Shadows

chapitre 2 : Le professeur

Mon cadrans m'arrache de mon sommeil si brusquement que je pousse un crie. Des gouttes de sueurs perles sur mon front. Je respire rapidement sans me rappeler pourquoi. Sur ma table de chevet, le pot de pillule a moitié vide me remémore mes problèmes d'insomnie. J’ai du faire un cauchemar, c’est surement un effet secondaire. Après tout, l’anxiété, la diminution de l’appétit et les migraines étais aussi des effets secondaire. Mon premiere réflexe, comme a tout les matin, est d’aller à la salle de bain. Allongé dans mon lit douillet, je pousse un long soupir de mécontentement. Pourquoi l’école commence à une heure si matinale? Je m’assoie dans mon lit tout en prenant mon temps afin de profiter de mes derniers moments de calms avant de commencer ma journée. Bien évidemment, le cris strident de ma mère me sortis de ma transe beaucoup plus tôt que je ne l’aurais souhaité.

Érika! Tu es levé? crit-elle au travers la porte de ma chambre.

Oui maman. Dis-je avec beaucoup moin d’entrein.

  Je me dépêche a mettre mes pantoufle avant d'aller soulager ma vessie. Alors que je m’assoie sur la toilette, je remarque les traces de boue que j’ai laisser sur le sol. Il ne faut surtout pas que mère les remarque sans quoi elle va m’arracher la tête. Bien que contrôlante, mère a toujours eu un T.O.C (trouble obsessionnel compulsif) pour le ménage. Dès que j’ai apris a marcher, elle m’a mise une balayeuse dans les mains! Pendant que je regarde le désordre engendré la veille, je me souviens de l’ombre. Un frisson traverse mon corps et me donne la chair de poule. Étais-ce qu’un simple rêve? Pourtant, je me rappel tres clairement être rentrer chez moi horrifier. Le ravages de boue dans ma salle de bains peut aussi appuyer le fait que je n’ai pas rêver. Ai-je halluciner? Pourtant je ne prend aucune drogues et j'étais parfaitement sobre. Serait-ce une autres effets secondaire de ma médications? Je ne crois pas. Ca fait des lustre que je prend cest medicaments et je nai jamais eu d’hallucination.

Dépêche toi Érika! On va être en retard, hurle ma mère du premier étage.

En plus d’avoir une paternel beaucoup trop présente dans ma vie personnelle, il se trouve qu’elle enseigne a l’école où j’étudie. Ce qui signifie qu’a chaque matin, je dois débarquer de la voiture avec Madame Klassen, la prof de math. S’il y arrive que je l’appelle maman au lieu de Mme Klassen, elle me rappelle sans pitié “qu’ici, je ne suis pas ta mère, je suis ton enseignante’’. Je fini ma toilette avant de retourner dans ma chambre. 

Ma chambre est le seul endroits ou j’ai le monopole. C'est alors inutile de préciser que celle-si n'est pas disposé de façon à combler le T,O.C de mère. Mes vêtement sont séparés en deux piles : Les propres et les sals. Il y a aussi les vêtements perdu : ils ont sois, tomber de leur pils initial ,ou encore, je n'est pas pris le temps de les mettre dans une pile. Cette catégorie nécessite mon odorat pour pouvoir distinguer le propre du sals. J’avance a travers les crayons et papiers qu'on peut retrouver sur le parquet. Je commence a fouiller dans la pile ‘’propre’’. J’enfile un coton ouaté rouge et des bas avec des petits moutons dessu. L’écran de mon ordinateur s’ouvre. Je vois, de loin, que j'ai reçu un mail. Je ne pris pas le temps de trouver un pantalons avant de me précipiter a mon bureau. le mail disait : ‘’N'oubliez pas que la date limites des inscriptions universitaires tire à sa fin....’’ . Je n’ai toujours pas fait mon choix, ou plutôt, je ne sais pas si je dois suivre mon coeur ou me plier en deux devant la volonté de mes parents. Cela fait plusieurs semaines que je vis avec une lourde charge sur mes épaules, et ça, c’est sans parler du changement de ville. Newtone Tone est un bien trop petite ville pour avoir une université. Parfois j’ai juste le goût de tout abandonner. Devenir une bohème solitaire qui vit selon son coeur et la direction du vent. Mais ce n’est qu’un fantasme. Moi même je sais que cela est impossible. J’ai aussi eu lidée de postuler dans les deux programme : inspecteur et medecine. Mais cela ne fait que repousser mon dilem.  Achaler par cette décision, je ferme l’écran de mon ordinateur et alla enfiler un pantalon.