Voilà, comment tout à commencé

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Un bruit assourdissant viens dérangée le paisible et doux sommeil qui me berçait dans le monde des songes. Je ne veux point arrêter ce doux rêve, un rêve dans un monde si lointain, si irréelle. Je finis, résigné, par ouvrir les yeux. Je coupe enfin la sonnerie incessante de l'alarme de mon téléphone. Je soupir longuement. Pourquoi ais-je accepter de venir déjà ? Ah oui, Paris... Ces musées d'arts, ces pâtisseries à foison... Quand on connaît vraiment cette charmante ville, il est vrai que le rêve devienne réalité et pas dans le bon sens du therme. Je suis actuellement sur le ventre, tête dans mon coussin. Bien au chaud sous ma couette. Il est 8h. Je dois me préparer, mangé, et rejoindre mes amis à 12H... Où déjà ?

Je soupir encore et me tourne. J'ai vue sur le plafond miteux qui me protège pourtant du froid de l'hiver. Je n'ai pas beaucoup de moyen. Je ne dirais pas que je suis pauvre. Ni riche. Disons... Que je vis avec. Je ne peux juste pas me payé le luxe d'avoir une douche dans ma chambre. Douche commune. Comme a la maison non ?

Je prends mon téléphone. Point positif : ici il y a du wifi ! Seigneur, je t'aime parfois ! Je vois un petit W dans mes notifications. Wattpad. Ce cher site sur lesquels je laisse aller mon imagination encore et encore. Le mieux, c'est que je ne suis pas si nul que ça, je commence à avoir ma communauté. C'est une des choses qui me fait me lever le matin. Voir que je donne le sourire, voir l'impatience que je procure, la joie, la tristesse... J'aime faire passer toutes ses émotions aux gens... C'est tellement gnian gnian ! Je soupir et rigole amèrement. On ne change pas qui on est.

Il y à juste une chose, qui me fait sourire chaque matin, autre que cela. Mon fond d'écran. Pourquoi ? Parce que c'est un de mes dessins. Je suis passionné de cet art. J'ai dessiné un squelette entouré de deux filles... Sans. Sans le squelette. Ce n'est qu'un personnage fictif. Il vient de ce jeu, Undertale. Que dire de celui-ci ? Ce jeun à littéralement changé mon existence. Je suis passé d'une fille sans but, sans convictions, renfermé, à une fille qui rêve, rêve encore et encore de l'impossible ! Qui veux donner de la joie et surtout... Qui veux encore et encore de cet univers. Je me suis pris la plus grande gifle de l'univers à la fin du jeu. Aux trois fins du jeu. Et dans se jeu, qui fait battre mon cœur, mon imagination, mon inspiration... Il y a Sans. Se squelette blagueur, qui m'a toujours fait rire, quelque sois la blague. J'essaye d'être comme lui, d'être forte. D'être celle qui fait sourire le monde. Mais moi je ne suis qu'une humaine.

Il fait battre mon cœur. Un personnage fictif. Moi. Je suis amoureuse de l'impossible. Je pose mon téléphone et met une main sur mon visage honteuse : pitoyable.

Je me redresse et me met en tailleurs. Je regarde le cafard qui se balade devant mon lit. Je n'ai pas peur de ces choses la. Mais c'est tout de même répugnant. Je m'étire. Je me lève. J'ouvre les volets puis la fenêtre. Je me prends dans la figure de la neige, le froid, un ouragan ! Non, n'allons pas aussi loin. Disons que je sors d'un volcan en fusion et que la je suis en Antarctique. Vous comprenez mieux ? Je tremble de froid. Je referme la fenêtre. Celle-ci est ensevelie sous la neige. En même temps, ma chambre est au sous sol.

Bien, il est temps de se préparer. Je me tourne et regarde la chambre. Je n'y ai passé qu'une seul et unique nuit. J'ai l'impression qu'une tornade la dévaster. Pourtant je n'ai rien fait hier soir... Si ? Non, pas de penser bizarre dès le matin. Après quelques instants, je finis par comprendre que c'est la ''décoration'' de la pièce qui donne cette effet bordelique. De toute façon a part mon uniforme et quelques vêtement... Bas j'ai pas grand-chose à mettre en bazar ! Je m'approche de mon lit je prends la serviette qui est au bout de celui-ci. Je vais allez prendre une bonne douche ! Sa va me réveiller.

Je sors de ma chambre, les couloirs sont vides. Normal, il n'y a que deux chambre ici. Dont une serre de réserve. Je regarde le sol, je vois une souris passer. En y réfléchissant bien, cet hôtel pourrait ouvrir un zoo. Je me dirige vers les douches communes à cette penser. En entrant, le silence me fait bonjour. Vide. C'est pour le mieux. J'avance, des miroirs sont coller au mur. Je me regarde dedans. Toujours cette même fille aux cheveux brun. Ses yeux si étranges. Celui de droite Bleu, l'autre vert. Ma peau pale. Mon corps rondelet. N'oublions pas aussi cette mèche rebelle qui ressemble à un point d'interrogation. Foutue cheveux. Et puis je suis grande aussi. Grande, ronde, mais plus jeune que tout le monde.

Undertale [Sansomania] CoralieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant