Camille

Chapitre 11

Juste à temps. J'étais sauvée. J'entendais les sirènes au loin.

Vincent : Tu as appeler la police????
P-L : Sale pute.

Il commença à me frapper dans le ventre et les deux autres dans les côtes ou dans le visage. Je ne pouvais rien faire et ils m'ont menacer de faire ce qu'ils comptaient me faire si je les dénonçait. Je tremblais par terre, cherchant faiblement mes vêtements. J'avais si froid!

Ivy. Je l'entendais hurler mon nom, mais j'étais si faible que je ne pouvais pas crier comme je l'aurais voulu.

Ivy : CAMILLE!?!?!!? CAMILLE!!!!!!!

Moi : Ivy.....dis-je faiblement.

Je l'ai vu apparaître derrière un mur et je su à ce moment que je pouvais me laisser retombée. Ils m'emmèneront à l'hôpital pour me soigner.

Je tombe alors dans les pommes.

04h05

Je me réveille en sursaut, n'ayant conscience de rien, mais en ayant de terribles douleurs. Je me rappelle donc que j'ai failli me faire violer par trois cons de mon école. Ivy est à ma droite et elle dort dans la chaise d'hôpital. J'essaye alors de la réveiller.

Moi : Ivy?....
Ivy : Hum........Quoi?
Moi : Je ne me suis pas fait violer hein?
Elle : Oh mon dieu Cam! Tu es réveillée! J'ai eu tellement peur pour toi!
Moi : Alors?
Elle : Non, tout est OK. Tu as seulement quelques blessures, mais rien de grave. Tu es tombée dans les vapes, c'est pour ça que la police a appeler l'ambulance pour qu'ils t'emporte ici.

Elle me serra dans ses bras et aussitôt je m'y suis sentie en sécurité. Mes parents viennent justement de rentrer dans ma chambre. Ils revenaient justement d'un voyage d'affaires.

Ma mère : Mon amour! J'ai eu si peur d'arriver et qu'il soit trop tard! Une chance qu'Ivy a été là.

Mon père : Qu'est-ce qui t'as pris d'être avec eux, ma chérie?

Les deux m'ont serrés dans leurs bras et ils m'ont laisser expliquer le pourquoi du comment. Ils n'en revenait tout simplement pas. Finalement, ils ont décidés de me ramener à la maison et Ivy est venue dormir chez moi pour s'occuper un peu de moi.

04h54

On était arrivés à la maison. Une vague d'amour me submerge. Je me sens si bien et tellement en sécurité. Je pris un petit berlingot de lait dans le frigo et Ivy et moi allons dans ma chambre pour dormir, puisque nous étions crevées.

Ivy : Je vais chercher le matelas gonflable, je reviens.
Moi : Non. Pas la peine. J'aimerais que....tu dormes avec moi. Je me sentirais plus à l'aise.....j'ai peur.
Ivy : Ohhhh! Pauvre chou. D'accord, j'arrive!
Moi : Merci!

7h03

Je me réveille en pleurs, j'ai fais un terrible cauchemar, celui où je me faisais séquestrée, battre et violer par les 3 gars d'hier soir. Je tremblais comme une feuille, mais Ivy se réveilla aussitôt et me prit dans ses bras. Après quelques minutes, elle me coucha contre elle et me joua dans les cheveux en me rassurant que tout allait bien puisqu'elle et mes parents étaient proches.

Ivy : Rendors-toi chérie, je suis là.
Moi : Ok....

Et je sombrai dans un sommeil profond.

18h56

J'ai dormi toute la journée! C'est incroyable, je n'ai jamais dormi autant. Quand je me suis réveiller, Ivy n'était ni dans mon lit, ni dans ma chambre. Je décida donc de mettre un petit jogging gris foncé et le gros coton ouaté de mon frère, des bas et je me fis une queue de cheval. Je descendis en bas. Ils étaient tous là. Ivy, mes parents, Alex, Nathan et malheurement Charlotte. Merde. J'avais pas envie de la voir elle.

Ma mère : Petite surprise. On voulait te montrer que peut importe les événements, on serait toujours là pour toi, car on t'aime et on veut ton bien.

J'avais les larmes aux yeux. De les voir tous ici présent pour moi, mais aussitôt que Charlotte m'adressais la parole, les yeux devint aussi secs que le désert du Sahara.

Charlotte : On t'aime tellement intense Cam! MOI LA PREMIÈRE!

Elle est sarcastique, j'en suis certaine.

Alex : Je t'aime, ma meilleure amie. J'ai eu tellement peur quand j'ai appris ce qu'on t'avait fait! J'ai fais beaucoup d'efforts pour pouvoir venir ici, parce que le médecin et les infirmières ne voulait pas me laisser partir. Mais, je voulais être ici pour m'excuser de mon comportement d'hier. Sans ça, rien ne serrait arriver hier soir et je suis sincèrement désolé. J'espère que tu pourras me pardonner un jour.
Moi : C'est pas de ta faute, tu ne pouvais pas savoir que ça arriverait. Je t'aime aussi.

Il me serra dans ces bras et je me sentis tellement bien.

Nathan : Ma petite soeur, je t'adore. Sache-le. De tout mon coeur, dit-il les larmes aux yeux.

Il m'embrassa le front et on alla tous s'asseoir à la table.

19h37

Tous le monde étaient à table et on dégustait le merveilleux repas que mes parents avaient préparés quand mon cellulaire commença à vibrer.