Chapitre 2

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Je mangea seul au repas de midi car bien que Mason m'ai assuré que ça ne le dérangeait pas, je ne voulais pas m'imposer. Je remarquais un jeune homme, il était brun et il avait d'incroyable yeux verts. Yeux qui d'ailleurs me regardait d'une manière très appuyé, j'entend par là qu'ils me mataient. Je soupirais et me levais de table. Une jeune rousse m'interpella en me tapant sur le bras. Ses yeux verts me rappelèrent ceux d'Angie la petite sœur de Mason qui lui avait hérité du bleu caractéristique des Ozéra.
- Salut je suis simplement venu te dire que tu n'as pas intérêt de t'approcher de Mason. Compris ?
Mes yeux s'agrandir au maximum et ma bouche s'ouvrit sans qu' un son n'en sorte. Comme une carpe.
- Euh écoute Mason n'est pas du tout mon type. Ce que je déclara due lui sembler insensée ou alors un énorme mensonge car elle le regarda comme si j'étais folle.
- Ne te fou pas de moi Mazur ce n'est pas avec tes fringues que tu vas le séduire.  Dit-elle avec un dégoût non feint. Je devais avouer que ma tenue n'était certainement pas belle, voir même laide. Il est vrai qu'une polaire difforme marron et un jogging noir accompagné de vielle basket ne devait pas vraiment impressionner "Miss Beauté". Je choisis alors la plus belle des options, l'éclat de rire. Attendez, je sais que mon père et ultra zen, cependant je suis plus comme je les précédemment dit comme ma mère. Soit je ne laisse personne me marcher sur les pieds.
- Mais si j'ai un aspect négligé aujourd'hui c'est pour ne pas attirer le regard de tout le monde sur moi, surtout pour la rentré. Demain ne t'en fais pas je serais moi même.
Elle me regarda bouche bée, et elle n'était apparemment pas la seul car notre discussion au milieu du réfectoire avait attiré l'attention de presque tout le monde. Notamment du brun aux yeux verts. Je franchit les portes de la cafétéria la tête haute et je lançais à la volé " Et ne doute surtout pas de mon pouvoir de séduction. "
Je regardais mon emplois du temps contre l'une des innombrables colonnes de l'Academy, je vis avec satisfaction que j'avais deux heures de stratégie et une heure de comportement des animaux par la suite. Les heures de cour se révélèrent ennuyeuses à mourir, je savais déjà tout. Avec une autorisation expresse de la reine elle même. Je me rendis à Missoula dès la fin des cours, pour pouvoir m'acheter de nouveaux vêtements. Mon père n'en voyait pas vraiment l'utilité mais moi et ma mère si. J'étais accompagné du gardien Polenski et de la gardienne Smith. Je dépensa presque tout l'argent que j'avais économisé pour ça en maquillage, vêtements, chaussures et accessoires. De plus la reine, ma marraine m'a elle aussi offert quelque vêtements. Je rentrais au alentours de 14h à St Vladimir et les paupières et les jambes lourdes de sommeil je m'endormi comme une masse.

Je suçotais mon majeur de la main droite, car j'avais réussi à me piquer avec une broche en forme de rose ayant appartenu à ma mère. Bien que je ne comptais pas la porter aujourd'hui j'aimais bien la regarder, elle avait se pouvoir apaisant que les mamans possèdent, elle comblait en quelque sorte l'absence de la mienne. Je souris et me lava en profitant des bienfaits de l'eau chaude sur ma peau et du parfum du savon et du shampoing. Je me sèche les cheveux et me maquilla légèrement avec du simple mascara et un rouge à lèvres prunes mat. Je me vêtis simplement d'un chemisier blanc et d'une jupe crayon noire. Je savais que ma tenue était un peux sexy, mais sans être vulgaire, elle me m'était en valeur car étant dhampir et non Moroï j'avais des formes. Je chaussa des bottes à talons noir, pris mon sac de cour et me dirigea vers ma salle de maths. En arrivant devant la porte avec quelques minutes d'avance je me retrouva seul. Cependant la clique de Mason, notamment composé de la folle rousse, me rejoignit. Mon petit Vlad' comme à son habitude m'interpella de la manière la moins discrète possible en hurlant.
- Tu veux me rendre fou dès le matin Alison ? Il accompagna sa réplique d'un petit sourire pervers. J'aurais pu et j'aurais dû me taire ou lui répondre calmement pour la jouer discrète, mais malheureusement le côté Hathaway repris le dessus. Désolé papa.
- Au pauvre Mason. Ma Seigneurie veuillez excuser la roturière que je suis de vous affliger cette vision érotique de mon corps.
J'eu peine à dissimuler mon amusement mais je ne voulais pas gâcher mon magnifique coup de théâtre. Les garçons du groupes sourire ainsi que les quelques personnes ayant entendu notre dialogue alors qu'il se dirigeait vers la salle de classe, dont le canon aux yeux verts. Mais la rousse et ses amies se décomposèrent en voyant ma tenue mais surtout en comprenant les termes de la conversation avec Mason. 
Ce dernier comme à son habitude rentra dans mon jeux et me répondit.
- Ne vous en faites point gente demoiselle, votre vue ne me dérange guère, elle me met simplement de bonne humeur.
- Je m'en vois ravis temps que votre anatomie typiquement masculine sait se contrôler. 
Je ne pu cette fois m'empêcher de sourire à la fin de ma réplique et plusieurs personne éclatèrent de rire suite à cette échange. Cependant la Barbie rousse ne fut pas de cette avis et ramena sa poire.
- Mais pour qui tu te prends ? Tu t'habilles comme une catin rouge et tu parles au fils de la reine comme ça ? Quand elle sera au courant tu verras.
J'avais envie de lui exploser la tête contre le mur en la tenant par ses boucles rousses beaucoup trop soyeuse pour être naturel. Heureusement j'ai hérité du self-control de mon père, bien qu'il ne soit pas vraiment au point je réussis à en faire preuve.
- Je me prend pour moi et va donc avertir la reine.  Dis-je avec un calme évident.  Je rajouta cependant. Mais sait-elle au moins qui tu es? Provoquant un fous rire général et une fulmination de bouclette et ses amis. Mais ce moment de gloire personnelle fut interrompu par M. Mendrik qui nous demanda d'entrer dans le calme. Mason ayant de très grande difficulté en maths, comme moi en passant, assiste de ce fait comme je l'ai précédemment fait remarquer au même cour de mathématiques que moi. À mon plus grand bonheur la fille aux cheveux pyromane n'est pas dans notre cour. Je crois que Mason et le seul de sa promotion, les dernières années à se retrouver avec nous. Pour bien comprendre j'ai seize ans et Mason dix-huit, il est donc à deux classes supérieur de moi. Je m'assieds au dernier rang et Mas' me rejoins. Le cour  commence nous étudions les fonction affines et linéaires. Je me demande comme des millions d'étudiants avant moi à quoi cela va me servir dans ma futur vie. Surtout en tant que gardienne. Mai peut-être que si j'expliquer les fonctions aux Stigoï ceux-ci seraient plus vulnérable, voir endormi. Je gloussait le plus discrètement possible en m'imaginant une scène dans ce genre. Mais je ne du    pas vraiment faire preuve de discrétion car le professeur me demanda :
- Miss Mazur puisque mon cour vous amuse dite moi la différence entre une fonction affine et une fonction linéaire ?
Ma tête du exprimer une incompréhension totale Car une seconde plus tard je reçus un mot.
- Eh bien les fonction affines se traduisent par f(x) -> ax + b
Et les fonctions linéaires par f (x) -> ax. **
Le prof n'y vue que du feu et je remerciai intérieurement le beau garçon aux yeux verts qui m'avait envoyé le mot avec toute les réponses dessus. Après ce cour épuisant j'avais deux heures de renforcement musculaires. Puis je me rendis au réfectoire. Je vis le canon et m'approcha de lui. Je lui tapotait sur l'épaule et il se retourna, une expression surprise de peinte sur son visage. Mais elle fut très vite remplacé par un sourire charmeur.
- Je voulais te remercier pour ce matin, tu m'as sauvé la vie.  Son sourire s'élargit encore plus du moins si s'était possible. Et il m'invita à s'assoir face à lui.
- Ne t'inquiète pas, mais tu n'avais qu'à écouter.
- Mais j'écoutais ! Me défendis-je   
Je suis juste une quiche en maths.
Il rigola doucement et je ne pue m'empêcher de le trouver très beau.
- Je peut te donner des cours particulier si tu veux.
- Avec plaisir j'adore les cours particulier. Déclarais-je avec une voix pleine de sous-entendus.
- Fait attention ton copain va être jaloux.  Me dit-il avec un faux semblant de détachement je décela cependant une certaine amertume dans sa voix.
- Mais je n'ai pas de copain.
- Et Mason Dragomire Ozéra ?
- Ce n'est pas mon copain. 
Je me leva , jeta mes déchet et juste avant de partir je lui glissa quelques mots à l'oreille. Je sortit du réfectoire un sourire aux lèvres.
" Je suis libre. "

Hello everybody ! Je crois que je n'ai jamais autant écrit le mot "cependant" dans une fiction mdr
Et ** j'aime bien mettre des cours de maths dans la fiction oklm. Ça me donne un côté intelligent non je deconne en plus c'est peut-être et sûrement faux. J'avoue ne pas avoir trop était motivé pour écrire mais vos super commentaire me pousse à vous pondre une suite. Et ouais je suis une poule.
Bon alors votez et commentez ou pas comme tu veux bisous.

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⏰ Dernière mise à jour : Mar 28, 2018 ⏰

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