Ta lettre.

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Tout commença il y a quelques années de cela. Je sortais relever le courrier et prendre la bouteille de lait déposé sur mon palier comme chaque matin. Il était à peine 10 heures et le soleil chauffait déjà sur la Nouvelle Orléans. J'ai toujours eu un faible pour cette ville qui a su m'accueillir tel que je suis vraiment. Ici je ne suis pas la seul sorcière. Bien sûr ma vie ici est plus tranquille que celle que j'avais dans l'Ohio mais je la trouve agréable quand même. Mes voisins sont des gens charmants , âgés mes charmants. Alors ce matin comme tout les matins depuis que je vit ici, je suis aller prendre mes lettres. J'en avait rarement que je fut étonnée d'en avoir trois en même temps. D'autant plus que l'une d'entre elles venait de Virginie. Un sourire ce dessina sur mon visage à la vue de cette adresse. C'était Davina. Je rentra chez moi aussi rapidement que possible tout en prenant ma bouteille de lait. La maison dans laquelle je vis ici est assez simple c'est certainement ce qui me plaît chez elle. Je déposa la bouteille de lait dans le frigo et m'asseya sur une chaise prêt de la table en bois au milieu du salon. Je prit mon couteau à papier et ouvrit la lettre de Davina avec délicatesse car je ne voulais pas abîmer cette jolie enveloppe. Au dernière nouvelle elle était heureuse avait rencontré un charmant jeune homme qui s'occupait d'elle et la rendait heureuse. Je me souviens encore de ma première rencontre avec elle. Davina m'avait remarqué au premier coup d'oeil. On était sur un transatlantique qui partait de la France en direction de L'Amérique. J'étais seul, je voyageait en 1ere classe et j'étais et je suis rousse. Alors elle me remarqua du premier coup d'oeil. J'avais espérée que dans cette lettre j'apprendrais un heureuse événement comme par exemple la naissance d'une petite merveille. Mes à la lecture des premières lignes je sus que ce ne serait pas le cas.
I

l y avait au milieu de ces mots remplis de chagrins et d'incompréhension des tâches, des tâches d'encres créées par l'arrivée des larmes sur le papier. Je fut d'autant ému que tu m'annonçais qu'il t'avait fait souffrir peu de temps avant votre union. Je le connaissait à peine j'avais du le rencontrer une ou deux fois autour d'une tasse de thé , il y avait la fois ou vous m'annonciez votre rencontre puis la fois où celle ou j'eu la chance d'apprendre leur union. Et pourtant malgré c'est deux unique rencontré je le détestait plus que je déteste celui qui m'a fait souffrir. Je prit alors un papier couleur écru, le place dans la machine à écrire et tappa une lettre. Celle qui annoncée mon arrivée en Virginie!
Je ne prit pas la peine d'attendre pour savoir si cette lettre était arrivée à destination et prit le train.

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