Il est trois heures du matin, et je viens de me réveiller, je suis hyper stressée.
J'émerge doucement de mon lit, en repensant au rêve que je venais de faire.
Je m'appelle Abbie, j'ai dix huit ans. Je vis aux État Unies, en banlieue de New York, dans un petit appart que je partages avec ma mère, et mes deux soeurs.
J'ai un mauvais caractère, je dis toujours ce que je pense et je suis cru, ce qui ne plait pas a tout le monde. À pars ça je suis une personne très gentille, et je fais mon maximum pour aider les autres.Enfin reprenons, aujourd'hui je pars en France, je pars y vivre pour un an.
Je sais que cette année va être plus que rapide et j'ai interêt à m'accrocher, car ça va être assez compliquée!
Après des dizaines de nuits blanche à réviser (mais aussi des dizaines de cafés et de boissons énergisantes), j'ai enfin réussi à décrocher une bourse, pour réaliser mon rêve ! *HOURA*Ma mère m'attend dans la cuisine, elle ma préparer un grand verre de jus d'orange.
Je n'ai pas du tout faim ni soif ce matin, mais pour lui faire plaisir je bois d'une traite le jus qu'elle m'a versé.
Je remonte me préparé, je décide de m'habiller correctement pour faire bonne impression une fois arrivé, mais en même temps je choisis une tenue dans laquelle je serais à l'aise.
J'opte pour ma paire de doc, un pantalon noir, un pull bordeaux, mon long manteau et mon bonnet préféré.
C'est l'heure de partir, sur la route je vois que ma mère est ailleurs, je lui demande:
« -Ça va?
Elle me regarde et me souris tendrement:
-Ça va ma belle, c'est juste que c'est la première fois que tu pars aussi longtemps, je suis si triste, mais en même temps si heureuse pour toi mon ange. »
Je suis émue, elle exprime rarement ce qu'elle ressent.Nous arrivons à l'aéroport, j'ai de plus en plus mal à la gorge, et retenir mes larmes devient de plus en plus dure. Je regarde ma mère lui fait un énorme câlin et lui dit:
« -Je t'appellerais le plus souvent possible, ça va passer vite un an, je te le promet, je t'aime »
Elle me souris et me fais un énorme bisous.
Puis c'était l'heure, j'allais arriver en france dans plus de sept heures.
Je ne savais pas grand chose à propos de la famille chez qui j'allais loger pendant un an. Je savais que c'était une mère célibataire, qu'elle avait un fils d'un an de plus que moi, et une petite fille de sept ans. Le grand s'appelait Mike, et la petite Anna. Ce n'était pas la première fois qu'ils recevaient des étudiants d'autres nationalités.
Je les avais vue en photo.
Je m'endormis paisiblement et quand j'eu ouvert les yeux, nous étions arrivés.Il était aux environs de seize heures, et j'avais terriblement faim.
Une fois que j'avais posé les pieds sur le sol français je ne pu retenir ma joie, et marcha d'un pas décidé.
Je cherchais du regard ma nouvelle petite famille. Je les trouvèrent en train de me faire de grand signe avec une pancarte. Je souris, et avance vers eux.
Elle me dit:
« -Bonjour, et bienvenue en France Abbie ! Ton voyage s'est- il bien passer?
« -Oui merci beaucoup!»
La mère s'appelait Amandine, elle était très souriante et avait un sourire chaleureux. La petite s'appelait Noémie, elle avait le même visage que sa mère et était très joyeuse. Quand au dernier, Louis, le fils d'Amandine, il n'était pas là.
Je les suivis jusqu'à la voiture, je monte devant avec Christine.Elle me parla tout le long de la route, j'étais fatigué et affamé, mais je continuais de lui répondre tout sourire.
Après une heure trente de trajet, nous arrivons vers une maison très mignonne. Je rentre et Christine appela son fils et lui dit de me montrer ma chambre.
Le jeune homme arriva vers moi, il avait l'air énervé, si bien qu'il me fit juste un signe de la tête.
Il n'a pas l'air très sympathique, je ne pense pas m'entendre très bien avec lui. Il me fit signe de le suivre.
Et me montre ma chambre.
C'était une chambre très simple, j'aurais même dit un peu déprimante. Les murs étaient blanc, il y avait un bureau en face du lit, et une garde robe. Le coin positif est que j'avais une grande fenêtre, à côté de laquelle je pouvais m'asseoir.
« -Bon euh, la salle de bain c'est la port au fond du couloir, si t'as besoin d'un truc moi c'est la chambre d'en face.
-Ha enfin j'entend ta voix, lui dis-je d'un ton moqueur.
-Abbie, je suis pas ton ami d'accord, que les choses sois clairs, je suis pas la pour déconner. »
Et il referma la porte d'un coup sec. Alors celui la, je ne sais pas pour qu'il il se prend mais on vas très mal s'entendre.