Chapitre 10

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*Le chapitre sors plus tard que d'habitude et j'en suis désoler, j'espère que ça vous plaît autant, dites moi si vous voulez des choses en plus ou en moins, des personnages que vous voulez voir apparaître ou autre. Merci beaucoup de suivre cette fiction ça me fais énormément plaisir. Gros bisous mes Pandicornes et bonne lecture ^^ *

Mickaël va dans l'application messagerie : j'ai plus de 300 messages. Nous les lisons un par un. Beaucoup de personnes se demandent où je suis, si ça va, pourquoi je ne réponds pas et pourquoi Micka ne répond pas non plus.

"- Micka ?

- Oui ?

- Où est ton téléphone à toi ?

- Je ne sais pas ...

- Mickaël ?

- Il est mort.

- Tu as fais quoi ?

- Balancé contre un mur ...

- Pour quelle raison ?

- A quoi ça sert d'avoir un téléphone quand on sait qu'on ne va pas recevoir de messages de la personne auquel on tient les plus ?

- A rassurer tes amis.

- Si tu appelles "amis" des gens qui ne sont pas venus à l'appartement depuis trois mois et qui se contentent de laisser des messages de temps à autre, alors je ne vois pas de qui tu veux parler.

- Tu leur à dit que je n'étais pas là et ce qu'il c'était passé ? Tu as fais quoi pendant 3 mois ?

- Pendant 3 mois, je suis resté à l'hôpital.

- C'est tout ?

- Oui ...

- Tu t'es coupé du monde pendant 3 mois pour rester à mes côtés ?

- Je peux me couper du monde toute une vie si ça me permet de rester à tes côtés."

Je l'aime tellement. Je lui prend mon téléphone des mains et le lance dans le mur en face de moi. Il me regarde avec incompréhension.

"A quoi ça sert d'avoir un téléphone quand on sait qu'on peut parler à la personne de notre vie quand on le veut ?"

^ Mickaël / Rosgrim ^

... Je suis en pause, ce qu'il vient de me dire me touche tellement. Je n'en reviens pas. Je suis absent un quart de secondes quand je vois Grégoire qui s'est retourné. Il a un regard désireux et un sourire en coin que je ne lui connais pas. Il est tellement mignon. Il m'embrasse avec passion et demande accès à ma langue, que je lui laisse sans hésitation. Il pose ses mains sur mes hanches. Je l'embrasse langoureusement. Il émet un petit gémissement très sexy, trop même à mon goût. Je souris à l'entente de ce magnifique son.

"- Pourquoi tu souris mon amour ?

- Avec un seul petit gémissement de ta part, j'imagine tout ce que je pourrais tefaire !

- C'est de la provocation ça monsieur.

- Désolé mais ton corps est un appel au viol !

- Tu ne fais que de te servir de moi ! Tu ne viens que quand tu as besoin de toutes façons ! Je ne veux plus te voir, j'ai peur de toi. Tu n'en as pas marre de t'en prendre moi ? De m'utiliser ?"


* Dez dez j'avais trop envie de faire un suspense son père, voilà voilà, à Dimanche vous ! *

Ensemble *Brigrim*Où les histoires vivent. Découvrez maintenant