CHAPITRE 2 DEVOIR CONJUGAL

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LAURE 1
Cependant, une nuit, il entra dans sa chambre, il devait être plus de minuit. Hermione dormait enroulé dans sa couverture. Drago arriva, l'haleine sentait fortement l'alcool. Il la secoua jusqu'à ce qu'elle ouvre les yeux. Il releva les couvertures qui couvraient son corps, pour laisser paraître une chemise de nuit.
Hermione, encore à moitié endormie chercha à rabattre les couvertures sur elle, quand une claque la sortit de sa torpeur. Elle ouvrit brusquement les yeux, se rendant compte que son mari était maintenant pratiquement sur elle. Drago déposa sa bouche sur celle d'Hermione et en força l'entrer afin de mélanger sa langue à la sienne. Il poussa quelques gémissements de plaisir et s'installa sur Hermione tandis qu'il malmenait ses lèvres, ses mains carressaient ses seins avec bonheur. Il abandonna alors les lèvres de la jeune femme et enleva d'un coup sec la chemise de nuit d'Hermione. Il porta à sa bouche chaque téton de son épouse . Hermione le regarda, frigide. puis elle ferma ses yeux, elle s'imaginait ailleurs, sur une plage avec Harry. Drago sentit son pénis se sentir à l'étroit dans son pantalon et l'enleva alors rapidement, libérant ainsi ce qui lui donnait l'impression d'être actuellement l'homme le plus puissant de cette maison, quoi que c'était une chose facile vu qu'il était le seul homme de la maison. Il s'aperçut alors que sous sa chemise de nuit, la jeune femme portait également un slip. Il l'admira quelque peu et fut un peu déçu quand il se rendit compte qu'il n'était pas très humide donc il ne l'avait pas suffisamment caressé afin de la pénétrer. Il retira le dernier rempart qui le séparait de l'objet de sa convoitise. Il caressa doucement le carré pubien de la jeune fille, qui malgré son envie de rester pierre, se cambra sous l'effet de la caresse. Il écarta alors les cuisses de la jeune femme, cependant Hermione se contracta quelque peu. Drago sortit sa tête de l'entre-jambe de la jeune, pensant qu'elle devait avoir peur, chose normal vu que c'était sa première fois. Il remonta jusque vers ses lèvres et l'embrassa, tentant de lui faire éprouver la même envie que lui, désir qu'elle sentait s'exprimer sur son bas-ventre où le pénis du jeune homme était collé. Drago l'embrassa sur tout le corps et redescendit vers sa partie intime. Hermione était encore quelque peu contracte mais il força alors et passa les deux jambes de la jeune femme autour de ses épaules. Il eut une vue intégrale de ce qui avant aujourd'hui lui était interdit.
C'était leur nuit de noces, ce soir. Après cela, il serait un vrai couple, il lui avait laissé le temps d'accepter la situation, un mois sans sexe était très dur pour lui, heureusement les plaisirs solitaires existent sinon, elle y serait passer bien avant.
Il approcha ses lèvres de sa pomme d'adam. Drago commença à y introduire sa langue et aspira le peu de liquide qu'il avait peu trouver à l'interieur de son vagin. Puis il titilla son clitoris, espérant ainsi trouver la zone sensible de la jeune femme. Hermione se cambra encore plus sous cette caresse. Drago releva alors la tête des cuisses de la jeune femme et l'embrassa de nouveau sur les seins. Pendant qu'il retitillait les seins de son épouse, il introduit un doigt dans le vagin de la jeune femme et un second qui furent suivit bientôt d'un troisième et il fût surpris que son vagin n'était pas aussi étroit qu'il l'aurait pensé au départ. Son érection le faisait de plus en plus souffrir, il s'allongea alors sur la jeune femme, écartant davantage ses cuisses puis il s'installa devant ce trésor caché, sans même prévenir Hermione, il pénétra à l'intérieur d'elle sans la moindre résistance à sa grande surprise. Elle n'était plus ..., il n'avait pas le temps de s'en préoccuper maintenant mais elle allait le payer, juste le temps qu'il trouve la punition adéquate. Il était placé dans le vagin de la jeune femme immobile, son érection le faisait horriblement souffrir mais il voulu qu'elle regarde et qu'elle jouisse. elle devait jouir, c'était leur première fois, ensemble et c'était impensable qu'elle aussi ne prenne pas de plaisir.
- Ouvre-les yeux murmura-t-il en tenant entre ses doigts son visage, fermement. OUVRE LES YEUX hurla-t-il alors .
Elle se mit à trembler sous sa voix, et ouvrit les yeux tandis qu'une baffe magistrale lui arriva sur les fesses. Elle ne dit rien, n'étant pas vraiment pas position pour protester et le regarda. Alors, Drago commença un va et vient lent au départ et s'arrêta quand il s'aperçut que son épouse ne suivait pas ses mouvements.
- Bouge ordonna-t-il tandis que plusieurs baffes lui arrivèrent sur le visage.
Drago pivota alors afin qu'elle se retrouve sur elle et aggrippa ses hanches, il recommença ses mouvements de bassin tandis qu'il faisait gesticuler Hermione sur elle, la levant et l'empalant chaque fois davantage. Il se répandit en elle et se retira. Elle s'allongea sur le lit,attendant la suite des festivités, sachant qu'il allait lui faire regretter amèrement le faite d'avoir fait l'amour avec un autre homme.
Drago se mit alors lui caresser le sein gauche, fermant les yeux.
- La prochaine fois, mets-y plus d'entrain commenta-t-il.
Hermione le regarda écoeuré. Il venait de la violer et la seule chose qu'il trouvait à lui répondre, c'était mets-y plus d'entrain. Il se foutait royalement de sa gueule, c'était certain.
- Je peux aller prendre une douche demanda-t-elle, ne supportant pas l'odeur que son propre corps dégageait actuellement.
- Dépêches-toi recommanda-t-il.
Elle se leva et se dirigea vers sa commande pour en sortir une nouvelle chemise de nuit et un slip propre.
- Non, t'en auras pas besoin assura Drago. La soirée est pas encore terminée.
Une grimace se dessina sur son visage et elle quitta alors la pièce, totalement nue. Elle se sentait tellement sale au fond d'elle.
A peine entré dans la salle de bain, qu'elle se précipita sous la douche, l'eau chaude ruisselait abondamment sur son corps mais cette impression de n'être pas propre pourtant ne la quittait pas . Elle se demanda ce qu'il pouvait bien faire dans sa chambre, en espérant qu'il ne touche pas à ses affaires, elle repensa aussitôt à il savait ce qui était entrain de lui arriver. cela faisait plus de 3 mois qu'elle ne l'avait pas vu, il était parti en vacances en France quand ses parents lui apprirent ce fameux mariage et la semaine qui suivait son annonce, elle était déjà mariée. Et lui n'était même pas au courant, de toute façon maintenant, personne ne pourrait la retrouver. Hermione Granger n'existait plus que dans son coeur et elle se demandait si son coeur tiendrait le coup une vie entière.
Au bout d'une dizaine de minutes, elle sortit de la douche, la peau ruisselante, mais pourtant l'envie de s'y nettoyer encore et encore ne la lâchait pas. Elle passa une serviette autour de son corps et sortit précipitemment, espérant ne pas avoir été trop longue car elle n'était pas d'humeur à subir ces foudres.
Quand elle entra dans la chambre, elle le vit, debout au milieu de la pièce, encore nu.
- Qui étais-ce ? demanda calmement.
Hermione le regarda, feignant de ne pas comprendre la question
- Tu n'étais pas vierge hurla-t-il d'un seul coup. Je veux savoir qui était le premier salop qui a posé les mains sur toi.
- Le premier salop c'est toi répondit-elle au tac o tac. L'autre, ce n'était pas un salop, c'était un homme et j'étais consentente. alors que là, c'est un viol.
- Je ne t'ai en aucun cas violé, tu ne fais que ton devoir, femme hurla-t-il à nouveau.
- Appelle ça comme tu veux, mais c'est un viol, ce foutu mariage est un viol en lui même.
Bang, il se mit à la cogner mais maintenant ce n'était plus de simple baffe, il y allait avec les poings. La serviette d'Hermione tomba sur le sol en même temps qu'elle.
- Relève-toi !
Tant bien que mal, elle se releva péniblement.
- Qui a été le premier ? redemanda-t-il.
- Harry répondit alors Hermione en posant une main sur sa lèvre qui saigna abondamment.
- Quand ?
Elle le regarda, interloqué. pourquoi voulait-il des détails, c'était sa privée privée après tout.
- Un an répondit-elle.
- Alors avec un an d'expérience, tu te débrouilles toujours comme un manche cracha-t-il.
Cette fois-ci, elle était totalement ébahi. Au moins, si elle ne satisfaisait ses attentes peut-être irait-il voir ailleurs, cette idée l'effleura pendant une seconde mais Drago ne mit pas longtemps à désemfflamer les espoirs qui s'animaient chez la jeune femme.
- Mais je t'apprendrais et tu aimeras le sexe cingla-t-il. Je ne suis jamais second Hermione, et je ne le serai jamais enfin peut-être que je ne suis arrivé le premier entre tes cuisses mais c'est moi ton époux, pas ton Harry et il y aura bien un endroit que tu ne lui auras pas permi d'explorer.
Il prit son visage entre ses mains et recommença à l'embrasser, sans aucun préavis il la souleva plaçant ses jambes autour de sa propre taille et l'appuya contre le mur. Il regarda Hermione avec défi avant d'approfondir leur baiser.
Il la pénétra une nouvelle fois puis se retira et quitta la salle sans aucune paroles. Hermione le regarda partir comme il était venu. Elle eût envie d'éclater en sanglots mais elle n'y arrivait pas. Il ne fallait pas qu'elle craque. Cette épreuve, elle l'avait tant de fois redoutait, tant de fois imaginé que cette version là lui avait au final semblait moins abonimable que celles qui c'étaient passés dans sa tête.
- Oh, j'oubliai dit Drago en revenant dans la chambre. Il s'approcha de sa jeune épouse, déposa un baiser sur ses lèvres sans s'abstenir de caresser ses seins. je veux que maintenant tu dormes nue, que je puisse passer quand j'en aurai envie. j'ai horreur de devoir déshabiller les filles, on perd un temps fou alors que je pourrais faire d'autre choses pendant ce temps.
Un sourire pervers se dessina sur son visage, tandis que Hermione se vit d'un seul coup tomber bien bas.
Il repartit pour de bon, cette fois. Hermione se coucha, serrant les draps autour de son corps nu, en position foetal, elle s'endormit mais pour la première fois depuis qu'elle était ici, elle ne rejoignit pas Harry dans le pays des songes.
Des jours ainsi passèrent, les même actes se répétaient inlassablement. La journée, elle était enfermé dans sa chambre et il passait la nuit au fond de son lit, espérant qu'un héritier devienne le témoin de leur union rapidement. Il n'avait que deux idées dans la tête à ce moment-là avoir un enfant et la faire jouir. Mais aucune de ces deux idées ne parviennaient jamais à se réaliser.
Le lendemain d'une nuit assez mouvementé, elle se réveilla assez tard et descendit déjeuner sous ses ordres donnés aux coins de l'oreiller. Elle repensait à ces nuits, ces maudites nuits. Il avait passé plus d'un mois à l'amadouer, lui offrant plusieurs cadeaux qu'elle n'avait cependant jamais pris l'occasion d'ouvrir, l'autorisant à flâner au lit le matin et voilà que son cauchemar empirait depuis qu'il partageait chaque nuit son lit. Comment avait-il pu imaginer que de simples cadeaux suffirait à faire d'elle une épouse ? Jamais, elle ne deviendrait sa femme autrement que légalement, il pourrait lui faire ce qu'il souhaitait, elle subirait, le maudirait, se rebellerait et au final des coups abdiquerait.
Elle tenta de se lever mais les marques de coups lui firent mal, elle eut la nausée quand elle s'aperçut nue sous les draps. Elle ne s'était même pas rebeller, elle s'était laissé faire encore une fois de plus pensa-t-elle. Enfin extérieurement, car intérieurement, elle lui hurlait qu'elle ne le voulait pas. La peur de nouveau se faire battre l'avait saisi et celle de se retrouver dans le cachot avec une sentence encore bien pire que de se retrouver au fond de son lit chose où elle aurait fini tôt ou tard. Elle regarda ses hanches et aperçut les marques des doigts de son mari. Il n'y avait pas été de main morte quand il l'avait saisi pour la faire bouger une fois encore sur lui mais qu'avait-il espéré ? Qu'elle écarte les cuisses dès qu'il eût mis un pied dans sa chambre et qu'elle jouisse quand lui s'était répandu en elle, qu'elle hurle son nom et pleure de joie d'avoir enfin connu la jouissance avec l'homme qui l'avait forcé , qui l'avait violé dans tous les sens que l'on pouvait apposé au terme. Il fallait qu'il soit complètement débile, et chose dont elle ne doutait pas, il avait fortement abusé du wisky pur feu ce soir-là mais encore plus que les autres soirs où il venait dans son lit.
Il avait dû se décider sur le coup, il avait eu envie de baiser et elle était là soumise à lui pour toute la nuit. Il l'avait mise dans des positions qu'elle n'aurait jamais imaginé et pensa avoir utiliser en une nuit tout le kamasutra.
Elle se leva difficilement de son lit, s'habilla amplement, ne voulant pas qu'il puisse apercevoir ses formes. Elle se sentait tellement sale et savait que jamais cette impression ne s'en irait, elle vivrait avec et s'y habituerait. Elle descendit les marches et alla dans la salle à manger.
Drago était assis à un bout de la table, lisant son journal. Elle s'installa à l'opposer attendant que les elfes viennent la servir. Au bout d'une dizaine minutes d'attente, elle observa Drago qui la regarda amusé.
- Tu attends quoi ? demanda-t-il surpris.
- Mon petit déj. répondit-elle agacé.
- Oui, j'ai oublié de te dire les nouvelles consignes de la maison.
Il se leva de sa place et se rapprocha d'elle, un sourire illuminant son visage signe que ce serait bientôt de nouveau sa fête.
- Les elfes sont partis dans le manoir de mes parents.
- Mais pourquoi? scandala-t-elle.
- Bah, parce que je sais que tu es une vraie fée du logis et maintenant que tu as encaissé le coup de ce mariage, il faut t'occuper et on a plus besoin d'eux. Ils sont partis ce matin après m'avoir fait mon petit déjeuner. Le petit déjeuner doit être prêt à 7.30 chaque matin de la semaine, sauf le week-end où tu auras mes horaires sur le coin de l'oreiller, en fonction de tes prouesses. Meilleur tu sauras, plus tard on déjeunera ( il afficha un large sourire pervers), le repas de midi à 12.30 et le soir, 8h sera parfait. Chaque jour, tu nettoieras la maison et si tu deviens une femme exemplaire, je verrais pour rappeler les elfes. En attendant, il est 12.00, je te conseille de t'activer à la cuisine car je n'aime pas manger en retard.
Hermione lui lança un regard noir, qui maintenant n'avait plus aucun effet sur lui, en faite, il n'en avait jamais eu, et quitta la pièce pour réparer un repas convenable en moins de 30 minutes, chose quasi impossible si cela devait être fait convenablement. Elle ôpta pour faire des pâtes avec du jambon, en moins de 30 minutes, la cuisine était prête et la table servi.
Drago la regarda un peu déçu, Hermione s'installa à l'autre bout de la table loin de lui et de sa libido. Elle joua avec la nourriture n'ayant pas faim.
- Pourquoi moi ? murmura-t-elle.
- Il me fallait une sang de bourbe et j'avais un compte à régler répondit-il désintéresser.
- Tu n'es vraiment qu'un salop lança -t-elle.
- Non, moi aussi je suis victime moi de ce mariage. Qu'est-ce que tu crois que je te baise pour le plaisir?
Elle trésaillit sur ses mots.
- Pourtant hier soir, t'avais pas eu l'air de mollir. tu en avais du coeur pour t'atteler à la tâche.
Drago se leva sur ses mots et se dirigea vers elle. Hermione se mit quelques peu à trembler. Pour le connaître depuis plus de 8 ans, elle savait de ce qu'il était capable et de ce que sa famille pouvait faire, elle aussi.
- Que crois-tu, que j'attendais que tu tombes éperduement amoureuse de moi ? Ou peut-être que moi, je t'aime ? C'est fini la vie de princesse !
Elle le regarda, quelque peu troublé par le son de sa voix et par son attitude. Elle s'attendait à ce qu'il la giffle mais non, il n'y avait rien. Il fit demi-tour et retourna à sa place ce qui ne manqua pas de la troubler. La fin du repas se fit silencieuse, et Hermione se leva et débarrassa la table sans rien dire.
- C'est de ta faute tu sais, tout ce qui t'arrives.
- De ma faute ?
- Si tu te laissais faire un peu plus et t'obéissait davantage, je n'aurais pas besoin de lever la main sur toi et tu y prendrais du plaisir, aussi.
- Tu veux pas que je me mettes à genoux et que je te baise les pieds aussi. Jamais tu ne m'aurais épouser si j'avais été majeur et tu le sais aussi bien que moi.
- Pourquoi crois-tu que cela eu été aussi rapide ? Parce que l'on savait qu'autrement tu dirais non et que tu n'étais pas en phase en me dire non, sachant que c'était ton père qui avait signé et que tu étais néanmoins soumis à un puissant sortilège durant toute la cérémonie.
C'est un peu la tradition dans le monde sorcier, les mariages arrangés sont très courant.
- Mais pourquoi moi ?
- Je pourrais te demander la même chose.
- Mais moi, je n'ai aucune réponse.
- C'est la tradition, il me fallait une sang de bourbe et j'ai pensé à toi.
- Et il t'ai jamais venu à l'idée que tu aurais pu détruire la vie d'une autre fille, plutôt que la mienne.
- Non, j'ai des comptes à te rendre tu sais !
- Comme quoi ? hurla-t-elle d'un seul coup.
- Un coup de poing en troisième année répondit-il en haussant les épaules.
- et tu m'as choisi pour un simple coup que je t'ai mis il y a plus de quatre ans, t'es vraiment pathétique.
- Il n'y a pas que ça, tu sais. Je voulais une femme qui n'est pas peur de moi pour que je puisse m'amuser un peu quand même, et que son entourage souffre. Quel plus grand triomphe que de prendre la seule fille que Potter n'est jamais aimé ?
- Connard, je te déteste, tu n'es même pas un homme. un homme n'agirait pas par vengence, Si tu avais quelque chose à dire à Harry tu aurais pu le faire en face à moins que la peur ne t'en empêche.
- Calme-toi où je te ramène tout de suite menaça-t-il. Bien murmura-t-il une fois qu'elle êut retrouvé son sang-froid. Cette aprem, je veux que tu nettoie ma chambre. Et aussi que tu déménages tes affaires, dorénavent tu dormiras avec moi.
- Je ne veux pas balbutia-t-elle.
- Qu'est-ce que tu as dit ?
- Je veux rester dans la chambre que j'ai, ... s'il vous plaît !
- Tu dormiras dans mon lit, je ne te demandes pas ton avis. Je veux pouvoir te baiser quand j'en aurais envie et à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit répondit-il sur un ton sec. J'en ai marre de me déplacer pour pouvoir coucher avec toi.
Hermione releva la tête vers les yeux pour le fixer droit dans les siens et elle se prit une baffe. Mais elle ne bougea pas et ne baissa même pas les yeux.
Drago sortit sa baguette et murmura un sort qu'elle ne réussit pas à déchiffrer. Elle se sentit quelque peu tourbilloner et aperçut que ses vêtements furent changé. A la place du jogging, elle portait une mini-jupe, laissant deviner parfaitement ce qui se caché en dessous au moindre regard, et elle avait un top blanc, super moulant et se rendit compte qu'en dessous aucun soutien-gorge ne soutenait sa poitrine et qu'aucun slip ne cachait son intimité.
- J'aime mieux, ça dit cyniquement Drago. Maintenant disparaît vers tes corvées.
Hermione ne se fit pas prier
- Et si tu te changes, ce ne sera plus des baffes que tu auras mais je te passes en salle de tortures jusqu'à ce que tu abbidictes pour l'éternité.
Elle frissonna , il en était capable, elle le savait et jugea beaucoup plus sage de garder ce qu'elle portait pour éviter de souffrir davantage car jamais il ne mettrait une fin à ses souffrances.
Elle regretta alors amérement d'être une sorcière, dans son monde, jamais rien de tout ceci ne serait arrivé, elle aurait pu s'enfuir et ne jamais revenir mais dans le monde sorcier rien n'est jamais simple. Drago l'avait barricadé, si jamais elle tentait de franchir la porte, elle se retrouverait directement téléporté dans la salle de torture où Drago l'attendrait. Elle était coincé, si elle partait, elle y allait, si elle désobéissait, elle y allait, si elle travaillait mal, elle y allait et si il était de mauvaise humeur, elle pouvait aussi y aller.
Elle débarrassa la table, nettoya toute la cuisine et partit faire la chambre de Drago.
Des tonnes de vêtements jonchaient sur le sol, mais à première vue ce n'était ça qui l'avait frappé. Elle était surprise par la grandeur de sa chambre, ce n'était plus vraiment une chambre mais cela ressemblait à un palace à elle toute seule. D'un côté, elle aperçut un lit entouré d'un rideau qui le recouvrait parfaitement, un tapis était disposé devant celui, une grande armoire occupé un pan du mur, en plus d'un placard qui avait été encastré derrière par la porte. Plusieurs meubles décoré également la pièce, un bureau, une table ronde, des commodes et une bibliothèque. Elle sortit rapidement de sa rêverie quand elle entendit des pas s'approchait de plus en plus du lieu où elle se trouvait. Elle entreprit de ramasser les vêtements un à un avec un certain dégoût qu'elle a se rendit compte que la plupart était des sous-vêtements. Drago choisit ce moment-là pour entrer dans la pièce. Hermione était dos à lui, baissé, Drago grâce à la mini-jupe qu'il lui avait fait mettre, distingué ainsi tout ce qui se trouvait en dessous de cette fine parcelle de tissu. Il admira la vue qu'elle lui offrait pendant plusieurs minutes, puis s'installa à son bureau le regardant s'atteler au travail. En peu de temps sa chambre retrouva son aspect normal, et Hermione ravi de son travail se mit alors à faire les poussières.
Arrivée à proximité du bureau, elle poussa un grand soupir silencieusement. Drago se leva alors et s'approcha d'elle. Il enlaça ses bras autour de sa taille tandis qu'Hermione tenta malgré tout d'échapper à cette acolade en vain.
- Tu ne m'échapperas jamais lui murmura-t-il en mordillant le lobe de son oreille.
- Il ne faut jamais dire jamais répliqua-t-elle.
Drago glissa une main sous sa jupe, caressant ainsi le fessier de la jeune femme et fit glisser le long de ses jambes la jupe qu'elle portait. Il porta alors une main à la féminité de son épouse, sans pour autant cesser d'embrasser son visage. Hermione tenta de se débattre davantage mais Drago lui coinça une main dans le dos et la força à s'allonger nez au bureau. Il releva le top de la jeune femme qui maintenant ne pouvait plus rien faire et admira alors la vue intégrale qu'il avait.
- Joli morceau la complimenta-t-il.
Il la caressa.
- Je t'avais promis il y a plus de six mois de ça de te punir pour m'avoir fait une infidélité et après de longs moments de réflexion ( ces doigts commencèrent à entrer en elle), je trouvais la punition idéale, une punition à caractère sexuelle évidemment. Après 6 mois d'efforts, si je n'arrive pas à te faire jouir par la voie naturelle, je vais t'envoyer au 7e ciel par la voie annale alors.
Hermione tenta de regarder ce qu'il faisait maintenant qu'elle ne sentait plus aucune caresse sur son corps et aperçut alors le pénis du jeune homme en érection. Elle détourna aussitôt le regard ne souhaitant pas savoir à l'avance ce que lui préparait le jeune homme. Elle sentit alors un corps étranger la pénétrait et se mit à hurler de douleur.
- Tu es tellement étroite à cet endroit-là commenta Drago un sourire triompheur sur son visage, mais je vais arranger cela.
D'un coup de rein, il la pénétra totalement, ne se préoccupant pas des pleurs de la jeune femme ni du sang qui s'écoulant de l'endroit qu'il venait ainsi de perforer. Il effectua alors un long va et vient de plus en plus rapide et releva ensuite le corps de la jeune femme pour la presser contre le sien. Il lui malaxa durement les seins à travers son tee-shirt et déposa de furtif baiser au niveau de son cou avant de lui faire tourner la tête pour capturer ses lèvres. Il n'eût pas besoin d'y forcer l'entrée, elle était trop occupé à pleurer et se sentit pas sa langue pénétrait à l'intérieur de sa bouche. Il joua peu de temps avec la sienne et poussa un cri de plaisir se libérant en même temps dans le corps de sa jeune épouse. Hermione sentit un liquide chaud se répandre à l'intérieur d'elle là où aucun autre homme n'était avant allé, lui tiraillé les entrailles. Drago resta encore un peu en elle, et se retira. Hermione resta coucher sur le bureau, immobile ne se sentant plus capable de faire le moindre geste. Puis elle s'effondra alors lentement sur le sol, tandis que son mari, encore nu la regarda.
- Je t'avais dit je serai le premier murmura-t-il en se caressant la verge.
- Dégage ! hurla-t-elle.
- Par derrière la première fois fait toujours mal, mais tu t'y habitueras vite ne t'en fait pas. Et j'admets volontiers que c'est une position que j'adore particulièrement même si je te l'ai épargné, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs.
Elle baissa les yeux ne souhaitant plus jamais croiser le regard de cet homme, quand elle sentit deux doigts empoigné son visage. Elle se raidit.
- Je t'avais dit que tu serais puni pour l'affront de ta première fois mais maintenant que c'est fait, je veux que toi aussi tu me fasses un peu de bien.
Sans ajouter un mot de plus, il déposa un baiser sur les lèvres de la jeune femme, les malmenant puis se remit à jouer avec sa langue et se sépara d'elle. Puis il se releva et la plaça à genoux devant sa verge de nouveau en érection.
- Sois tu le fais toi-même, sois je t'y force gronda-t-il en lui attrapant les cheveux.
Hermione lui jeta un regard suppliant mais en vain, elle attrapa alors la virilité de son mari entre ses mains et se mit à la caresser lentement, ne cessant sans pour autant de pleurer. A l'aide de ses doigts, elle effectua plusieurs va et vient. Impatient de la pénétrer d'un autre façon, Drago tira plus fort ses cheveux et tendit qu'elle se mit à crier, il entra son pénis dans le seul endroit où maintenant il n'était jamais allé la nuit dernière. Il passa ses mains derrière la tête de la jeune femme et voyant qu'elle restait immobile face à cette soudaine intrusion, il effectua lui même le va et vient, très rapidement, agaçait par l'immobilité de son compagne. Il se répandit une nouvelle fois en elle. Hermione sentit le liquide coulait du bord de ses lèvres mais aussi à l'intérieur de sa gorge. Drago se retira soudainement.
- Avale !
Elle avala alors le liquide avec écoeurement , les larmes qui perlaient le long de ses joues devenaient de plus en plus abondante. Une fois qu'il fût certain qu'elle eût tout avaler, il déposa un baiser sur ses lèvres, léchant le liquide qui y avait couler, goûtant ainsi à sa propre semance et se rhabilla.
- Je me demande bien pourquoi mon père a lâché 10 000 gallions pour toi, tu n'en vaux même pas un quart cracha-t-il. Apportes tes affaires dans ma chambre, je pars chez mes parents pour la soirée. Si tu avais été plus sage, je t'aurais amené avec moi, l'air frais n'aurait pu que te vivifier mais ce n'est pas le cas. Quand, je reviens, je veux que tu sois installée.
Elle ne releva pas les yeux mais ne dit pas un mot non plus. il venait de la briser et cette victoire n'était que le début. Il sortit de la pièce et elle entendit le bruit de ses pas résonnait dans les escaliers et la porte d'entrée claquait. Il était parti.
Fin du flash

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⏰ Dernière mise à jour : Apr 23, 2016 ⏰

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