Chapitre 8 / enfin le rapport

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Le lendemain matin, je me réveilla couché dans le divan, avec Louis couché à côté de moi sur le divan, je le secoua pour qu'il se réveille. Il me donna un coup de pied en réponse et ceci me fit tomber du divan réveillant les gars qui dormaient sur le tapis avec une couverture. Ils se levèrent tous en silence, Harry regarda son téléphone et vue qu'il était seulement 7 heure du matin, tendis qu'ils sont supposés venir travailler à 9 heure. Liam, Zayn, Niall et Harry rentrèrent chez eux, mais Louis dormait encore sur le divan. Je réssaya de le réveiller. Je le secoua en reculant pour ne pas recevoir un autre coup de pied. Cet fois-ci, il ouvrit les yeux et me regarda, je remarqua alors qu'il avait de beaux yeux bleus, on pouvait se perdre dedans facilement. On se fixa comme ça longtemps quand il me demanda où sont les autres gars.

Louis: ils sont partis où le reste?
Moi : chez eux, il est seulement 7 heure du matin
Louis : oh, je vais y aller moi aussi, je te donne un lift?
Moi : pour aller où?
Louis : ben chez toi, où d'autre?
Moi : je n'ai pas de chez moi, j'arrive de la prison je te rappelle
Louis : c'est vrai alors tu vas faire quoi?
Moi : prendre possession de ce divan
Louis : bon, je reste avec toi ici d'abord
Moi : non, non, rentre chez toi, je vais ramasser et travailler sur le nouveau cas
Louis : tu es sur?
Moi : ouais
Louis : bon et bien, à plus tard!
Moi : bye

Je m'assois sur le divan et attendis, je réfléchisais sur le cas présent. Il doit avoir pleins de témoins, je veux dire c'était dans un restaurant dans un centre d'achat alors pleins de monde on du voir le tueur ou la tueuse. Aussi, la fille qui était sûrement avec la victime, elle est où, a-t-elle vu quelque chose? Pauvre fille. Elle doit être traumatisé! Je me verrais pas aller à un rendez-vous toute heureuse et je ressors de là avec mon amoureux mort, d'une balle en plus devant moi! Je serais déjà à l'hôpital psychiatrique. À moin que ce soit cette femme-là qui l'ai tué... Il y a plusieurs possibilités.
Je commença à me promener sur l'étage. Soudainement, je rentra dans quelque chose ou plus quelqu'un, lui faisant échapper toutes ses choses. Automatiquement, je me pencha et l'aida à ramasser en m'excusant. Quand je remarqua qu'il avait un document au nom de l'unité deux, notre unité. Je lus le premier paragraphe qui parlait du meurtre. Le rapport du légiste était fait et je l'avais dans mes mains. La femme remarqua que je regardais ce document et me demanda si j'étais justement dans l'unité deux. Je lui montra mon tout nouveau badge qui était resté accroché sur mon pantalon en réponse, elle me remit alors le document. Mais avant que je ne m'en ailles, elle se présenta,

Elle : tiens, je suis Mélissa, secrétaire de M. Cowell
Moi : je suis Florence Morneau, je suis nouvelle dans l'unité deux
Elle : je sais, Simon ma beaucoup parlé de toi hier au restaurant, euh... je veux dire dans la salle de réunion bien sûr
Moi : ah.. Je savais pas, ravie de faire ta connaissance, j'espère te revoir!
Elle : mon bureau est sur le même étage que Simon, je veux dire M. Cowell, si jamais tu as besoins de quelque chose, n'hésite pas
Moi : t'inquiète, à la prochaine

Elle avait environ l'âge de Simon, et selon moi, il y a quelque chose qui se passe entre ces deux là, sourtout qu'elle n'arrêtait pas de rougir ou sourir bêtement. Je me demande si M. Cowell est dans une relation. Sinon, elle serait la femme parfaite, je les voie tellement ensemble, la femme chic, propre mais inconsciente avec l'homme toujours bien habillé, responsable.
Suite à cette rencontre, je m'enferma dans nos bureax et commença à le lire. Mais avant je me changea, j'avais froid. Oh non, je n'avais pas pensé à m'acheter des vêtements chauds! Je mis alors mon plus gros chandail, qui était un aux manches trois quart. Puis, je fouilla légèrement l'armoir pour essayer de trouver un quelconque vêtement approprié. Je trouva alors un sweet shirt adidas en masse grand. Alors, je lâcha un gros "yes" mais je me retenus de le mettre car je ne voudrais pas que je le mettre sans l'accord du propriaitaire. Je lâcha un autre " merde" fort en pensant que j'avais bien fermé la porte. Mais quand je me retourna vers cette dernière, une petite tête rouge sortait. Il me souria et repartit, c'était un des gars qui est pour l'unité un, évidemment lui avec les cheveux rouges, mais c'est quoi son nom déjà? Je crois que les noms des gars sont Calum, Michael, Ashton, et Luke si je me souviens bien. Alors je sais que Calum c'est lui au cheveux noir, et que luke est le blond. Il me reste donc Michael et Ashton. Michael et Ashton. Je dis les deux noms tout fort en essayant de les différenciers quand une autre voix masculine me surpris.

Lui : c'est michael
Moi : oh

C'était le gars au cheveux rouges qui était là tantôt, il avait un gros cotton ouatté dans les mains et un sourire malicieux

Lui : tiens, tu as l'air d'avoir froid et d'avoir rien à te mettre
Moi : merci infiniment! On gèle ici!
Lui : c'est comme ça à tout les matins, bon je dois y aller, les autres gars m'attendent
Moi : d'accord merci encore! En passant moi c'est Florence
Lui : je le savais déjà!

Puis il partit, je mis le chandail que m'avait lancé Michael, il était chaud! Enfin prête, je me plaça confortablement sur le divan et commença à lire...

"Crime attitré à l'unité deux du FBI 1er mars 2015

Meutre commit à 16:43 au centre d'achat "capitale" , au ** rue Broadway sud.
Meutre commis par fusil.
Victime : Antoine Renty, 31 ans, célibataire, professeur de science à l'école de Saint-Seigneur,
Abatut de loin car le corps à fait un mouvement de recule du à la vitesse de la balle,
Aucun signe de violence, la victime n'a jamais pus appercevoir son agresseur, aucune résistence..."

La traqueuse || 1DOù les histoires vivent. Découvrez maintenant