Le début du néant, l'utopie, mon pays des merveilles. Peut ne pas convenir a un jeune publique, mais le vie est comme elle est, ce n'est pas une histoire d'amour a l'eau de rose remplie de vampires.
Le désespoir. La peur. La colère. L'impuissance. C'est ce que ressentaient ces humains, implorants leurs dieux pour que cela cesse. Cette pauvre race tourmentée attendait désespérément un miracle.
Profitant du chaos l'ayant réveillé, il se mit en quête de nourriture. De l'humain, cela lui conviens très bien. Se relevant grâce a ses longs bras musclés qui produisaient un craquement incommode à chaque articulation qui se détendait, il étira son corps maintenant suspendu dans le vide. Il tenait fermement dans ses mains des poignards fait d'os et de pierre gravés, sur lesquels était inscrit des rune anciennes et oubliés de tous.
Malgré l'engourdissement des ses bras, il arriva a se porter jusqu'à l'entrée de sa grotte. Ses yeux furent aveuglés par une intense lumière blanche, mais il recouvra la vue rapidement. Un rictus sournois se dessina sur ses fines lèvres. Dans le ciel, un astre semblait avoir explosé, et était la cause de cette lumière aveuglante qui s'abattait sur terre. Des morceau semblait immobiles dans le vide de l'espace, tandis que d'autre s'écrasaient sur terre dans d'immenses colonnes de feu explosant au contact du sol et répandant des ondes de choc a travers la planète. Les humains tentaient tant bien que mal de s'enfuir alors que leur mort due au cataclysme était inévitable. Certains était balayés par les violentes tempêtes de poussière qu'engendrait les météores, alors que les autres était écrases par divers objets tombant sur eux, comme de grand bâtiments de béton.
À chaque mort, la créature ressentait un frisson de plaisir. Elle devenait surexcité. Il courra vers ses première victimes. Ses bras se déployaient de plus en plus rapidement au rythme de sa course. Elle se disait : comme il vont souffrir!
Elle attrapa sa première victime en courant, et en suivant le mouvement de son bras, il la jeta contre un bloc de béton. Le corps se disloqua sous la force de l'impacte. Elle sauta sur un deuxième, l'écrase contre le sol. Il trancha ses membres a l'aide de ses poignards et utilisa sa bouche pour se frayer un passage a travers les différents tissus de son torse. Il y avais du sang a profusion. Les vaisseaux sanguins sectionnés lui giclait au visage de l'élixir d'Homme. Quand il se releva, il se dirigea vers une autre proie. Il sectionna ses jambes pile sous le bassin, et le regarda s'écrouler en hurlant de douleur. Les plaintes et les sanglots étaient jouissif pour elle. Il s'approcha lentement de l'infirme, terrorisé, mi son visage en face du sien, et lui arracha le nez. Il le mangea lentement, puis il s'attaqua à la langue, aux lèvres, aux yeux, et a la peau qui était délectable. Il continua ensuite son carnage, coupant des têtes pour y faire jaillir des fontaines de sang se déversant sur le sol, et autres massacre.
Pendant sept jours, il tua, mangea, et ressenti un plaisir intense à la souffrance et au désespoir de l'humain. La planète bleu était maintenant la planète rouge. Rouge sang. Il restait un dernier Homme, glissant dans les flaques de morceaux de corps de son espèce, et hurlant de terreur. La bête l'attrapa, le soulevant bien haut, et plaça un doigt crochu entre les jambes de sa victime. L'ongle se mi soudain a grandir, perçant l'entre-jambe, remontant dans le corps en perforant les organes, puis se fraya un chemin dans l'œsophage. Les cris inhumains qui s'en dégageait la rendait folle de joie, a la limite de l'extase. L'ongle fini par ressortir entièrement par la bouche, et à ce moment, l'astre rentra dans l'atmosphère terrestre, et s'écrasa.
La chose sourit.
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