cyber-harcellement

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Jenna, une adolescente de troisième, est harcelée depuis des mois sur Internet et à l'école. Elle et sa famille tentent en vain de trouver des solutions.

Attablée au milieu du salon, entourée de ses parents, Jenna se triture les mains sans discontinuer. Il est midi, c'est bientôt la rentré mais cette jeune adolescente a peur. Une peur qui la suit jours et nuit à un point ou elle n'arrive plus à dormir.

En classe de 6e, la collégienne a été victime des insultes et moqueries quotidiennes de certains de ses camarades sur les réseaux sociaux, au point de la plonger dans une longue dépression, et de provoquer son hospitalisation. Elle se sacrifiait et avais déjà fait deux tentatives de suicides. Depuis, chaque semaine de vacances est une respiration, chaque reprise une angoisse, jusqu'à ce jour de rentrée.

Son harcèlement a commencé de manière anodine, un soir après les cours, sur Facebook. De son aveu sans vraiment savoir pourquoi. Elle «aime» la photo d'une de ses «amies» sans la commenter. Mais cette dernière s'en prend à elle dans les commentaires. S'en suivent dans la soirée des discussions publiques et privées, à deux puis à plusieurs, dans lesquelles elle subit insultes et menaces en tout genre. Les remarques continuent le lendemain, puis le surlendemain, jusqu'à s'éterniser des semaines durant sur son téléphone portable et son compte Facebook personnel.

Dans un premier temps, paralysée par la culpabilité, Jenna n'en parle pas à ses parents. Elle pensait avoir fait quelque chose, elle se reprochait des chose qu'elle n'a jamais faite. Il y avais de plus en plus de personnes chaque heures, chaque jours, semaines et mois. Cela ne faisait que d'empirer.

Jenna, a mis du temps avant d'en parler à ses parents. Faute de pouvoir résoudre le problème toute seule, elle s'est d'abord repliée sur elle-même : ses nuits se sont écourtées, le goût pour l'école a disparu, puis sont venus les malaises et les crises d'épilepsie.

Un jour, elle est prise à partie dans les toilettes de son collège et subit les coups de plusieurs de ses camarades. Après l'hospitalisation pour faire constater ses blessures, ELLE SE CONFIE ENFIN à ses parents.

Malgré le compte facebook effacé, les numéros bloqué et toute les démarche faite, le harcèlement CONTINUE dans l'enceinte de l'établissement. Lorsque Jenna leur explique être frappée au sein du collège, ses parents l'accompagnent au commissariat pour porter plainte, jugeant que c'est ce qu'il y a de mieux à faire.
La plainte n'a rien donné sauf que la fille qui a commencé toutes ses insultés est mise sous surveillance.

La mère et le père de Jenna font une demande a l'État pour qu'elle puisse changer d'école mais celle-ci sera annulé pour "raison non valable". Les adultes trouvent sa scandaleux et décident de changer de ville et même de région.

La petit Jenna aura du mal à s'en remettre mais passera sa fin de scolarité dans une autre collège avec des ami(e)s et non des insultes.

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Pour le ministère, 40% des élèves scolarisé ont déclaré avoir été victimes au moins une fois d'une agression en ligne

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Je suis désolé si je n'ai pas poste ses dernier temps car j'ai du passer mon brevet, j'ai eu aussi quelques problèmes [personnelles].


Surtout n'oubliez pas de me donner vos avis car j'y travaille beaucoup. Je fait plusieurs recherche et j'aimerais savoir si ce genre de texte vous plait pour sûrement refaire une vrais histoire basé sur un type de problème en particulier [Boulimie/ Cyber harcellement/ scarification/ anorexie...]

Merci encore de lire kiss

Le Harcèlement...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant