Chapitre 81: Eliminé ?

2.2K 110 12
                                    

► Juliette Espinosa

« Ma chérie, tu peux m'aider à mettre la table ? » Ma mère me demandait en regardant vers moi, des yeux étincelants.

Je souriais en hochant la tête « Bien sur maman. » Attrapant cinq assiettes avant des fourchettes, cuillères et serviettes pour aller avec, je marchais jusqu'à la salle à manger ou j'ai commencé à les placer devant chaque chaise, une cuillère et une fourchette à droit et une serviette en bas, répétant le processus avec les quatre autres avant de retourner dans la cuisine avec ma mère.

« T'es nerveuse ? » Elle me demandait à voir la façon dont j'étais agité.

« Non...oui...un peu, » Je riais en plaçant une mèche de cheveux derrière mon oreille « Je veux juste que ce soir soit parfait, tu vois ? »

« Je sais ma chérie. T'as rien à craindre, d'accord ? Ton père et moi sommes tout aussi excité que tu es. Il était temps qu'on soit tous sur la même page. »

« Oh oui » Je riais en lui adressant un large sourire

Jouant en roulant les yeux vers moi, elle secouait la tete « Allez viens, on va mettre la nourriture sur la table. » Prenant deux plats, un rempli de poulet de l'autre de viande elle m'en donné un et nous marchions jusqu'à la salle à manger, les plaçant tout les deux l'un a côté de l'autre sur la table avant de retourner à la cuisine pour prendre les pâtes, la salade et du pain.

Une fois que tout était sur la table, ma mère est moi regardions notre chef-d'oeuvre "Tout est parfait" Je jaillissais d'enthousiasme, battant des mains dans l'approbation.

"Bien évidemment que tout est parfait" Déposant un bras autour de moi, elle m'approcher d'elle en caressant mon épaule "T'es absolument magnifique ma chérie. Justin va en perdre ses moyens quand il te verra." Ma mère me souriait, jaillissant comme toutes les mères le ferait pour leur fille lors de leur premier amour.

Je rougissais "Merci maman."

« Quand tu veux chérie, » Déposant un bisou sur ma tempe, elle s'écartait « Tu peux éteindre le téléviseur ? Ton père est partie se rafraîchir à l'étage et je suppose qu'il a oublié de le faire lui-même. »

« Bien sûr. » Je répondais en entrant dans le salon ou se trouvait la télé. Regardant un peu partout, je trouvais la télécommande sur le bras du canapé. L'attrapant, je me tournais pour faire face à la télé, prête à l'éteindre quand un 'bip' sonore fort a été entendu et qu'un FLASH SPECIAL clignotait sur l'écran.

Fronçant les sourcils, je regardais le journaliste des nouvelles locale, un papier à la main faire son apparitions, un regard sévère sur son visage. « Nous venons d'interrompre ce programme pour vous informer de quelque chose qui va retenir votre attention. Le gangster local Justin Bieber » Une photo de Justin fût zoomé sur l'écran «Viens d'être mis d'être éliminé par la police pour le meurtre de Luke Delgado. » Un portrait de Luke fût à son tour zoomé sur la télé à côté de celui de Justin. «Pour plus d'information sur cette affaire, restez à l'écoute pour une conférence de presse dans quelques instants qui sera tenu par notre gouverneur Geoffrey Coleman... »

Mon visage passait par toutes les couleurs, la télécommande dans mes mains glisser avant de s'écraser contre le sol. Mon estomac se tordait douloureusement et ma poitrine se resserrait. La gorge sèche et les yeux submergé de larmes.

Secouant la tête, je déposais une de mes mains devant ma bouche. Mon corps ne cessé de trembler en fixant l'écran du téléviseur. J'entendais ma mère m'appeler plusieurs fois mais le choque était bien trop énorme pour en avoir quelques choses à faire. C'était comme si tout les murs autour de moi se rapprocher et que j'étouffais.

A bout de souffle, j'appuyais une de mes mains sur ma poitrine, mes yeux rempli de larme qui combattez l'envie de rouler sur mes joues. N'étant pas capable de croire ce que je venais d'entendre, je pris une respiration finale avant de fermer les yeux, essayant de tout bloquer.

Sans même un avertissement, mes yeux roulait en arrière, mon corps devenait mou et ma tête est entré en contact avec le sol. Un faible appel de mon prénom fût la dernière chose que j'ai entendu avant de m'évanouir.

ApologyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant