Lettre à un Amour perdu

vendredi 18 mars 2016. Adressé à ....

À toi cher amour,

toi qui a fait battre le coeur que j'avais cru éteint.

Te souviens tu de tout ces moments passé ensemble? De notre rencontre? Moi oui, malgré mes problèmes de mémoires, ces souvenirs restent gravé dans ma mémoire comme si c'était hier.
Je me rappelle, notre rencontre a eu lieu au collège, d'abord nous sommes restés à nous parlé juste un peu, puis l'amitié a finit par s'approfondir, on parlait de plus en plus. J'aimais plaisanter avec toi, j'aimais dessiner aussi, en me voyant faire, tu m'as demander un sebastian michaelis que je t'ai fais avec grand plaisir. D'ailleurs, ce dessin, tu l'a toujours? Savoir que oui me remplirait de joie..
Je me souviens aussi qu'après le collège, une semaine après le début des vacances, tu es venue me parler, ça m'a tant fait plaisir de voir que tu souhaitais continué notre amitié que j'ai commencé à te parler de plus en plus, jusqu'à ce que ça devienne quotidien. Plus ça allait plus c'était important pour moi de te parler, j'ai commencer à tout te dire, très vite, je n'avais plus aucun secret pour toi, tu le sais au moins? Tu as tout su, tout, jusqu'à mon secret le plus honteux.
Tu te rappelle de ce rêve que j'ai fais? Où je nous ai vu ensemble, nous embrassant, jusqu'à ce que ma mère vienne pour m'engueuler à cause d'un cahier que j'avais laisser au salon. À l'époque, ni toi ni moi n'aurions pu prévoir qu'il s'agissait d'un rêve prémonitoire. Et pourtant, quelques temps après, tu m'a dis que tu voulais bien m'offrir ton premier smack, à moi, et non plus à la personne que tu disais aimer. Ainsi, c'est en convention que nous avons commencé à nous embrasser, en niant ce qui sautait aux yeux: nous nous aimions. Mon meilleur ami me l'a dit lorsque tu as eu le dos tourné, mais je ne l'ai pas cru, je ne voulais pas y croire. Après, tu m'as inviter chez toi, on a dormit dans la même chambre, je ne sais plus trop pourquoi, mais ç'a été là, la première fois que nous expérimentions le désir, même si nous étions jeune à ce moment.. en rentrant chez moi, j'ai prit enfin conscience de me sentiments pour toi, à quel point je t'aimais, tu as tant fais battre mon cœur, qu'en écrivant ces mots je le sens vouloir s'échapper de ma poitrine et une chaleur presque insupportable m'envahir les joues.. je ne sais par quel prodige tu garde un tel pouvoir sur moi malgré ces années.. ah tiens, des larmes commencent à rouler sur mes joues tant me rappeler de ces souvenirs est douloureux, les perles s'écrasent sur le papier sur lequel je suis en train d'écrire, mais qu'importe, je suis lancé, quitte à souffrir, autant aller jusqu'au bout, tu ne crois pas?
Quelques jours après donc, mon meilleur ami à créer une discussion de groupe, toi, moi et lui y étions, il nous a forcé à dire ce qui était évidant pour leurs yeux, mais moi, j'avais peur que ce ne soit pas réciproque alors j'ai cacher ça derrière de la froideur, déclarant que je n'avais rien à dire alors même que mon coeur hurlait l'inverse. Et toi.. tu l'a dit, ces mots, ceux que j'espérais... mon coeur a bondit, j'ai souris et versé des larmes de joies.. j'étais aux anges, vraiment. Nous nous sommes mis ensemble dès cet instant, c'était magique. Les mois qui ont suivit sont de loin les plus heureux de ma vie, je vivais un véritable paradis avec toi, j'aimais tout de toi, ta voix, tes yeux, ton caractère, ton odeur.. tout. On se voyait souvent, très souvent, chaque week-end, on était ensemble, à se câliner, s'embrasser.. au bout de deux ou trois mois je crois, on a vécu notre première fois ensemble, c'était incroyablement bien, faire cela avec la personne qu'on aime, ça a quelque chose de presque... magique, non, plus que ça en fait, mais je crois que je ne connais pas de mots approprié pour le décrire.
Enfin, après ça on a prit l'habitude de le faire très souvent, le rêve à durer un long moment, 7 mois précisément. Après, le jour fatidique est arrivé. Tu m'a dit que ça s'arrêterait la. Que j'avais changer, vraiment? Je n'en avait pas l'impression.. ça a été très dur pour moi, l'impression de vivre un cauchemar sans pouvoir me réveiller, c'est une sensation horrible. Trois ou quatre jours après, il a toutefois prit fin quand tu m'as dit que tu avais fait une erreur. J'ai cru que ça pourrait reprendre la ou nous nous étions arrêter, qu'on pourrait s'aimer à nouveau sans que cette séparation joue une difficulté. Hélas! Nous nous disputions souvent, trop souvent pour un couple solide, pas une semaine n'a passer ensuite sans qu'une dispute n'éclate entre nous. Au bout de 4 mois supplémentaire, nous en avons eu assez, on a décidé de stopper notre histoire ici, mais de resté amis. Je ne me voyais pas vivre sans toi de toute façon, et je t'aimais encore malgré tout. Mais tu avais changé, beaucoup changé. Chaque fois quand nous devions nous voir, tu me posais un lapin avec chaque fois une excuse plus invraisemblable que la précédente. J'ai commencé à douter de ta parole. Je commençait à en avoir assez, pourquoi me faisait tu ça alors que je ne t'avais jamais mentis? Trop de questions me tournaient en tête, j'avais peur d'avoir raison mais je savais bien que je n'avais pas tords... du moins c'est l'impression désagréable que j'avais. Tu te rappelle de la fois où nous devions nous voir? On avait prévu ça pour dans 15 jours, j'attendais ça avec impatience, j'avais hâte de te voir.. vraiment. Et pourtant, comme à ta nouvelle habitude, la veille tu m'as dis que tu avais oublié l'anniversaire de ton frère et que finalement tu ne pouvais pas, pour moi, ça a été la goutte d'eau, je me suis sentis trahis. Alors je t'ai mis un ultimatum, soit tu assumais ton rendez-vous, soit je ne te parlerais plus, bien sûr tu n'es pas venu. J'ai mis quelques jours à me décidé, puis j'ai supprimer ton numéro et ton facebook, mais je pensais que tu reviendrais me parler! Mais rien, nous avons cesser de parler dès ce jour maudit, et je regrette d'avoir fait ça, est-ce qu'on se parlerait encore si j'avais agis autrement? Je ne sais pas, parce qu'après j'ai appris des choses que j'aurais préférer ignorer: tu m'as tromper. Plus d'une fois, la plupart des fois que tu me posait un lapin tu allais le voir pour faire ce qui m'était réserver... pourquoi? J'aurais compris que tu ne m'aime plus, je t'ai toujours dis que je savais mieux que personne que l'amour ne se contrôlait pas, je t'aurais même conseiller, pour te voir heureuse, c'était le plus important pour moi, alors je ne saisis pas pourquoi tu m'as infligé cela, vraiment pas.. j'ai eu le sentiment d'être trahis, poignarder dans le dos, je t'ai presque haïs pour cela. Mais très vite, le vide que tu as laisser s'est fait sentir, jusqu'à aujourd'hui, trois, presque quatre ans après, tu me manque encore. Je crève d'envie de reprendre contact, de te parler que tu revienne combler ce e vide que tu as laisser. Tu vas peut-être en rire, mais depuis qu'on a cesser de se parler je n'ai pas réussis à me reconstruire, je te recherchais dans chaque couple qui a suivis. Et la, mon coeur supplie que tu me reparle, qu'on se reparle, qu'on concrétise tout ces projets, ce qu'on avait prévu même en tant qu'amis.. tu sais que j'écris très souvent ce que j'aimerais dans l'espoir qu'un de mes nouveaux amis comprennent ce que je ne peux exprimer: je veux te parler mais j'ai peur, je suis incapable de faire le premier pas. Alors j'espère encore et toujours qu'un jour, cet ami arrivera et qu'il t'enverra un message pour te dire tout ça, pour te dire que j'attends encore, pas un couple, je sais que c'est finit, je ne t'aime plus et tu es en couple. Mais en tant qu'amis, voir amis proche? J'espère. Tu sais, j'ai longtemps fait croire à que je te détestais pour tout ça, mais il n'en est rien, je t'ai tant aimer qu'il m'est impossible de te détester, peut-être que l'amour que j'avais pour toi n'est pas parti ? Je ne sais pas, la seule chose que je sais en en étant sûr en revanche, c'est que tu me manque horriblement et que je ne veux plus qu'on fasse nos vis de notre côté en étant éloigné, ça fait longtemps que je vis ça, trop longtemps que je le vis et je n'en peux plus. Je repense souvent à ce qu'on a vécu, ce que je t'ai offert, ce que tu m'a offert. As tu garder mes cadeaux? Mes poèmes? La chanson que j'avais fais pour toi? Moi non.. c'était trop dur au début, de voir tout cela comme si tout allait bien, mais maintenant je regrette, j'aurais du garder tout cela en preuve que tu m'as bien aimer un jour, la première peluche que tu m'a offert, nako, il portait la fin de ton surnom. Je l'adorais, plus que mes autres affaires, et pourtant je ne l'ai désormais plus, c'est bête n'est ce pas? Je suis bête. Je n'aurais pas du. Mais je ne sais plus quoi faire, tu as réussis à me briser, me broyer, me détruire. Et pourtant, je ne te hais pas, bien au contraire, et toi? Je veux savoir ce que tu pense. Un jour peut-être je retrouverais un peu de courage que tu as connu et je demanderais à un ami qu'il fasse cette démarche pour moi, mais j'ai peur. Mon corps réagis au traumatisme de mon esprit, quand je pense ou parle de toi, quand je te recroise... ça ira mieux si je te reparle, je le sais, je le sens.
Avec l'espoir qu'un jour, tu lise ma lettre, avec l'espoir que ça donne enfin quelque chose, qu'elle, au moins, ne finira juste pas au fond d'un tiroir après avoir perdu cet élan de courage..

Au plaisir d'enfin te reparler, toi, mon premier vrai amour.

Bisou.

La personne avec qui tu as fais ton premier couple.