Le Survivant Des Terre Désolées

acte 1: la décongélation

-Vite Jeff, réveille toi!
Jason me secoua comme si un tremblement de terre étais juste sous nos pied.
-Qu'y a-t-il ?! Lui ai je crié a la figure.
-ils sont la! Ils nous ont retrouvé!
-enfin, qui? Personne ne nous connais...
Je me leva et regarda dehors. Je vis une trentaine de robot humanoïde faisant face au bar dans lequel j'ai loger cette nuit. Je pris alors mon magnum, croyant que ça fera l'affaire pour me sortir de la.
-remet ça dans ta poche et prend ça.
Il me présenta alors une AK-47. Je m'empressai de la prendre.
-On va sortir par l'arrière. Je vais balancer une grenade a travers la vitre pour détruire les robot.
Il exécuta alors ce qu'il avait dit. On courut vers la porte a l'arrière du bar et tirions sur tout ce qui bouge. Ce fut un carnage total. Nous étions à pied et nous allions aussi vite qu'un train et étions aussi précis que deux sniper mobile. Je ne savais même pas comment recharger ce truck, mais la c'est comme si j'en avais magné toute ma vie. C'était comme si un autre moi prenait ma place. Les coup de feu, la course dans le désert sans savoir ou l'on va, les cri de barbare qu'on poussai Jason et moi et le bruit que fait un robot quand il explose me rappelle comment faire la guerre. Encore plus, me rappelle comment j'ai fait la guerre. Cela m'a fait sourire, ce qui était un peu sadique de ma part. Mais la, je reprenais conscience de ma vie à la guerre. Et l'amusement que j'avais pris lors de nos balade a tuer des gens. Je me rappelle de tout mes collègues de troupe. On était une dizaine. J'étais le plus sadique, le plus barbare. C'était le bon vieux temps. Mais c'était la seul chose que je me rappelais. Mais je me souviens aussi que mon frère faisais partie de l'armée. Dans la même troupe que moi.
Après une dizaine de minutes a courir en échappant au robot, on trouva alors un abri. L'abri 104. Ce chiffre et cet endroit me sembla familier. Jason me dit alors:
-C'est ici que tu as grandit, Jeff. C'est ici que tu as appris à te servir d'une arme, et c'est ici que le commandant t'a dit que tu rentrais a l'armée, et que tu aurai ta propre équipe. Fouille un peu et tu trouveras peut-être quelque chose qui te rafraîchira la mémoire.
Avant de m'empresserer sur tout le contenu de cet endroit, j'ai demandé le papier que Jason m'a montré hier, la suite de l'article. Il me le donna alors et je pus lire ce bout de papier. Il y avait une suite de nom qui me semblait familier, puis il y avait ça: "je ne me bat pas pour notre liberté, je me bat pour montrer la vérité. La liberté sera bientôt la, mais la vérité risque de ne jamais arrivée. Lorsque j'aurais des preuve de ce que j'ai découvert, je vous montrerai la vérité. Mais cela doit attendre."
Je ne comprenais pas ce que cela signifiait, et je crois que j'étais le seul à savoir ce que je savais.
-Ma chambre est elle encore ici? Ai-je alors demander.
-Après que tu sois partit, plus personne n'a habité ici. Je me suis installé ici il y a a peine 4 mois.
-Montre moi ma chambre, s'il te plaît.
On a prit alors un escalier qui descendais dans une pièce froide et en désordre.
-Heh ben, même quand tu n'étais pas à la guerre, tu n'étais pas organiser, m'a lancé Jason.
-Ta gueule, lui ai-je dit sur un ton humoristique. Laisse moi seul, le temps que je fouille un peu ici.
-comme tu veux.
Sur ces dernières paroles, il est remonté à l'étage.
Je ne trouva rien d'intéressant en fouillant les armoire, a part un couteau de 20 cm et un préservatif. À croire que même dans les pires moments, un homme a besoin de se divertir. Il y avait une borne d'arcade. Il était marqué "donkey Kong" sur le dessus. J'insère une pièce que j'avais trouvé dans le cimetière quelques jours avant. Une part se lance. On a beau dire ce qu'on veut, il y a des choses qui ne s'oublie pas : j'enchaîne 5 parties sans en perdre une seule. En voulant remettre une pièce dans la machine, je la mis à côté de la fente, ce qui la fit tomber. Elle roula jusqu'une bouche d'égout qu'il y avait au milieu de la pièce. Elle était assez grande pour y faire passé un homme. Quand la pièce fut passé à travers la grille, je m'attendais à un bruit d'eau ou de pierre. À la place, j'ai eu droit à un bruit métallique, ce qui attira mon attention aussitôt. Je m'approchais de la grille quand Jason entra dans la pièce.
-Sinon, je sais pas si je t'ai dit, mais j'ai pris à manger avant de partir du bar. On a de quoi tenir 2 jours au max...

Je ne l'ai même pas regardé, j'ai concentré mon regard sur la grille.
-T'as quoi, t'as vu une goule ou quoi?
-aide moi à soulever cette grille, lui ai-je répondu en le coupant à la fin de sa phrase.
-Ouais.
Elle a grincé énormément, mais elle a fini par s'ouvrir, après un effort inhumain.
C'est bizarre quand même, des égouts juste en dessous d'un abri. Le bruit que j'ai entendu pouvait très bien être une échelle en metal ou même une plaque sur laquelle on pourrait se balader, mais quelque chose à retenu mon attention. Et ce ne fut pas en vain : nous découvrîmes un cryogenisateur. Un genre de grand congélateur pouvant mettre un homme.
En l'ouvrant, on à découvert un soldat, irradié, à moitié robot, portant un chapeau et une veste qui lui donnait un style d'inspecteur. Quand il est tombé à terre, il s'est tout de suite relevé, nous a regardé et nous a dit :
- Putain de bordel de merde les gars, vous savez pas ce que vous venez de faire.

FIN DE L'ACTE 1!