RADIO ( Attention, attention message d'urgence. Plus de 1 000 000 d'infectés dans l'Amérique du Nord, dons 100 000 dans le Canada. Pour échapper à cette panique nous vous demandons de trouver un endroit où vous ne pourrez pas attraper cette maladie. Rester à l'écart des personnes infectées. Merci de votre compréhension. Ceci étais un message de l'armée Canadienne et Américain. )
Je décent au sous-sol, chercher des planches de bois pour barricader les fenêtres et ma porte d'entrée. Je remplis la baignoire, bouteille et lavabo d'eau froide car ses la panique et tout le monde se réfugie. Il n'y aura bientôt plus d'eau potable. J'allume la radio et la télévision pour avoir des informations sur cette étrange infections. Je prend le temps de m'assoir, de me reposer. Mais les images sont trop éprouvant à regarder alors je pris les planches et je sortit dehors pour les clouer à ma porte.
En sortent dehors je regarde la rue pour avoir une vue d'ensemble du cartier mais rien, le silence. Je vois mon voisin, François qui est entrain de mettre ses valises dans son auto. Je descendit les marches pour aller lui parler.
- (moi) salut, ça va
- (François) non pas vraiment, j'ai peur pour ma famille, elle habite à Vancouver et je ne sais pas si il y à beaucoup d'infectés là bas.
- (moi) moi ma famille habite en France.
-(François) pourquoi tu ne va pas les voir
-(moi) Je ne peux malheureusement pas aller les voir car il n'y a plus de vol à l'aéroport. Je m'inquiète vraiment pour eux.
-(François) je n'avais pas pensé a sa.
-(moi) désolé de ne pas plus te parler, je te laisse partirNous nous somme donnée une poignée de main et un câlin. Et ensuite je regarda sa voiture disparaître au loin.
Je retourna clouer mes planches a ma porte. Je pris la première planche et je me rendit compte que j'avais oublié mes clous à l'intérieur. Alors j'allas les chercher.
Après avoir clouer 2 planches, je pensa à ma mère et mon père. Mes parents habite très loin du Canada, ils habitent en Europe. Je devrais, peut-être les appeler? Du moins essayer car je pense que la communication a été coupé. Je composa le numéro et je patienta. Mais après 3...4 tentatives, le téléphone ne marchait plus. À se moment la je m'inquiétais vraiment pour mes parents. Mais je me disais que la " maladie " n'est peut-être pas arrivé encore là-bas.
Sur ce je repris mes esprits et j'alla continuer de barricader ma porte et mes fenêtres.Vers 18:00 je décida de faire l'inventaire de mon réfrigérateur, de mon garde manger et de mon armoire a pharmacie. Je décida de commencer par mon garde manger. Dans celui-ci il y avait: des biscuits au brisure de chocolat, des pâtes, plusieurs boîtes de conserve, des jus en boîtes, du beurre de cacahuète et du pain.
Je ne trouvère rien d'intéressant pour le dîner alors j'alla regarder dans le réfrigérateur. Dans mon réfrigérateur il y a : de la viande, du poulet rôti, des fruits, des légumes, des oignons, de la laitue et un concombre. Et ces alors que je trouva une idée pour le dîner. je devrai faire une bonne salade avec du poulet rôti.mais j'y pensa, si je fait toujours des repas et que je prend des collations toute la journée. il n'y auras bientôt plus de nourriture. cependant je décida de réduire le nombre de repas pour un repas par jour et de réduire le nombre de collation.
après avoir préparer ma salade. je décida d'aller manger devant la télévision. Mais je savais que j'allais regretter de choix. L'horreur est devant mes yeux. Je vis des personnes, mais pas comme les autre. Ils avaient la peau terne et purulente de blessure. Et c'est personnes couraient après d'autre. Une vrai scène d'horreur je vous dit.
Les personnes des nouvelles donnais plein d'information comme : rester chez nous, faire des provisions et encor plus perturbant les un que les autres.
J'étais encor en train d'écouter les nouvelles quand soudain j'entendis un cris mais un vrai crus de détresse. Je déposa mon bol et couru au balcon de la porte d'entrée. J'aperçus ma voisine et il y avait une de s'est chose qui voulut l'attraper. Je lui cria de se défendre le pus qu'elle pouvais et que j'allais lui chercher mon arme.
Je couru vers ma cave pour aller chercher mon arme que je n'est pas toucher depuis des années. Il étais dans mon coffre-fort. Je l'ouvris, le pris et couru jusqu'à cracher mes poumons. Mais je n'entendais plus les cris. Alors je traversa la rue pour voir si elle étais proche. Et ses LA que je la vis. Elle était en dessous du monstre. Elle se débattait comme une folle pour survivre aux griffes de cette personne. Et ces à se moment La que je me dis que ne serais jamais capable de tuer quelqu'un même quelqu'un qui n'est pas vraiment lui même. Elle criais comme jamais. Elle disait " Dylan aide moi s'il vous plaît DYLAN"
Mais cette chose ne faisait qu'a sa tête on dirait qu'elle ne comprenait rien. Je vis ma voisine se faire mordre devant moi. Cette personne la mordis comme si elle voulais La manger vivante. Je me suis di " Dylan fait quelque chose il le faut" alors j'ai diriger mon révolver sur cette chose. Elle criais de plus en plus fort. Vite Dylan vite.
ET JE DÉGAINA .