Tate Et Moi

1-déménagement•

-Tu as finis de préparer tes choses Lydia?

-Oui m'man!

Salut, mon nom c'est Lydia et j'ai 16ans. Je n'ai pas vraiment d'amis mais de toute façon ça ne change rien puisque mes parents ont décidés de déménager. Ils pensent qu'en changeant d'environnement ça va nous aider. Je sais, ils sont stupide mais c'est mes parents et je dois encore vivre avec eux et les supporter pour le moment. Je me demande parfois si je n'ai pas été adopté. Ça ne m'étonnerais pas.

J'ai appris que je déménagais il y a une semaine, et oui mes parents veulent qu'ont partent d'ici le plus vite possible. Pourquoi? J'en sais rien et je m'en fou de toute façon. Le seul point positif que j'ai trouvé avec ce déménagement c'est que ma maison est gigantesque.

-Grouille toi Lydia on part!

Putain.

-J'arrive!

Je descend les escaliers et je vais rejoindre mes parents.

-Tu vas voir ma chérie la maison est encore plus belle et plus grande en vrai. Me dit mon père, il essaye surment de me remonter le moral. Raté.

- Super. Dis-je avec beaucoup de sarcasme.

°°°°

Wahoou, mon père avait raison, la maison est réellement plus belle et plus grande que sur photo. On dirait un manoir, enfait je crois que c'est un manoir. Quand j'entre à l'intérieur je vois à quel point c'est vieux. C'est jolie mais on dirait que personne n'a habité là depuis des années. Il y a un long escalier qui mène au deuxième étages. Je monte en courant et je regarde dans chaque chambre pour savoir laquelle je vais choisir. Puis lorsque j'ouvre une porte c'est le coup de foudre.

Il y a un grand lustre accroché au plafond, les murs sont blanc et il y a un gigantesque lit collé sur le mur droit. J'adore. Je dépose mes valises sur le lit et je commence à placer mon linge dans la grande armoir beige qui est placée proche de mon lit. Une fois après avoir terminé je vais prendre ma douche. Ce qui est génial c'est que j'ai une toilette dans ma chambre. C'est fantastique.

°°°°

-Lydia vien manger c'est prêt!

Je me lève en trois secondes et je cour vers la cuisine. J'adore la nourriture alors quand ma mère m'appel pour venir manger je peux vous dire que je ne me fait pas prier. Je m'assois à table et mes parents me regardent tout les deux. Mon dieu, je ne peux pas juste manger. Sans me faire déranger.

-Alors comment tu te sens chérie. Me demande mon père.

-Oh ça va, j'ai du déménager en quelques jours pour que vous vous sentez mieux intérieurement ou je ne sais pas quoi et en plus je n'ai même pas eu le droit de dire un mot là- dessus, mais sinon ça va. Et vous, comment vous sentez-vous?

Mon père baisse les yeux et ma mère me regarde l'air triste. J'avoue que j'y est été un peu fort mais ils n'avaient pas le droit de me faire ça.

-On est désolés Lydia mais c'est mieux comme ça, tu vas voir tu vas t'habituer.

-Ouais et bien pour l'instant je ne m'habitue pas du tout. Je me lève et je part, je sort dehors et je vais m'assoir sur le bort de béton qu'il y a en avant.

Non mais putain ils pensaient vraiment que j'allais aller mieux en même pas 2heures, quels crétins. Je veux bien faire des efforts mais pour l'instant j'ai pas trop envie de me faire harceler à savoir si je vais bien.

Je m'allume une cigarette pour relaxer un peu. Lorsque la fumer rentre à l'intérieur je me sens tout de suite un peu plus calme. J'en avais vraiment besoin d'une.

- Ça va, t'as l'air d'être sur les nerfs.

Je sursaute en entendant la voix d'un garçon derrière moi. Quand je me retourne je vois un gars aux cheveux blond qui lui descend un peu sur le visage. Il est vraiment canon. Je crois même qu'il rentre dans ma liste des points positifs d'ici.

-Ça va, mais tu fais quoi ici? Il me regarde et sourit, wahouu sont sourire est magnifique, il a une fausette et j'adore ça. Ça me fait craquer.

- J'habite à côté et j'ai vu qu'il y avait des nouveaux arrivants alors je suis venu voir c'étais qui.

-Et bien maintenant tu sais.

-Ouais, on va se revoir.

Puis il part, ne disant rien de plus. Il est mystérieux j'adore. Merde qu'est ce qui me prend, je vien à peine de le renconter. Calme toi Lydia.

-Tu vas bien ma chérie, sincèrement? Non mais ils ne vont pas me lacher putain.

-Je vais bien.

Puis je part, sans rien dire de plus.