Les 12 éléments

Chapitre 1 (Part 1)

Chapitre 1 :

Un nouveau monde

Au moment de mon réveil la première chose que je vis n'était rien d'autre qu'une forêt ressemblant étrangement à celle de la Terre. Au loin je pouvais voir une montagne, en utilisant le soleil qui se trouvait à ma droite, j'en déduisis que la montagne était soit au sud soit au nord. Le plus important était de sortir pour chercher de l'aide. La capsule était à peine entrouverte, mais il me fallut déployer une grande force pour l'ouvrir entièrement, et je sentis une fatigue sans doute provoquée par la stase. En sortant de la capsule je suis tombé, trop faible pour me maintenir debout. La faim me tenaillait l'estomac. En me relevant avec peine, je me mis à fouiller l'engin, le scientifique avait pensé à tout, il y avait des barres de chocolats que j'avalais en une bouchée. Une fois mon repas terminé, je m'allongeais sur le dos le temps de reprendre avant de voir au j'ai atterri. Je me trouvais dans une clairière. Les arbres ressemblaient à des sapins. Il me fallut plus d'une demi-heure avant de réussir à me lever. Une fois debout je partis à la recherche d'une civilisation ou au pire un endroit où m'abriter le temps de trouvais une ville ou un village.

Je me suis mis à marcher, je décidais de suivre le soleil au moins cela me donnait un point de repère. À force de marcher, je ressentis que j'avais de nouveau faim. Tout autour de moi avait l'air comestible, le seul problème vient du fait que j'avais bien compris que je n'étais plus sur Terre, tous les fruits autour de moi m'étaient inconnu. Alors soit ils n'avaient été encore répertoriés, soit cela ne venait pas de la Terre.

Au bout d'une heure je rencontrais un animal des plus étrange, il ressemblait à un chat mais je vis qu'il avait deux queues et six pattes, je me mis à avancer vers lui et c'est quand il se mit à sauter et à se déplacer à une vitesse surprenante que je compris pour de bon que je n'étais plus sur Terre. J'avais devant moi un animal inconnu sur Terre

– Génial ! Criais-je de rage.

Je reculais d'un pas quand un filet, qui étais caché sous plusieurs feuilles, me pris au piège, en-dessous, l'animal tourner autour de moi.

– Tu n'auras pas de meilleure occasion, dis-je en le regardant droit dans les yeux.

Il sauta griffe au-dehors prêt à tout lacérer sur son passage. Les yeux fermaient, je me sentis tomber. Le choc fut dur mais je réussis néanmoins à me relevais. Je regardais celui qui m'a fait sortir de ce piège et je le remerciais du regard. En le regardant avec plus de précision je vis qu'il était grand, aussi grand qu'un lion avec des yeux de lynx, ce détail me frappa car je vis dans son regard qu'il voulait m'aider en me transportant sur son dos, vu mon état je fus contraint d'accepter. Une fois sur son dos il partit du côté d'où je venais. Je revis ma capsule au bout d'un quart-heure, ce que j'avais parcouru en une heure il la fait quatre fois plus rapide. J'étais sonné et enivré par cette vitesse, au bout de dix minutes je vis un village surmonté d'un magnifique château fait de pierre rouge feu, sur une colline. Mais l'animal tourna sur ma droite et s'enfonça plus profondément dans la forêt, en quelques secondes nous fûmes devant une maison des plus simple. La bâtisse avait trois étages, la façade en bois me fit penser à un chalet. Mon compagnon se mit à grogner et la porte s'ouvrit pour laisser place à une jeune femme d'une beauté qui me rend fou. Des yeux d'un vert émeraude des plus éclatant me fixaient de manière interrogatrice, le visage était d'une finesse et sa bouche reflétait la douceur de ses mots. Ses longs cheveux roux qui tombaient en cascade sur ses épaules mettais en valeurs ce visage digne d'un ange, non d'une déesse. Son corps était parfait lui aussi, ses courbes parfaitement dessinaient, de longues et fines jambes portaient ce magnifique corps. J'en étais bouche bée, si une mouche passait à ce moment, elle aurait été pour moi. Je ne pouvais dévier mon regard d'elle. Cela pourrait être la fin du monde que je ne ferais que la regarder.