[ Nayra : Mariage Forcé ]

Chapitre 1

Paris,11 : 10, 12 juin.

Ismaël : Nayra !

Putain ! Je me lève de mon lit et vais rejoindre l'autre idiot dans le salon. Je m'assoit devant lui.

Moi: Quoi ?

Ismaël : Va m'acheter un grec.

Moi: T'es sérieux là ? Je suis fatiguée !

Ismaël : C'était pas une question !

Je souffle et me lève pour aller me changer. Pour une fois je suis tranquille il vient me déranger là !

Je vais dans ma chambre et regard dans mon armoir. Je met un survette Nike blanc. Oe un survette !

Je met une casquette et je vais dans dans la chambre de Ismaël chercher l'argent. Je prends 10€. Moi aussi je vais m'acheter un grec hein! Mdrr

Je prend les clé et sors. Je vois y'a les teneur de mur. Toujours a leur poste eux. Ils ont rien a faire de leur vie j'ai jurer ! Je me dirige vers le grec.

ÉCLIPSE DU TRAJET

j'arrive dans le grec. Je commande et attend qu'il me les donnent. Donc je vais m'asseoir a une table et j'envoie des messages a mes potes.

J'étais tranquille quand un groupe de Meuf genre vous voyez les putes la ?
Ils s'assoit en face de moi et me dévisage du regard. J'avoue au début jnai pas trop calculer mais sa a commencer a me soulé donc j'ai parler. Bah oui, je vais pas me laisser faire !

Moi : Vous voulez quoi ?

Sur le coup j'ai pas compris elles ont commencé a rigoler comme de connes. Je crois sa va commencer a me vénère la !

La pute : Pourquoi tu t'énerve ? On a pas le droit de te regarder ? Tchip !

Moi : C'est mieux tu fais pas la maline aussi ! J'vais te retirée tes extensions mal placé la tu vas moins rigolé. Poufiasse !

Je les ai tchiper et je suis partis récupérer les grecs. Les meufs comme ça la vie faut même pas les calculer. Leur maquillage a 200€ pour se faire taper dans la rue la !

ÉCLIPSE DU TRAJET

j'arrive devant chez moi. Même pas j'ai le temps d'enlever mes chaussures, je me prend une gifle sale !

Ismaël : Pourquoi ta mis du temps ?

Moi : Tes obligé de me giflé même ? Vas y tiens ton grec de merde !

J'ai déposé son grec de merde sur la table et j'ai couru dans ma chambre. Tchip ! Y'a tout le monde qui me soûle de tout façons !