Chapitre 2

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Et si la maladie ne t'avais pas frappé...


Nous sommes en été, nous revenons de chez le médecin, tout va bien, tu vas bien. Je nous installe sur la terrasse de notre balcon. 

Le soleil rends tes yeux aussi profond que le lac ou je t'ai embrassé la première fois, que j'ai aimé cet instant, cet instant je me suis dis qu'aucun homme au monde ne pourrait être plus heureux. Je m'installe à coté de toi, te prends par l'épaule et te serre contre moi comme si tu allais t'envoler. 

La nuit tombe, nous sommes toujours là, tu t'endors peu à peu dans mes bras et tu me glisse entre deux inspirations ses quelques mots :

- Je t'aime...

Et tu t'endors, je regarde le ciel et comme un automatisme je te souffle à l'oreille :

- A jamais mon amour...


Bizous les chouettes

~Pauline La Mandoline~

Et si...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant