Chapitre 1 : Une journée habituelle

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Un jour, j'ai compris que la vie n'avait de sens,

que si l'on cherchait à lui en donner un.


Alors que la foudre éclairait le ciel d'un millions de voltage, et que le pluie rinçait le toit des maisons à Riderwood, Ia sonnerie du lycée de la ville se fit entendre vers 17h30.

Elle fit immédiatement interrompue par le bruit habituel des 400 élèves qui, comme tout les soirs, se rendaient au Coffeepeace.

Ce genre d'endroit dit branché où toute la nouvelle jeunesse se réuni après chaque journée de cours, pour parler de tout et n'importe quoi autour d'une boisson calorique et d'une bonne clope. C'était une grande pièce, où le carrelage fait de terre cuite, permettait de faire ressortir le vieux rose du mur à qui on avait tenté de donner un coté « vintage ». Derrière le comptoir se trouve une femme, environ la trentaine coiffé d'un chignon à la rock'roll, les yeux barbouillés de crayon noir, et au look légèrement provoquant, qui je pense attire pas mal de clients au niveau de la gente masculine. Elle s'appelle Gwendoline. Gwendo pour ceux qui lui laissaient des pour-boires. Gwendo tenait cette petite cafétéria devant le lycée Delambre depuis maintenant 5 ans, ça lui permet de vivre convenablement, même si ce n'est le rêve de personne d'être condamné à vivre ici.

Ce soir là, je pris le pas de course pour arriver à la cafétéria en avance, je déteste la pluie, je ne sais pas d'où cette crainte viens mais ce que je sais c'est qu'elle est bien présente. Mes deux amis ou plutôt devrais-je dire coéquipier Mike et Eva me suivaient avec leurs sacs sur la tête, comme si c'était important d'être coiffé ou non à presque 18h de l'après-midi. Une fois arrivé dans le petit bâtiments, nous rejoignent notre table habituelles, celle qui offre une vue sur l'entrée de la cafétéria afin de guêtter qui entre et sort. Ma tante m'a toujours répéter que la curiosité était un défaut, tout comme elle me repettait que sortir avec de beaux méchants garçons était mal.

Même si notre conversations finissait toujours par prendre le dessus sur notre curiosité, cette place me paraît indispensable et qui osaient s'asseoir ici à notre place se verrait recevoir une leçon. Ici, soit tu es le leader, soit tu n'es rien.

Gwendo passa prendre une commande, elle prenait toujours soins de mettre son carnet de commande dans la poche que lui offrait son polo de service qui, au passage laisse une vue panoramique sur sa poitrine. Des rumeurs circule comme quoi elle se l'était fait refaire avec l'argent que lui a légué son père à sa mort, mais personne n'osa lui poser la question pour affirmer certains doute. Dans une petite ville comme celle-ci, les choses se font savoir vite. C'est pour ça que certains secrets restent enfermé derrière les mures d'une maison ou derrière de vieilles légendes.

- Deux café légers, et une bière pour madame, dis Mike en pointant du doigt Eva qui se repoudrait le nez avec fougue.

- Envoyez deux café légers et une bière pour la 16, s'écria la jeune femme, et rajoutez un paquet d'M&m's offert par la maison rajoute-elle en me lançant un clin d'oeil.

Je me suis toujours demandée pourquoi elle portait un carnet de commande, si elle n'écrit jamais dedans ? En tout cas peut importe, j'ai mon paquet d'M&m's !

- Alors ? Tu as eu des nouvelles d'Arthur ? me demanda Eva.

- Non mais je crois que c'est mieux comme ça.

J'ai toujours pensée qu'être en couple avec Arthur.V me rendrait spéciale, à notre époque il est important de maintenir notre place sociale en haut de l'échelle, ce que j'ai toujours brièvement fait jusqu'à maintenant.

Attention, vampire amoureuse !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant