment de nostalgie fut coupée cours par une voie familière qui lui fit monté les larmes aux yeux :