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Ses yeux vairons faisaient son charme, son regard d'azur et d'ardoise faisait trembler les cœurs. Ses cheveux châtains coupés courts laissant entrevoir les courbes de son visage. Ses fossettes qui rendaient son sourire si unique.
Il était le garçon le plus beau que je n'ai jamais vu.
C'était un jour lors de ma rentrée au lycée.

En attendant quelques amies à l'arrêt de bus, j'avais croisé son regard, mais l'avais fuit pour je ne sais quelle raison. Il avait ses amis et moi les miens, il avais sa classe et moi la mienne, il avait sa réputation comme j'avais la mienne; c'était le genre de garçon un peu populaire, contrairement à moi qui me concentrait sur mes études, et ma simple vie. Je m'intéressait beaucoup aux matières scientifiques, j'aimais beaucoup la connaissance, et les mystères..
Il avait attiré ma curiosité, j'avais l'impression qu'il n'était pas celui qu'il prétendait être.
Vous devez connaître ce genre de personne, ceux qui ne semblent pas à l'aise avec leurs "amis", peut être l'était-il?
À force de trop penser à lui, mon regard n'était attiré que par ses yeux.

Un jour, alors que j'étais avec des amies dans un escalier menant aux cours de sciences, il était passé et m'avait souri, à moi, mais je ne me suis pas emballée. "Après tout ce n'est qu'un sourire" me suis-je dis.
Mais plus on se croisait, plus on échangeait de sourire, c'était devenu une habitude.
Je ne pensais pas constamment à lui, seulement parfois, je ne suis pas comme les filles dans les films, à m'emballer pour un rien, j'ai assez peu de confiance en moi en faite.. Mais malgré les sourires, rien de plus, alors j'arrêtai de lui sourire.
Je l'évitais constamment, et, alors qu'il passa près de moi, j'entendis "Je préfère quand tu me souris"; mais c'est sans doute mon imagination, je n'avais pas dormi de la nuit afin de réviser mes contrôles, râh je déteste l'histoire.

J'étais toujours avec les mêmes personnes, des amies aussi extraordinaires que je pourrais haïr les week-ends qui m'empêchent de les voir.
Nous nous voyons souvent en dehors des cours pour sortir ou faire quelques activités que font les ados habituellement.
Ah oui, et j'avais un grand frère, Eliott, il était vraiment beau comme gars, aha et j'en étais très fière! Il avait 3 ans de plus que moi, il avait avait atteint la majorité il y a deux mois.
En rentrant à la maison, je le croisai avec un de ses amis. Après m'avoir fait la bise ils retournèrent dans la chambre pour faire je ne sais quoi.. euh, je ne veux pas savoir..
J'entendis frapper à la porte lorsqu'elle s'ouvrit précipitamment.
L'ami de mon frère, Julien revenait des toilettes et s'était trompé de porte, je me mis à rire; "Non, c'est de l'autre côté pour voir un imbécile.. Aha.
-Oh, pardon Lana, ton frère, un imbécile? T'es sûre que c'est pas un compliment?
-Heureusement que t'es là, il serait fourré dans sa chambre a ne rien faire sinon, tu sais, depuis qu'on à perdu papi..
-Je comprends, je suis là pour lui, mais aussi pour toi si tu as besoin.
-Merci..
-Ah oui au fait, tu as dû rencontrer mon frère au lycée, il vient d'arriver en seconde.
-Qui c'est?
-Tomas.
-Quoii?!
-Bon j'y retourne, parce que sinon je vais lui manquer à ton frère chéri d'amour
-Attends attends, tu veux dire Tomas, aux yeux verrons et aux fossettes?"
Quand je le fixai je me rendit compte qu'ils se ressemblaient étonnement.
-"Hum hum.. Tu l'apprécie, je me trompe?
-Je ne le connais pas, je ne lui ai jamais adressé la parole."
Il me raconta que Tomas lui avait parlé de certaines filles du lycée, mais qu'il n'aimait pas du tout ces filles, jolies seulement maquillées, et avec tellement de produits sur la figure que celà était étonnant qu'elles n'en soient pas mortes. Nous avons rigolé si fort que mon frère qui nous avait entendu nous avait rejoins. Nous avons discuté tout notre mercredi après midi sans nous en lasser.
"-Je pense vraiment que ta sœur est super mature.
-Tu n'as pas l'habitude de parler comme ça avec ton frère, Julien?
-À vrai dire, il est mature, mais pas assez pour parler aussi intelligemment des choses..
-Je comprends..
-Merci, Julien, répliquai-je en coupant leur conversation"
Julien commença à partir, mais, il se retourna vers moi:
"-Je parlerais de toi à Tomas."
Il était parti avant que j'eus le temps de répliquer.
Je sais bien que ça part d'un bon sentiment, mais, je déteste qu'on parle de moi a d'autres gens.. J'ai l'impression que ça fait comme si je voulais me rendre intéressante.

La semaine s'écoula et je fus très heureuse de recevoir de très bonnes notes la veille du week-end, j'était d'autant plus ravi que ma professeur me fasse des compliments sur mon travail. Je suis dans un lycée où nous avons 2 heures "d'accompagnement personnalisé" pour nous aider, et y aller me permettait de comprendre et d'apprendre ce que je ne savais pas.
Ce weekend, les filles viennent dormir chez moi, je suis heureuse qu'elles viennent.
Mais Julien aussi dort à la maison, pas avec nous bien sûr, mais ils mangent avec nous, et vu que ce soir c'est pizza, ils ne voudront rater ça pour rien au monde.
C'est les garçons qui ont commandé, alors c'est à nous d'aller ouvrir pour prendre les pizzas.

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C'est une première partie très courte, mais j'aimerais savoir si l'histoire plaît.
Des avis me feraient plaisir, je viens de me convaincre à poster ce que j'écris depuis un petit moment déjà..
Un grand merci à ceux qui liront cette histoire.😍

Ma cinquième obsessionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant