Comme quoi les Contes de fées n'hésite pas ! [Chronique]

CHAPITRE 3

Je fus rapidement réveillé par mon oncle qui me tira par les cheveux. Il crié je ne comprenais pas vraiment étant donné que je venais tout juste de me réveillé.

Il me donné des coups et continuer a crier.

-Amir : Alors comme ça tu attend d'aller a l'école pour faire ta kehba (pute) ? Tes comme ça en vrai je le savais mais attend tu va voir si tu va salir mon nom a moi !

Il me ruer de coups dans le ventre sur le visage, sur les bras, les cuisses. J'avais mal je ne sentais plus mon corps. Et je n'ai rien vu venir, j'étais allongé par terre de dos et il me prend par les cheveux et frappe ma tête contre le bitume. J'avais mal au nez a la tête, au cheveux je ne sentais plus rien. Il continuer a crier sur moi mais je ne comprenais plus grand chose. Je ne sentais plus rien je n'entendais plus rien... Je ne me souviens plus un trou noir est apparu. 

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J'ouvris mes yeux très lentement et avec difficulté. J'avais mal, très mal et partout. J'étais toujours allongé sur le ventre la ou il m'avait laissé, je n'arrivai pas a bouger ne serai ce qu'un doigt. Je sais déjà que mon visage sera rempli de sang, que je suis défiguré je le sais. Je n'aurai pas besoin de passé par la case sale de bain pour me contempler. 

Plus les jours passent et plus il devient de plus en plus violent et agressif avec moi, je sais déjà comment je vais mourir je n'ai aucun doute sur sa. Il me tuera un jour j'en suis certain et ça d'ici mes 18 ans. 

Je réuni toute les forces qu'il me rester et je me leva, je m'écroula plusieurs fois au sol avant de pouvoir me  lever et aller dans mon lit. 

J'étais allongé essayant de ne pas sentir les douleurs en pensant a des chose positif tel les contes de fées qui me donné un mince espoir de m'en sortir dans ma vie. Je voulais prier j'en avais besoin mais dans mon état je n'arriver vraiment a rien du tout. 

La porte s'ouvrit et ma tante apparu dans ma chambre avec son regard noir elle me tend le téléphone. 

J'inspira et le pris, elle me regarda avec un long regard.

-Allo... Dis-je d'une toute petite voix faible. 

-Mama : Salem aleikoum Benthi (ma fille) tu es malade ? Pourquoi ta voix est comme ça ?

-Moi : Ce n'est rien mama j'ai juste attrapé un rhume. Baba il va bien ? 

-Mama : Oui Al hamdoulilah il va bien. Je voulais te dire qu'on va venir te voir bientôt In Sha Allah. 

-Moi : In Sha Allah mama je suis pressé vous me manqué beaucoup. 

Je raccrocha cette nouvelle ma fait un grand bien. Je vais bientôt revoir mes parents et j'espère de tout cœur repartir avec eux. Ma tante sortie de ma chambre et en sortant elle me dit d'aller faire le repas. 

Je n'arriver vraiment pas a bouger et le repas je ne sais pas comment je pourrai le faire. J'essaya de me lever mais je n'y arriver pas. Je m'endormie. 

[...]

La semaine passa je n'étais pas allé en cours a cause de mon visage déformé. Rien ne changer pourtant je faisais toujours la cuisine et le ménage j'avais encore mal certes mais sa aller un peu et puis je n'avais pas trop le choix. Je me prenais des coup pour tout et rien a la fois. 

Une après midi il n'y avait personne a la maison, Fatiha était chez une de ses amie, Sana en cours, Yussef était sorti, Ma tante chez une voisine et mon oncle je ne sais pas.