O toi Atome, que de cette bise t'est tu souvenu ,
qu'en ces jours funestes ton esprit n'essaie de s'élever.
Tes électrons se sont agités, la multitude de tes congénères t'a épaulé,
sans qu'à ton pareil tu n'ai conféré,
à nul autre honneur et dignité.
Vois, ton créateur t'as rassuré.
En ces temps difficiles, Il t'as soutenu.
Et entre tous, il t'offre le salut.
Petit atome, viens, au creux de sa main,
contempler la gloire du Souverain.
Qu'ainsi, entre tous réunis, jouis de la vie.
Atome, je le suis,
qu'Il m'aide à m'humilier ,
Celui qui me connais.
Que de grandeur je n'ai voulu,
vers la gloire des hommes j'ai accouru.
Funestes sont ces temps,
bien d'autres valeurs je désire à présent.
à mes pareils, je confie à présent ma pensée du moment.