Henriette & Josh

Chapitre un

Comme tous les midis après mon service je me dirige derrière la caisse de mon petit restaurant pour rejoindre l'une de mes employée qui n'est autre que mon bras droit mais aussi mon amie de toujours Jeanne.

- J'y vais! Préviens-moi si il y a un quelconque souci de toute manière je reviens lorsque j'ai terminé.

- Comme d'habitude Henriette, ne t'en fais pas. Tu devrais prendre congé pour se soir, tu travailles un peu trop ces temps-ci.

- Hors de question, si j'ai ouvert se restaurant se n'est sûrement pas pour prendre des vacances. Bon je m'en vais! À plus tard.

Je ne lui laissais pas le temps de rétorquer et lui claquais un rapide bisous sur la joue. Jeanne était une femme très drôle et ouverte d'esprit, nous nous connaissions depuis notre tendre enfance. Nos parents étaient amis et sa mère, Marina était ma nourrisse autant dire que je ne compte plus le nombre de fois où j'y suis aller dans cette fameuse maison où j'ai beaucoup appris. Jeanne et moi avions sans doute fais toutes les plus grosse bêtises que puisse faire les petites filles je me souviens encore quand sa mère nous faisait la morale suite à sa elle nous forçait à nettoyé les crottes du chien de mon amie, quelle punition...

C'est sur ses pensée que je poussais la porte du "Hillusion", je l'avais ouvert il y a de sa un ans après avoir quitté mon job de cuisinière dans un cantine du coin. Grâce à mon héritage et de mes économies mon rêve c'est réalisé. J'ai créé un concept nouveau dans la ville, un plan des plus basique en un plat gastronomique. Un simple hamburger se transformait en une magnifique assiette tout autant consistante. C'était risqué mais j'ai tenté et aujourd'hui mon petit commerce marche du tonnerre et j'en suis fière. Tous mes restes de nourritures j'en fais de gros plats que j'emmène ensuite au centre de SDF pour les servirent a des personnes dans le besoin. Depuis toujours je fais partie des associations du moins je fais du bénévolat, ma générosité est sans fin je crois d'ailleurs que je le suis trop.

Je me dirige jusqu'à ma voiture ou je charge touts pour ensuite prendre le chemin du centre qui se trouve à une vingtaine de minute. Lorsque j'arrive à destination, comme à chaque fois les fumeurs qui passe leur temps à regarder les passant me propose leur aide pour porter se que je leur apporte. Ce sont toujours les même tête et j'ai appris à les connaître, je suis très proche d'eux, j'ai créé une sorte de complicité avec chacun mais particulièrement avec Serge.

C'est un homme d'une cinquantaine d'années qui est pour moi comme un deuxième père, je me confis énormément à lui. Il m'a toujours donner de précieux conseil, je lui dois beaucoup. Je lui apporte des cigarettes de temps en temps.

-Combien de fois je t'ai dis de prendre quelqu'un pour t'aider!

- Ne t'en fais pas pour moi Serge, je suis jeune et en pleine forme vois-tu.

- Là n'est pas la question, tu es magnifique ma fille et se serai dommage que tu te fatigue à faire toujours tout.

Je ne lui répondais pas comme à mon habitude. Je faisais si fatiguée que sa ?

Comme tous les midis je faisais le service et m'installais ensuite vers Serge ainsi que la petite bande tous les plus drôle que les autres.

-Quand vas-tu nous présenter un garçon ?

Je recrachais presque mon gaspacho de la vieille!

-Se n'est pas dans mes projets.

-Mais enfin tu as 24ans ! Il est grand temps que tu te pose avec un homme.

-Tu ne vas pas finir vieille fille comme ton prénom ! Crie Jean-Maurice

Je rigole à sa remarque, il était un grand comique et il c'est toujours amusé à me taquiner avec mon prénom.

-C'est vrai quoi.. Tu as pas envie de baisé un peu ?

-Jean ! Arrête donc de dire des sottises ! Nous interpelle Marina la directrice du centre. N'écoute pas cet vieille canaille ma chérie.

La mère de Jeanne l'avais ouvert pour trouver une occupation tout en continuant à faire se qu'elle a toujours aimé faire : aidé les autres.
C'est comme sa que mon amie et moi nous nous occupions les jours où l'on s'ennuyait. J'ai rencontré de cette manière toutes ses personne les plus formidables, c'était comme une deuxième famille pour moi.

-Ne t'inquiète pas Marina. Ricanais je.

-Comment vas-tu ma belle ?

- Très bien même si je suis un peu surmené sur les bords de temps en temps. Et vous ?

- Eh bien avec Paolo nous partons quelques temps en France pour participer à ce fameux tour de France !

-Mais quelle bonne nouvelle ! Si je peux me permettre qui va s'occuper du centre ?

-Jeanne voyons ! Elle a accepter de s'en charger durant notre absence.

Alors comme sa mon amie allais travailler au centre et elle ne me préviens même pas. Bon sang comment vais-je faire sans elle moi au restaurant !

-Henriette ? Ma fille ne t'a pas prévenu ? S'intime-t-elle.

- Non elle ne m'a rien dit, mais comment je vais m'en sortir moi ? Elle aurait dû me prévenir pour que je puisse m'organiser!

- Elle allait t'en parler tôt ou tard ma belle... Je suis désolé.

- Ne vous en fais pas Marina je ne vous en veux pas se n'est pas de votre faute. Souris-je faiblement.

Sans un mot de plus je partis jusqu'à mon petit commerce pour avoir des explications. Il était inutile que je m'emporte pour sa pas vrai ? Aller calme-toi Henriette tu ne vas pas te chicaner avec ton amie pour sa.