Bonjour, le monde.
Je m'appelle Elentiya, et je n'ai jamais écrit une histoire en français. Je ne l'apprends pas depuis longtemps, donc je vous demande m'escuser si n'est pas bon.
Donc. Voici, le traduction de mon fic, 'L'Appel Du Vide'.
Sherlock ferme ses yeux. Pendant le jeu de Moriarty, il a dû penser rapidement, plus rapidement qu'il a pensé dans sa vie. Il a vu seulement l'amusement, les dramatics avec le thé, les sensations de prendre le main de John. Mais maintenant, dans le calme, il peut voir les choses qui viennent, et ils ne sont pas joli.
Tout le monde vont croire qu'il est fou, ou un menteur. Aprés, il n'y aura plus des chances assister Scotland Yard. Après cette chose, tous les choses seront ennuyeux, ennuyeux, ennuyeux. Et John tombera avec lui.
Maintenant, il peut entendre Molly, qui marche envers lui. Il n'ouvrit pas ses yeux. Il doit decider, s'il est vraiment correcte, si cette idée folle, cette idée horrible, est son optión seule.
It voit le visage de Mdme. Hudson devant de ses yeux fermés, et il les ouvrit rapidement. Il permet les lumières blanches et fortes de les laboratoires le couvrir dans la moment que ses yeux prennent voir encore. Quand elle est allée, il regarde les boteilles et les couleurs qui dansent dedans. Il decide juste quand Molly arrive á la porte. Et il ouvrit sa bouche, parce qu'il n'a rien dit plus important dans sa vie entière.
"Tu as tort, tu sais," il dit. Tous les choses qu'il fait maintenant doivent être parfait, parce que s'ils ne sont pas, il est fini. Il a choisi Molly parce qu'elle lui a vu. Elle a vu sa tristesse quand John ne pouvait pas lui voir, et elle a vu son peur pendant sa promenade au bûcher. Aussi, elle est amoureuse de lui; ce n'était pas toujours un chose bien, mais aujourd'hui il remercie a Dieu, parce que même si elle refuse l'aider, elle ne dirai rien á Moriarty. Mais elle ne refusera pas. Elle se retourne lui voir, et il se dire qu'elle lui aidera. "Je te fait confiance," il continue, car c'est vrai. Il lui compte, maintenant, maintenant elle est l'une seule de qu'il peut demander l'aide. "Je toujours t'ai fait confiance, et je m'ai promis toujours que une jour, je te dirait tous les choses." Quand on voit l'image grand, il n'a pas menti trop. Il n'a jamais gardé les sécrets parce qu'elle ne pouvait pas savoir. Mais elle n'a jamais été qu'elqu'un qui a eu besoin de savoir, et il n'a jamais aimé parler. Et, même si elle n'a jamais été plus qu'une pensée qui a passé rapidement... C'est plus que la plus part des gens sont. Il se retourne, car il veut voir son visage, et il espére qu'elle peut voir le verité dans ses yeux quand il dit, "Mais tu as eu raison, aussi. Je ne suis pas OK."
Il peut voir que Molly est choqué, et il revisite rapidement tous les souvenirs qu'il a d'elle. C'est difficile ne crier pas, n'eviter pas les yeux bruns. Il a été horrible, et maintenant il n'a pas un autre endroit aller.
"Dis-moi le probléme, Sherlock," Molly dit doucement. Elle ne sais pas qu'est-ce qu'est elle doit penser; on peut le trouver dans son visage, si on sait les choses pour quoi on doit regarder. Sherlock peut voir ses doubtes dans ses yeux quand elle le regarde dans l'espoir que ses propre yeux bleus lui donneront les reponses.
Il marche lentement vers elle. "Molly.... Je pense que je vais mourir." Sa visage s'adoucit avec du peur. La même peur qui vive dans la cœur Sherlock; la même peur qui dort dans ses bras, et qui il ne veut pas mettre au lit en case ça se reveille. Mais n'est pas la même, parce qu'il a une peur egoïste, et la peur de Molly est pûr.
"Qu'est-ce que je peux faire?" elle demande. Ses mots réfléchissent sa visage sous les lumières blanches. Marcher plus prés d'elle, Sherlock, il se dit. Passer le fin de le table. Passer les boteilles grandes.
"Si je n'était pas tout ce que tu penses je suis - tout ce que je pense je suis - tu voulait m'aider?" il repond, et il essaye garder fort. Mais ses mots ârretent et commencent dans un mode inéxplicable. John. Mdme. Hudson. Lestrade, d'un point. Il peut les garder de Moriarty. Mais seulement s'il peut ce faire - s'il peut demande l'aide de cette femme.
"Toi," il dit, et est heureux parce que le mot est fort. "Je - je vais avoir besoin de toi."
"Je suis desolée, Sherlock, mais tu auras expliquer," elle repond, et il sourit tristement pendant son retourne au chaise. Pour quelque raison, il n'aime pas être trop prés aux personnes qui ne sont pas John, Mdme. Hudson ou Maman. Il met sa tete dans ses mains, parce qu'il sait qu'il faut ressembler á un homme cassé, un homme faïble. Il le deteste, et, plus, il veut pouvoir voir le visage de Molly.
"Dans une heure - peut-être plus, peut-être un peu moins, je pense que Moriarty va me rendre me tuer," Sherlock chuchote. Il permet ses epaules tomber, son corps entiére avoir le dos voûté. Il ne deteste rien plus que montrer ses émotions, á part, peut-être, de Moriarty. Il y a une halètement silencieuse, et il trouve qu'il n'a pas besoin de lui voir pour judger ses reáctions. Les pensées de Molly arrive dans sa tête sans les modes traditionelles les aider.
"Je peux - je peux lui berner, Molly. Je pense. Mais, même si je fais, puis John - Lestrade - Madame Hudson - toi -" il ârrete, et frotte ses yeux. Un ton ému a entré son voix, et il ne l'a pas remarqué. Ça donne un verité á le chose entière, mais il vraiment ne veut pas sentir plus qu'il doit. Ce soir, il veut la stabilité emotionelle. S'il permettit ses sensations détourner son attencion, tout le monde qu'il aime peuvent mourir. Il lui regarde, son espérance dernier. Ses mains sentissent chaud, mais le table est froid. Il se centre. Il est froid. Il est fort. Il ne se pliera pas, il ne cassera pas, et il ne détruira pas; plus, il ne peut pas promiser.
"Personne j'aime va être en sécurité, si..." il ne peut pas le dire. "S'il ne me voit pas mourir ce soir."
Il y a une moment de silence, plein de sa peur et les pensées de Molly, et il pense qu'elle ne va pas lui aider. Il pense qu'il aura vraiment sauter, et pour un instant il ne sait pas s'il va pouvoir le faire. Mais puis l'instant est fini, et Molly met sa main sur l'epaule de Sherlock, et elle demande,
"Qu'est-ce que tu me veux faire?"
Il n'a jamais senti plus reconnaissant.
Donc, quand il enconte et garde les yeux de John, et dit lentement, << adieu>> et pas <<au revoir>>, il ne pleut pas parce qu'il casse, mais parce qu'il sait que John et il, le deux casseront. Quand il ne regarde pas oú son mobile fait atterrir, c'est parce que John peut être son monde entière seulement pour cinq secondes plus.
Il jete un coup d'œil á la rue. John hurle son nom.
[Tu dois aller.]
Il saut.