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Qui dit sonnerie dit fin des cours et qui dit fin des cours dit week-end. Mon Dieu je m'imaginais déjà en train de me relaxer dans un bon bain.
De retour chez moi, je claquai la porte en criant que j'étais rentrée, je me déchaussa et fit mon entrée dans le salon d'une façon théâtrale,aha. Mon sourire s'effaça lorsque je vis un jeune homme âgé d'une vingtaine d'année à vue d'oeil assit sur mon canapé, à la place de ma mère. Par précaution je me mis en position de combat c'est à dire, deux poing bien fermé devant mon visage en guise de garde et les genoux légèrement plié au cas où je devrais me baisser pour esquiver un coup,bref j'étais prête à me battre. Je vous avoue avoir eu les boules quand je l'ai vu se lever il avait une tête de plus que moi et du haut de mes 1m70 je fesais pas vraiment le poids. Visiblement amusé -ah monsieur avait des émotions- il me tendit une lettre dont l'enveloppe était jaunis dû au temps j'imagine. Je lui arracha la lettre des mains et commença à la lire.
Jessica, notre puce, si tu lis cette lettre c'est qu'a trop joué aux aventuriers la mort nous a piégé. Nous ne savons pas quand est-ce que tu liras cette lettre cependant tu seras sûrement mineur. Étant mineur tu dois avoir un tuteur légale et le jeune homme qui t'as donné cette lettre et  te connaissant tu l'as sûrement agressé et bien c'est ton frère. 4 ans avant ta naissance nous avons eu un enfant,Joé, nous l'avons abandonner car nous n'avions pas les moyens de s'occuper de lui, alors un soir de février nous l'avons laissé à la porte d'un orphelinat. Pardonne nous de t'avoir privé de ton grand frère. Il y a maintenant 2 ans nous l'avons chercher en vain, puis un jour on a reçut un appel d'un orphelinat qui nous expliquait qu'il avait eu dans leur établissement notre Joe, nous étions fous de joie! Joe était désormais en Amérique et il était majeur. Quelques jours plus tard nous lui avons parlé et puis on s'est vu mais ne voulant pas te choqué nous avons gardé cette histoire pour nous. Maintenant nous ne faisons plus partis de ce monde et nous avons voulu qu'il deviennent ton tuteur légal, il a accepté. Que tu le veuilles ou non tu dois le respecter et lui obéir, plus facile a dire qu'à faire je sais, et essaie de l'aimer comme un frère.
Rends nous fiers de toi et sache qu'on t'aime du plus profond de notre coeur.
On veille sur toi.
Ton Papa et Ta maman.

Plutôt touchant les larmes aux yeux je relevais la tête pris un grande inspiration, il ne fallait pas que je pleure.
Je plia la lettre en quatre et la fourra dans la poche arrière de mon jean avant d'affronter ce Joe du regard. En effet, il ressemblait énormément à maman contrairement à moi. Ses yeux étaient bleus, les miens étaient verts, le bleu de ses yeux vous transperçaient l'âme c'était..perturbant.
Si il croyait que je le prendrai dans mes bras où je ne sais quoi il se trompait, je comptais bien garder mon caractère de cochon. Voulant me retrouver seule je lui demanda gentiment -ce qui m'etonna- de sortir de chez moi ce qu'il ne fit pas. Il s'etala sans aucune délicatesse sur mon canapé, pris la télécommande alluma la télé et suivait le programme qui y était diffusé. Plus clairement,il s'en battait les couilles de mon avis. Pour qui il se prend lui? Je debrancha le câble de la télévision et lui demanda une fois de plus de sortir de chez moi. À ma grande surprise il se dirigea vers la cuisine ouvrit le frigo et se servit de la pizza de la veille qu'il mit à réchauffer au micro ondes. Ma patience avait des limites et la c'en était trop! Je le tira par le T-shirt et il chancela légèrement. Vitesse et agilité était mes deuxièmes prénoms je lui mis un coup de poing dans le ventre puis dans le menton le pris par les cheveux abaissa son visage au niveau de mon genoux et ce qui devait arrivé arriva il se prit mon genoux dans la gueule. Son nez saignai, j'étais fier. Tandis que je m'apprêtais à lui donner un autre coup il m'arrêta d'un geste de la main comme pour dire stop. Il ne voulait pas combattre avec moi et il n'avait pas l'air très bavard depuis le début il n'avait pas prononcé un seul mot! Nous avions l'air différent lui et moi. Pendant que je me remettrais les idées  en place il claquai des doigts devant moi pour me sortir de ma rêverie.

On a plus de temps à perdre donc vas faire ton sac,prend le strict nécessaire! Et amène moi des cotons et du désinfectant s'il te plaît. Dit-il calmement.
Son calme me laissais perplexe..
J'obeïs car après tout je n'avais pas le choix..
Et c'était partis pour une nouvelle vie.

Assez court comme partie je dois l'avouer mais étant donné que c'est ma première chronique (fictive) si wattpad et bien je ne savais pas vraiment quel longueur faire. Comme ça vous avez un avant goût de l'histoire !
Merci d'avoir lu et n'hésitez pas à voter et/ou commentez.
Bisouss.

VitaleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant