L'homme

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Je la vois enfin là, à la bonne place.
C'est cheveux sont humide comme tout le reste de son corps. Elle s'avance lentement vers moi en ondulant ses hanches de façon provoquant. Elle enlève la serviette qui la recouvre sensuellement.
J'ai la gorge sec juste en la voyant.
Mon coeur bât plus rapidement et tout mon sang se dirige vers le bas et vers le haut,j'ai le feu aux joues.
Elle s'en aperçoit, elle fait un sourire
que seule une femme peut faire.

Sa peau laiteuse encadrée par des cheveux d'ébène. Sa petite bouche
délicieusement arquée et ces yeux
en amande d'un brun profond presque noir . ils sont souligné d'un trait d'eyeliner qui les rend encore plus sexy.
Elle s'est rapprocher assez près pour que je l'enlace étroitement entre mes jambes. Ces yeux sombres et brûlant,
comme s'ils étaient allumées de l'intérieur fixaient les miens d'un air plein de promesses de plaisir. En la renversant sur le lit ,je la caresse en avec un mouvement de hanche et avec mes mains je caresse lentement ces seins. Je suis leurs courbes avec mes mains et je les sens durcir avide de sensation. Après de l'avoir rendu folle de désir, avec mes lèvres je dessines tel un artiste des arabesques sur son corps. Elle creuse ses reins,sa tête se glisse dans mon coup. Elle mord mon lobe d'oreille en caressant mon torse.Elle joue avec mon sexe gonflé, elle attise mon plaisir jusqu'à je perde le contrôle. En m'installant entre ses jambes , je senti cet arôme si purement féminin et excitée. Je ne puis m'empêcher de de la taquiner, de la rendre folle sous la torture de ma langue .

Sans comprendre d'où me venais se besoins d'entendre la jeune femme me dire qu'elle m'appartenait .

- à qui appartient ta chatte?demandais-je crûment.

Refusant de me répondre, j'enfonçait deux doigt en elle et en appuyant sur son clitoris. Entre ses gémissement, j'entendis.
-elle est à toi , elle t'appartient.

En retirant mes doigts, je saisis ses fesses pour la soulevée en enfonçant ma langue en elle.

En me réveillant, le lendemain matin, tout se que je me suis rappeler en premier étais ses cris d'extase.
j'ai cru que s'était un rêve jusqu'à
je vois la marque de rouge à lève sur mon torse et le poids d'un corps chaud. Elle est là profondément endormie. Tout en moi, me criai de la garder, que son corps tout entier m'appartenait. Quelle changerait ma vie . En souriant, je me recouche en la serrant fort dans mes bras souhaitant d'avoir le temps de la convaincre de resté.

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