CHAPITRE 12: Libéré, Délivré

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  J'apprends peu a peu à contrôler mes pouvoir, mon père est là pour m'aider

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  J'apprends peu a peu à contrôler mes pouvoir, mon père est là pour m'aider. Nous sommes toujours enfermer, mais je sais qu'un jour proche nous serons libre. En attendant depuis plus de deux mois nous élaborons un plan pour nous échapper. L'on vient me chercher, j'y vois une opportunité de mettre mes nouveau talent à contribution. Mais un sifflement arrive jusqu'à mes oreille. Le signal ! Ils sont là ! Ils sont venu me chercher. Je reproduit le sifflement pour qu'ils me localisent.

... : Aurélia ? Tu es là ?
MOI : Christian ? C'est bien toi ?
CHRISTIAN : Oui mon amour. Ne bouge pas on va te sortir de là... éloigne toi la porte est bloquer on cherche de la dynamite !
MOI : Ecartez-vous !

POINT DE VUE EXTERNE.

Les jeunes gens s'écartent mais ne comprennent pas vraiment pourquoi... Aurélia prend de l'élan. Et défonce la porte blinder. Un nuage de fumé cache la vue aux soldats venu en aide à Aurélia. Lorsque le nuage de poussière se dissipe une alarme se met à retentir. Christian prends la main d'Aurélia.

AURELIA : Attend ! Je ne pars pas sans lui !

Dit-elle en montrant le vieil homme du doigt ! Elle met un bras autour de la taille de son père et Christian l'autre pour l'aider à marcher. Mais tout ne se déroule pas comme prévu. Les allemands les encerclent. Ils sont piégés. Aurélia ferme les yeux. Plus elle apprends à métriser ses pouvoir plus de nouveau pouvoir apparaissent. Les garçons sortent leur armes. Le générale avance.

GENERALE : Tu nous as amener dans camarades ?

La jeune fille ouvre les yeux. Ils deviennent d'un jaune étincelant. Un hurlement sortie de sa bouche puis plus rien. Elle assomme tout les allemands et s'approche de VANDERCAMP. L'homme effrayer recule. Derrière elle, ses amis sont stupéfiais.

AURELIA : Tu as fait de moi un monstre ! Tu vas le payer !
GENERALE : J'ai tirer mais celui qui l'a charger c'est lui.

Il pointe le vieil homme du doigt. Il ricane. Aurélia tourne la tête et regarde son père, fait un sourire au coin et se décale délicatement vers son père. Mais dirige son arme vers VANDERCAMP. Surpris, le générale laissa son sourire de côté pour laissé place à la terreur. Puis un coup de feu. VANDERCAMP ferme les yeux et s'aperçoit qu'Aurélia à visé le sol. Mais d'un révère de main le projette au bout du couloir. Le rejoint en quelque seconde, le le prend par le cou et l'assomme. Christian et les autres viennent jusqu'à elle. Prennent les autres des Nazis à terre et quitte le camp.

Du côté de Poitiers, Adeline semble se remettre peu à peu. Au bout de deux mois elle reprends connaissance à son rythme. Kevin est assis à côté d'elle. Marguerite range l'étagère à pharmacie. La blesser ouvre les yeux.

ADELINE : Kev ? Où... où je suis ?
KEVIN : Hey. Salut. Tu es à l'hôpital.... tu as été gravement blesser alors on t'as conduit ici. Ambre ne va pas tarder.
ADELINE : Où est Aurélia ?
MARGUERITE : Chut ! Les garçon s'en charge. Ils vont la récupérer.
ADELINE : Récupérer ? Pourquoi ? Que s'est-il passé ? Depuis combien de temps suis-je endormie ?
KEVIN : Elle a été capturer mais Christian David et les autres son partie la chercher. C'est une battante, tu ne devrais pas t'en faire.

Kev aide Adeline a se relever. Kevin a les yeux qui pétille en regardant la jeune malade. Tomberait-il sous le charme d'Adeline ? Qui sait... le temps nous le dira.

Christian s'approche de sa femme qui venait d'assommer le générale.

CHRISTIAN : Ils t'ont donner quoi à manger ?
MOI : J'en sais rien. Demande à mon père.
CHRISTIAN : Ton père ?
MOI : Tu ne l'a pas reconnue ?

Christian regarde le vieillard. La bouche qui forme un O montre sa stupéfaction. Le temps avait laisser tellement de trace sur l'homme. Il s'approche de lui.

CHRISTIAN : Laurent ? Monsieur LEPRINCE ? Vous ... vous êtes vivant ?
LAURENT : Malheureusement oui... Si j'étais mort Aurélia ne serait pas devenu ce qu'elle est devenu...
AURELIA : Ne dis pas de bêtise ! Si ça n'avait pas été toi ça aurait été quelqu'un d'autre.
CHRISTIAN : De quoi vous parlez ?
LAURENT : J'ai aider à la création d'un nouvel ADN. Je leur ai donner un code génétique pour fabriquer des robots sous leur contrôle. Mais elle n'est pas achevé... c'est pour ça qu'il me gardait en vie. Ils l'ont expérimenté sur Aurélia, mais ça n'a pas marcher, Aurélia a réussit à la contrôler.
JULIEN : C'est peut-être que je suis con mais j'ai pas tout compris...
DAVID : En même temps si tu enlevais ton foulard qui te compresse le cerveau tu comprendrais mieux.
JULIEN : Tu as compris toi peut-être ?!
DAVID : Oui parfaitement... Il a dit que... bah que... oui bref moi j'allais pas à l'école OK ? Alors tout vos mot scientifique là bah j'y pige rien.
SAM : Et mais vous êtes stupide ma parole ! Mr LEPRINCE....
LAURENT : Appelle moi Laurent.
SAM :... euh OK... Laurent... oui Laurent a créer un engin... pour contrôler des robots... et l'on expérimenté sur Aurélia ?
AURELIA : Oui en gros ils ont créer une puce qu'il m'ont implanté avec un fer rouge.
FRANCOIS : Au fer rouge ? Tu veux dire comme le bétail ?

La jeune fille leur montre la marque sur son épaule. La douleur est encore présente alors elle enlève délicatement sa manche droite. Julien se rapproche et veux toucher, mais les autres le retiens.

CHRISTIAN : C'est la marque de la bête ? C'est ça ?
AURELIA : Oui... Mais mon père ne savais pas.
FRANCOIS : Ça fait mal ?
AURELIA : Au début oui mais je m'habitue.

Ils n'ont pas t'en de temps que ça, les hurlement d'autres soldats retentissaient dans les couloirs. Les bravent gens se cachent. Les allemands passent juste à côté d'eux s'en les remarquer. Julien, qui était passionné par la transformation d'Aurélia s'avance en tapotant son majeur sur sa bouche. Il l'a regarde de haut en bas pour voir ce qui avait changer.

JULIEN : Mais euh... T'as quoi comme pouvoir ?
AURELIA : Ce n'est pas vraiment le moment là Julien ?!
JULIEN : Je veux juste savoir comment on peux s'en servir... enfin tu vois quoi... !
AURELIA : Non je ne vois pas ! Bon ça suffis maintenant.

Aurélia pousse son acolyte qui fait une tête dégoûter. Elle fait signe à ses camarades pour signaler que la voie est libre. Ils traversent donc, Julien en dernier appeler par ses amis. Ils bouda le reste du trajet vers la sortie. Une fois dehors, Ils se cachent dans les fourrés. Julien arrivent en traînant du pied.

JULIEN : Nanani nanana Julien dépêche toi... patati patata... Julien fais ci Julien fait ça ! Bah c'est bon j'arrive ! De toute façon on me prend pour le con de service... non mais voilà quoi...
FRANCOIS : Arrête Julien ! On dirait un gamin ! Magne toi ! Tu vas nous faire repérer !
JULIEN : J'men fou !
AURELIA : Julien magne toi ! Si on nous repère on est mort merde ! Alors bouge ! Arrête de faire le gamin !


Julien arrive jusqu'à eux. Ils se dépêchent de rentrer. Une fois devant leur cachette Aurélia s'arrête. Matthieu qui avait bien grandit lui saute dans les bras, sous le regard heureux de Christian et Laurent.

#Amélie

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